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En 1947, une jeune écrivain du Sud, Stingo, rencontre Sophie, une jeune catholique rescapée des camps de la mort. On suit alors en parallèle la progression de la relation amoureuse des deux personnes et la narration du martyre de Sophie, évocation de l'univers concentrationnaire et l'expérience de l'holocauste nazi. Les deux veines autobiographiques et historiques insistent sur l'omniprésence du Mal, symbolisé évidemment par l'horreur nazi.
Quand j'étais toute petite fille à Cracovie et très pieuse je m'amusais souvent toute seule à un jeu que j'appelais "la forme de Dieu". Et je voyais quelque chose de si beau - un nuage ou une flamme ou la pente verte d'une montagne ou la façon dont la lumière emplissait le ciel - et j'essayais de découvrir dedans la forme de Dieu, comme si Dieu pouvait vraiment prendre la forme de ce que je regardais et vivait dedans et que moi j'étais capable de Le voir dedans. Et ce jour-là pendant que par la fenêtre je regardais ces bois incroyables qui dévalaient jusqu'à la rivière et le ciel si clair au-dessus, eh bien, je me suis oubliée et pendant quelques instants je me suis crue redevenue petite fille et je me suis mise à essayer de voir la forme de Dieu dans ces choses. Il y avait une merveilleuse odeur de fumée dans l'air et j'ai vu de la fumée monter très loin au-dessus des bois et c'est là-dedans que j'ai vu la forme de Dieu. Mais à ce moment-là il m'est revenu à l'esprit ce que je savais vraiment, ce qui était vraiment la vérité : que Dieu m'a abandonnée une fois de plus, abandonné pour toujours. Il me semblait que je pouvais véritablement Le voir partir, me tourner le dos comme une espèce d'immense bête fauve et s'enfuir avec un grand bruit à travers les feuilles. Mon Dieu ! Stingo, de Lui je ne voyais que ça, cet énorme dos, qui s'enfuyait au milieu des arbres.
Des thèmes très graves sont abordés ici : les camps de la mort et l'horreur nazie de la seconde guerre mondiale, puis le racisme, l'esclavage, l'intolérance aux Etats-Unis. Le Mal toujours présent, partout...Un livre dur, très bien écrit.
Le Choix de Sophie est une oeuvre monumentale, de longue haleine, qui ne se lit ni facilement ni rapidement. Mieux vaut être au calme avec du temps devant soi pour digérer tout ce mal et cette violence.
Mais j'ai trouvé cela remarquablement bien écrit (amateurs de phrases courtes s'abstenir), ce qui n'est pas si courant, et intéressant pour les amateurs d'Histoire. Mention spéciale aux analyses psychologiques très fines des personnages et de leurs interactions (Sophie et Nathan, Sophie et Höss), qui les rendent inoubliables.
Pour moi, ce fut un grand moment de littérature. J'ignore ce que vaut le film qui en a été tiré.
Que dire... il me semblait bien savoir d'où le roman tirait son nom et alors que je m'attendais à ce que cela soit l'élément principal et phare de ce roman, eh bien, j'ai été surprise de constater que pas du tout. C'est long, lourd, un brin pompeux et au final, le roman n'a pas su me toucher et m'atteindre tellement il se perd dans trop de sujets différents. Une déception me concernant.
Brooklyn, 1947, Stingo, jeune écrivain originaire du Sud des Etats-Unis, s’installe dans la pension de Yetta Zimmerman, surnommée Le Palais Rose, afin d’écrire son premier roman. Il fait la connaissance d’un jeune couple, Nathan et Sophie. Sophie, chrétienne et originaire de Varsovie, revient du camp de concentration d’Auschwitz et Nathan, est un laborantin d’origine juive. Une forte amitié va naître durant cet été.
J’avais hâte de découvrir ce classique et je dois avouer que ma lecture a été en dents de scie. En effet, si je préfère regarder la télévision au lieu de lire, c’est mauvais signe. Tout d’abord, ce roman est découpé de seize chapitres (donc de longs chapitres) avec peu de dialogues, parfois des monologues. Dès le premier chapitre, je me suis demandée dans quoi je m’embarquais. Au final, j’ai aimé les passages sur la vie passée de Sophie, de sa relation avec Nathan mais pas du tout les passages concernant le narrateur Stingo, longs et ennuyeux, et ses déboires sexuels (scènes crues) qui n’apportent, à mon sens, rien au récit.
Pourtant, ce roman aborde des thématiques très intéressantes : les différences entre le Nord et le Sud des Etats-Unis, le thème de l’esclavage et la vision des américains sur l’holocauste. Mais malgré cela, je ressors de cette lecture avec un sentiment de soulagement de l’avoir fini.
Passionné par les ouvrages ayant trait à la seconde guerre mondiale, je n'ai en effet pas été déçu et je le recommande à tous ceux qui sont dans mon cas. Par contre, il faut avouer qu'il est écrit dans un style plutôt ardu et qu'il ne se lit pas comme un roman. Mieux vaut prévoir le dico... et les mouchoirs...
Une lecture passionnante, l'enchevêtrement des récits et des révélations créée une attente qui pousse à lire, lire encore.
Le couple principal est fascinant, mystérieux et tragique, et le cheminement ainsi que le regard naïf du narrateur m'ont beaucoup rappelé "Gatsby le Magnifique" ; mais c'est une histoire bien différente, pleine d'ambivalences, d'humour de beauté et d'horreur.
Tous les personnages ont cette dualité forte qui les rend très humains.
Spoiler(cliquez pour révéler)La dernière partie du récit est la plus difficile à lire, on ressent le délitement des personnalités, des relations, et tout nous prépare au final tristement prosaïque. C'est superbe, mais c'est aussi la touche finale à la profonde tristesse que l'on ressent à la lecture.
tres tres belle lecture et que d'émotions. Je suis passée du rire aux larmes, quel conteur!!!! C'est un livre plein de couleurs et de profondeurs mais attention âmes sensilbes s'abstenir.
Le message est brouillé, car il y a plusieurs thèmes qui pourraient être intéressants seuls : les camps nazis, l'esclavage dans les plantations américaines, le premier roman d'un écrivain, la découverte de la sexualité. Et trop d'analyses psychologiques des personnages.
Résumé
En 1947, une jeune écrivain du Sud, Stingo, rencontre Sophie, une jeune catholique rescapée des camps de la mort. On suit alors en parallèle la progression de la relation amoureuse des deux personnes et la narration du martyre de Sophie, évocation de l'univers concentrationnaire et l'expérience de l'holocauste nazi. Les deux veines autobiographiques et historiques insistent sur l'omniprésence du Mal, symbolisé évidemment par l'horreur nazi.
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