Cetaganda

Lorsque l'on dit au lieutenant Miles Vorkosigan de se tenir à carreau pendant les funérailles de l'impératrice douairière de Cetaganda, l'on peut s'attendre au pire....

Dès leurs arrivées Miles et son cousin Ivan se font agresser et pendant l'échauffourée un objet mystérieux se retrouve entre leurs mains, la clé de la crèche où toutes les souches génétiques des hauts dignitaires de l'empire sont entreposées.

La capitale est d'une avancée technologique importante qui fait ouvrir grand leurs mirettes à nos deux Barrayarans, qui peinent à les refermer face à la beauté sans défauts des Hautes. L'un doit découvrir la machination avant qu'il ne soit trop tard et le second met toute sa bonne volonté pour satisfaire les nombreuses invitations de ses dames. Des intrigues de cour, sans combats spatiaux et dans un rythme soutenu

Cetaganda se lit après Miles Vorkosigan.

On retrouve également avec plaisir, le grand benêt - pas si benêt - cousin de Miles.

Ce qui commence comme une mission diplomatique tout ce qu'il y a de plus simple se transforme rapidement en crise aux répercussions "monstrueuses". C'est sans compter l'éternel génie de Miles qui saura débrouiller la situation.

Dans cet épisode, plus de combats spatiaux mais un thriller, enquête policière à la sauce Miles Vorkosigan.

Si vous en êtes à lire Cétaganda, c'est que vous aimez Miles. Vous ne serez pas déçu par cette épisode.

Allez, il y a un truc. Tous les épisodes de cette série sont un délice à lire....

Un bon tome, même si le côté politique m'a paru un peu long

Tome 5 de la saga Miles Vorkosigan. Cette fois-ci, Miles et son cousin Ivan, le bellâtre demeuré, sont en mission diplomatique sur Cetaganda, l'ancien ennemi de Barrayar. Avant même d'arriver sur la planète, les ennuis commencent déjà. Miles se retrouve propriétaire d'un étrange artefact, qui se révélera être la clef de décodage de la banque génétique de Cetaganda. L'infirme réussit une fois de plus à arrêter le complot interplanétaire d'un dirigeant de ladite planète visant à s'emparer du pouvoir et à faire porter le chapeau à Barrayar. Pour le récompenser, l'empereur de Cetaganda gratifie Miles de la plus haute distinction Cetagandane : la médaille du mérite.

Toujours aussi bon. Ce qui est surtout fascinant dans ce livre, c'est l'aristocratie Cetagandane, qui ne vit que par la recherche de la perfection artistique et génétique. Il est d'autant plus troublant de voir des tentatives d'assassinant tournées en oeuvres artistiques. Et un de plus ...

Dans le genre SF Bujold est une découverte. Je me rappelle ce roman, cela m'a plu.