Le Syndrome Copernic

un thriller a ne pas perdre la tête superbe enquête sous tension psychique et psychologique menait tambour battant. le personnage du livre Vigo vient de survivre à un attentat parce que il a entendu des voix le prévenir on est happée par cette histoire et pris dans l'engrenage de savoir

Intrigant au départ mais assez simple au final.

Rien de bien nouveau ou surprenant.

Vigo Ravel, trente-six ans nous raconte comment sa vie à changer depuis le jour de l’attentat à la Défense. Il se remet en question sur son existence et se demande si il est oui ou non schizophrène comme on lui a toujours dit. Alors qu’il mène sa propre enquête sur son identité à l’aide de personnes qu’il va rencontrer et le soutenir, il va ainsi découvrir une toute autre réalité le concernant : comme le fait que ses parents ne sont pas ses vrais parents, que « Vigo Ravel » n’est pas son prénom et nom bref, beaucoup de mystères qui l’entourent et dont le gouvernement est semble-t-il pour quelque chose.

Ainsi, dans ce roman nous suivons notre héros dans sa quête d’identité mais pas que, il nous partage aussi ses notes qu’il écrit dans ses carnets Moleskine qui regroupent des brèves de son passé, ses convictions et ses idéologies qui mènent le lecteur à pousser ses réflexions sur l’humanité, entre autres.

Comme Vigo, je ne savais pas où toute cette intrigue allait mener et ce qu’il allait découvrir sur son identité ainsi, j’ai dévoré ce roman car j’avais vraiment envie d’en connaître le dénouement… dénouement qui ne m’a pas déçu.

« Le syndrome Copernic » est donc un thriller très addictif et dont l’intrigue est vraiment bien ficelée et savante. Bref, il colle avec notre réalité actuelle.

Thème intéressant, toujours très bien documenté. Pour moi ce n'est pas le meilleur livre de l'auteur mais ce roman a le mérite de nous questionner.

Tout avait pourtant bien démarré un homme Vigo sort indemne d'un tour qui a explosé suite à un attentat et ceci n'était pas du hasard, mais à une voix dans sa tête qui lui ordonnait de partir. Certains le disent schrizophene depuis longtemps, mais petit à petit une autre vérité ce profil et si les voix qui l'entend étaient réel ? Oui, l'histoire était intéressante, on court après la vérité autant que Vigo pour arriver à la fin de l'histoire pour n'avoir aucune surprise puisque tout est distillé le long du roman, c'est long à lire, fournit de penser de Vigo (souvent sans grand intérêt) , de complot sur complot et du journal de moleskine. Je suis arrivée avec peine au bout, l'idée était bonne, mais trop de discours de chaque personnage , personnage d'ailleurs qui m'ont ennuyé. Après avoir fait un tour sur les sites littéraires, je m'aperçois que celui date un peu et que l'auteur, c'est soi-disant amelioré, à réfléchir pour prendre peut être un livre de celui-ci plus récent en attendant, je fais faire comme Vigo me reposer !

J'ai déjà plusieurs de ses romans, j'aime beaucoup cet auteur.

Toujours très bien documenté.

Ici on suit Vigo Ravel.

Atteint de schizophrénie, il se met à douter de plus en plus.

Il cherche qui il est, Est-il vraiment schizophrène ?

Pourquoi ces voix ?, sont-elles imaginées ?, sont-elles celles des autres ?

Le genre de livre dans lequel je plonge. Où les 500 pages se font vite avaler.

Un thriller, ou plutôt une course-poursuite, fatigant et parfois trainant en longueur, parfois en prenant des raccourcis un peu flous et trop rapides. Alors que j'avais pensé que j'allais beaucoup aimer en lisant le quatrième de couverture, j'ai eu l'impression de lire tout le livre en apnée, étouffée par les changements brusques de rythme. L'idée de base était très prometteuse, les personnages des hackers relèvent le côté asphyxiant, l'évolution de Vigo Ravel est bien menée, mais la fin, presque inconsistante et légèrement bâclée, m'a fait penser "Bref, en gros, beaucoup de bruit pour pas grand chose".

https://monmondedepapier.wordpress.com/2022/02/04/le-syndrome-copernic/

Dès le début, ce livre a un aspect effrayant, et pas seulement parce qu’il commence sur un attentat. Le personnage est au cœur de la scène, il est sur place et il voit de près la violence de l’attentat, la destruction engendrée. Et pourtant, ce n’est pas le plus effrayant.

Nous suivons le récit du point de vue de Vigo Ravel et c’est parce que c’est lui qui raconte que le livre est effrayant, que l’univers devient effrayant. Lui-même ne sait plus où se trouve la réalité, il est perdu et de ce fait le lecteur aussi est perdu au milieu de ce chaos. À quel point ce que voit Vigo, ce qu’il perçoit, est réel ?

Le roman est prenant, impossible de le lâcher.

Un matin, trois bombes explosent dans une haute tour du quartier de la Défense. Toutes les personnes présentes dans le gratte-ciel périssent dans l'effondrement. Toutes, sauf une... Quelques minutes avant l'attentat, Vigo Ravel, a entendu des voix dans sa tête qui lui ordonnaient de fuir.

Déboussolé, il se livre au lecteur : il est soigné pour schizophrénie et cherche son médecin dont le cabinet est dans la tour, puis s'entend dire que ce cabinet n'existait pas, pas plus que son médecin. Amnésique, n'ayant aucun souvenir de son enfance, de son adolescence, de son entrée dans le monde des adultes, il devient une proie.

Très bon début qui trouve écho avec les procès des attentats en ce moment, je me demande s’il aura le même impact dans quelques années. En tout cas l’intrigue est lancée.

Vigo Ravel, seul survivant parmi les 2635 âmes que comptait la tour SEAM à la Défense à Paris. Il a 36 ans, dans ma tranche d’âge, schizophrène, j’adore les personnages avec une particularité mental et ça me change des dépressifs. Donc oui, j’ai tout de suite accroché au récit comme au personnage principal, ainsi qu’à l’auteur. Les chapitres sont très courts, un bon page turner, et j’adore l’utilisation des notes sur le carnet de Vigo, on a directement ses pensées, qui ne sont pas si décousues que ça, cela créé une proximité directe avec lui.

« Je me bouchais les oreilles. Tout mon corps se raidit, comme pour repousser ces voix confuses. Mais je savais que cela ne servirait à rien. Que rien ne pouvait taire le murmure des ombres. » (P68)

Le livre pose beaucoup de questions mais sais répondre à toutes, ce qui m’a vraiment beaucoup plu, j’avais peur qu’on me laisse sur un faux suspens mais non la fin est surprenante et conclut le roman.

Tout au long du livre, d’autres questions et réponses apparaissent, le tout est bien dosé, j’essaie de vous garder au maximum le suspens car dès les premières cent pages, on peut deviner quelques nœuds de l’intrigue si on est très attentif. De l’action il y en a, mais bien dosée, on a de la course poursuite avec des moments de pause pour que Vigo et le lecteur fassent le point sur la situation. J’ai apprécié le fait que ça se déroule en France, à Paris pour être précis, cela rend le récit plus proche, plus accessible, d’autant plus que l’auteur semble bien connaître la capitale vu les descriptions, on passe par chaque quartier.

La rencontre avec Agnès change beaucoup la donne pour Vigo, et après ce moment-là j’ai lâché le roman uniquement pour me refaire un thé. Tout s’accélère par la suite jusqu’à la fin bien trouvée. Le livre remet tout en question est c’est ce qui m’a plu.