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Perdido, 1928. Alors que le clan Caskey se déchire dans la guerre intestine et sans merci que se livrent Mary-Love et sa belle-fille, et tandis que d'autres crises – conjugales, économiques, existentielles – aux répercussions défiant l'imagination se profilent, dans les recoins sombres de la maison d'Elinor, la plus grande de la ville, les mauvais souvenirs rôdent et tissent, implacables, leurs toiles mortelles.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Yoko Lacour et Hélène Charrier.
À Perdido, on certifia n'avoir jamais connu de famille aussi disposée que les Caskey à abandonner et reprendre ses enfants, à s'échanger la progéniture comme s'il s'était agi d'un moule à tarte ou de n'importe quel plat à gâteau que l'un des foyers aurait en trop et dont l'autre aurait manqué.
J’ai adoré ce troisième tome ! Les mauvaises personnes reçoivent ENFIN que ce qu’elles méritent !
J’ai encore une fois adoré Elinor et Oscar (ainsi que leur petite famille). On voit distinctement les caractères des enfants évoluer en fonction des adultes avec qui ils grandissent … les camps restent inchangés.
Franchement, si j’étais Oscar, j’écouterais absolument tout ce que me dit Elinor, et plus encore.
On retrouve dans ce tome le côté fantastique des débuts. Une excellente suite axée cette fois sur la maison occupée par Elinor. Ce tome contient pas mal d'action et la guerre entre Mary Love et sa voisine monte crescendo.
Le troisième tome est toujours aussi fascinant. Michael McDowell a réussit à nous transporter dans son univers de manière encore plus totale. Quand on lit, on est toujours plus impliqué dans les histoires de famille et on voudrait venir en aide aux personnages. Vraiment un plaisir à lire.
Probablement le meilleur tome de la saga Blackwater, l'écriture du roman est vraiment bien. On continu de suivre les personnages ce qui permet de les découvrir en profondeur ! Hâte de lire la suite !!
Ce tome comporte plus de fantastique/horrifique que les précédents, et j'ai adoré frisonner dans l'angoissante maison des Caskey ! On reste quand même sur l'ambiance d'une saga familiale d'époque, mais avec cette petite touche fantastique. Une série qui se lit toujours avec la même fluidité et le même plaisir.
Les pages se tournent très vite, la lecture est fluide, intéressante. Les personnages et l'histoire évoluent, la curiosité prend le dessus. Se plonger dans cette histoire et oublier tout ce qui se passe autour est très facile et agréable.
Résumé
Perdido, 1928. Alors que le clan Caskey se déchire dans la guerre intestine et sans merci que se livrent Mary-Love et sa belle-fille, et tandis que d'autres crises – conjugales, économiques, existentielles – aux répercussions défiant l'imagination se profilent, dans les recoins sombres de la maison d'Elinor, la plus grande de la ville, les mauvais souvenirs rôdent et tissent, implacables, leurs toiles mortelles.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Yoko Lacour et Hélène Charrier.
[Source : Éditions Monsieur Toussaint Louverture 2022]
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