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Le Grand Meaulnes est l'unique roman d'Alain-Fournier, publié en 1913. Son auteur, étant mort pour la France en 1914, a bénéficié des prorogations de guerre, et le roman n'est tombé dans le domaine public qu'en septembre 2009.
Alain-Fournier situe l’action de son roman en Sologne, sa région natale. Il s’est inspiré du village d’Épineuil-le-Fleuriel à l’extrémité sud-est du Cher) où l’on retrouve tous les lieux du cours supérieur de "Sainte Agathe".
Le "pays perdu" et le domaine des Sablonnières se trouveraient probablement entre le Vieux-Nançay et La Chapelle-d'Angillon, lieu de naissance d’Alain-Fournier, où, à la sortie nord du village, un hameau porte le nom des Sablonnières.
Notre aventure est finie. L'hiver de cette année est mort comme la tombe. Peut-être quand nous mourrons, peut-être la mort seule nous donnera la clef et la suite et la fin de cette aventure manquée.
C'est sûr : Ce roman, que j'ai dû lire en quatrième, est un grand classique, par lequel on doit passer. A tous ceux qui veulent le lire : ACCROCHEZ-VOUS. Je vais être franche : la première partie est très dure à accrocher mais la seconde et la troisième sont plus simples. On arrive à pénétrer dans l'histoire. La fin m'a même fait pleurer. C'est seulement à la dernière page que l'on se rend compte que ce livre est très beau.
Le roman de mes 14 ans ! Quelle ambiance ! Quel style ! Je suis prise d'une vague de nostalgie rien qu'en repensant à ce fameux grand Meaulnes, à l'école où il était, aux alentours, à ses fugues, à cette femme que j'imagine si belle. Que de souvenirs ! C'est un livre à lire à ces âges-là (les années collège ou un peu après), ensuite on y retourne inlassablement mais cela reste différent du petit pincement au cœur laissé par ce livre à la première lecture, hélas...
Il existe bien des raisons de lire ce grand classique de la littérature française. Le style de l'auteur tout d'abord, limpide et précis, et ce malgré la jeunesse d'Alain-Fournier quand il le rédigea, les descriptions de la vie à la campagne à la fin du XIXe siècle, dure, monotone, rythmée par les saisons et le climat, mais surtout l'amitié ambiguë entre deux adolescents remplis de rêves d'aventures. Cette relation complexe, puissante qui s'installe et évolue tout au long du roman est fascinante et reste encore incroyablement moderne.
Cette histoire est étrange et perturbante, on n’arrive pas à se situer dans quelque chose de concret, tout paraît irréel (à cause, notamment du style et du scénario). On reste dans un côté planant qui est à la fois agréable et frustrant car c’est comme si il manquait quelque chose pour qu’on soit à plein dans l’histoire.
Ce livre fait partie des romans qui rentrent en vous et vous laissent une impression indélébile sans vraiment pouvoir expliquer pourquoi. Le Grand Meaulnes parvient en effet à nous transmettre la noblesse de ses caractères, leurs tempêtes sentimentales et leur code d’honneur un peu désuet banalement, sans la virtuosité d’un Proust à l’ombre de jeunes filles en fleurs. Et c’est peut-être bien ce mystère qui place ce roman publié en 1913 au rang de l’un des meilleurs de la littérature française de la belle époque ! Belle époque qui se terminera de façon tragique par le cataclysme de 1914 et la mort d’Alain Fournier...son unique roman...Unpeu démodé de nos jours.
Un roman tout en douceur, un peu hors du temps, comme un conte. Les personnages, surtout Meaulnes, gardent une dimension un peu mystérieuse, une psychologie difficile à percer pour le regard du narrateur, Seurel
Je gardais peu de souvenirs de ma première lecture au collège. J’ai été frappée par l’intensité émotionnelle de cet ouvrage, mais aussi par la simplicité de ses mots, de son histoire.
Quelque chose de magique s’en dégage, un je ne sais trop quoi qui nous place dans un état de rêverie rarement accessible. L’importance de la nature, des sensations sont réels : les sentiments, les émotions sont implicites et pourtant si fortes.
La lecture en était agréable, voire poétique, mais je n'ai pas pour autant vraiment apprécié le roman pour lequel je n'ai pas trouvé un très grand intérêt...
Honnêtement, ça ne l'a clairement pas fait avec moi. Déjà, c'est très long à démarrer, la première moitié est très longue. La deuxième est un peu plus active mais j'ai eu du mal à voir l'intérêt de l'histoire. Surtout au vu de la fin qui est vraiment... déroutante. Je pense que ce qui rend la lecture difficile, autre que l'écriture un peu lourde, c'est le fait que le narrateur est un personnage actif de l'histoire mais pas le personnage principal. Cette façon d'amener l'histoire est très étrange et je n'ai pas accroché du tout.
Un peu de mal à rentrer dans l'histoire au début. Mais passer les 50 premières pages on rentre dans l'histoire et on a hâte d'avoir le dénouement. On s'attache aux personnages et on a envie du meilleur pour eux.
Lu avec ma fille dans le cadre de son programme de 3ème. C'est un livre que je voulais lire depuis longtemps et je n'ai pas été décue. Le style est agréable et il y a pas mal de rebondissements.
Résumé
Le Grand Meaulnes est l'unique roman d'Alain-Fournier, publié en 1913. Son auteur, étant mort pour la France en 1914, a bénéficié des prorogations de guerre, et le roman n'est tombé dans le domaine public qu'en septembre 2009.
Alain-Fournier situe l’action de son roman en Sologne, sa région natale. Il s’est inspiré du village d’Épineuil-le-Fleuriel à l’extrémité sud-est du Cher) où l’on retrouve tous les lieux du cours supérieur de "Sainte Agathe".
Le "pays perdu" et le domaine des Sablonnières se trouveraient probablement entre le Vieux-Nançay et La Chapelle-d'Angillon, lieu de naissance d’Alain-Fournier, où, à la sortie nord du village, un hameau porte le nom des Sablonnières.
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