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Frances Mortimer est belle, riche et heureuse. Épouse d’un grand égyptologue, elle lui est toute dévouée et envisage un avenir riant. Pourquoi une momie, particulièrement agressive, va-t-elle croiser le chemin de la jeune femme ? Higgins finira-t-il par admettre qu’une créature de l’autre monde a commis un crime parfait ?
Higgins, dernier du nom d'une illustre lignée trop mal connue dont le Royaume-Uni et le reste du monde pouvaient être fiers, regagna son domaine au terme de sa promenade matinale. La demeure ancestrale des Higgins était sise dans un petit village du Gloucestershire, au nord de Londres. Il portait le nom délicat de the Slaughterers, les Assassins, ce qui aurait pu paraître à la limite des convenances pour un ancien inspecteur-chef de Scotland Yard. Mais il n'y avait plus de tueurs depuis longtemps dans ce charmant endroit.
Higgins avait pris une retraite anticipée pour d'impératives raisons ; les week-ends ne lui suffisaient plus pour tailler ses rosiers, couper son bois à la scie, entretenir sa pelouse et lire les bons auteurs. La vie moderne, avec son excitation grandissante, ne lui convenait pas. N'étant pas un croyant fervent en la réincarnation, Higgins craignait que sa propre vie ne marquât les limites de son existence. Aussi avait-il décidé de savourer le temps qu'il lui restait à passer sur la terre de ses ancêtres.
Il franchit un minuscule pont de bois enjambant la petite rivière Eye qui coulait devant sa demeure, sans nul doute le plus beau fleuron architectural de Slaughter-le-bas. Comment ne pas être épris du mur de pierre blanches encadrant un porche soutenu par deux colonnes, des fenêtres XVIIIe à petits carreaux rythmant deux étages disposés selon le Nombre d'Or, du toit d'ardoises aux reflets grisés, des hautes cheminées de pierre ? Comment ne pas savourer la présence rassurante des chènes centenaires, le murmure du discret cours d'eau, les conversations des pies et des rouges-gorges, le crissement des feuilles mortes dansant au vent ? The Slaughterers, c'était le paradis pour Higgins.
Il entra chez lui sans faire de bruit, pour ne pas être surpris par Mary, sa gouvernante, une robuste personne de soixante-dix ans.
De taille moyenne, plutôt trapu, les cheveux noirs, la lèvre supérieure ornée d'une moustache poivre et sel, les tempes grisonnantes, l'air débonnaire, l'oeil malicieux et inquisiteur, Higgins paraissait lent. Mais il avait le don de se déplacer sans qu'on l'entende. Né sous le signe du chat selon l'astrologie orientale, il possédait les qualités du félin.
Une enquête à la Hercule POIROT. Au titre je m'attendais à partir en Egypte, mais non… Seul le titre le fait croire. Une enquête menée par un inspecteur à la retraite. J'avoue être un peu déçue. Je ne pense pas que je continuerais cette série a moins d'une pause entre deux pavés.
C’est à l’occasion de la sortie du 50ème roman consacré à l’inspecteur Higgins que j’ai, enfin, affronté mes craintes d’aborder un texte de Christian Jacq. Effectivement, j’ai toujours eu de gros aprioris vis-à-vis de cet auteur systématiquement critiqué par la communauté scientifique pour des raisons diverses : vulgarisation, croyances absurdes, sources non vérifiées, soupçons de diriger une secte… Bref, cela ne me donnait pas vraiment l’envie de découvrir l’homme.
Je me suis laissé tenter en me disant que cela ne coûtait rien de découvrir ce qui se cachait derrière ce nom qui a fait couler beaucoup d’encre. La première chose qui m’a interpelée, c’est qu’il s’agissait simplement d’une fiction, permettant à l’auteur d’exprimer ses positions à travers ses personnages sans pour autant les imposer à ses lecteurs qui seront très nombreux à ne pas s’en rendre compte tant ces petites allusions sont très rares et sans le moindre impact sur l’intrigue.
Au contraire des grands scientifiques et historiens de notre siècle, j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir, dans une moindre mesure, « l’univers égyptien » par l’intermédiaire d’un texte aussi simple. L’auteur ne nous gonfle pas de détails inutiles réservés à une élite qui, de toute manière, ne lira ses romans que dans l’objectif de les critiquer.
J’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir l’inspecteur Higgins pour la toute première fois. Son style, à la fois simple et atypique, place le lecteur dans une situation d’incompréhension où il ne peut, sans cesse, se demander : « Mais à quoi cela rime-t-il ? » Il est, en effet, quasiment impossible. de comprendre le cheminement qui mène du meurtre à sa résolution.
Toutefois, malgré cette enquête plutôt insolite, il faut bien avouer que cette dernière est beaucoup trop simple à mon goût. Il ne suffit que de quelques chapitres pour comprendre qui est le coupable. Je regrette aussi que l’alibi fut balancé en fin de roman sans aucun moyen, pour le lecteur, de pouvoir le deviner à un moment ou un autre.
Un très bon premier volet des aventures de l’inspecteur Higgins. Je ne manquerai pas de poursuivre l’aventure en espérant, secrètement, des intrigues plus complexes à l’avenir.
Une collègue m'a fait découvrir ce nouvel enquêteur, et j'ai acheté le livre sur ses conseils.
Je ne suis pas déçue, Higgins est un enquêteur incroyable mélange d'Hercule Poirot et de Sherlock Holmes je trouve. J'aime beaucoup comment il mène ses enquêtes avec des petits riens et de l'écoute. Cette enquête est vraiment un très bon début de série, j'ai hâte de lire la suite.
Une histoire très intéressante qui du début nous expose tous les protagonistes de l'histoire.
Sur certains aspects de déductions, on se rapproche de Sherlock Holmes sans le côté exubérant du personnage. Higgins est très fort et le mystère est levé avec une très bonne démonstration. Pas vraiment le temps de s'ennuyer d'un bout à l'autre du roman.
Résumé
Frances Mortimer est belle, riche et heureuse. Épouse d’un grand égyptologue, elle lui est toute dévouée et envisage un avenir riant. Pourquoi une momie, particulièrement agressive, va-t-elle croiser le chemin de la jeune femme ? Higgins finira-t-il par admettre qu’une créature de l’autre monde a commis un crime parfait ?
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