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C’est le 10 juillet 1967 que paraissaient en Italie, sous le pinceau d’Hugo Pratt et dans le numéro 1 de la revue Sergent Kirk, les premières planches d’un grand récit d’aventures, très loin dans les eaux du Pacifique : Una Ballata del Mare Salato – en français La ballade de la mer salée. Une longue histoire au souffle épique qui allait permettre de découvrir un héros inhabituel dont on n’allait pas finir d’entendre parler : Corto Maltese. Et surtout fonder une approche nouvelle de la bande dessinée (éclatement des codes narratifs et des formats, innovation permanente) dont on mesurerait bientôt à quel point elle était moderne etdifférente.
Afin de célébrer comme il se doit le quarantième anniversaire de cet ouvrage fondateur pour toute la bande dessinée, Casterman propose, début juillet 2007 exactement, une nouvelle édition de La ballade de la mer salée. Grand format 41 x 32 cm, papier de grande qualité, dispositif éditorial inédit (une postface de Gianni Brunoro), une publication d’exception qui fera date. N’est-ce pas aussi un 10 juillet, voilà 120 ans à Malte, qu’est né l’inoubliable Corto ?
Corto maltese est repartit sur un bateau pour d'autres aventures à venir
Ce 1er tome est assez bien scénarisé, Corto a une belle personnalité , un aventurier charmeur, gentil, subtil , c'est un "gangster" pour faire un prolongement de ma lecture précédente ☆Le gang des rêves☆ et Corto n'est pas du tout cruel, c'est un aventurier escroc plutôt, un gentil pirate et beau 😆
Les personnages sont tout blanc ou tout noir pas de nuances
Dans ce premier opus, Les deux jeunes gens sauvés d'un naufrage et ensuite retenus en otages par le terrible raspousine, sont très naïfs , Pandora la jeune fille, est un peu nunuche, godiche, mais il ne faut pas oublier que Hugo Pratt a créé cet album en 1967 et le regard masculin de l'époque était bien différent de notre époque actuelle
J'espère que dans les prochains albums, la psychologie des femmes aura monté de plusieurs crans
Le graphisme est beau, surtout les plans de mer, j'ai senti l'atmosphère marine que j'aime tant
Les traits de crayons des personnages sont très saccadés, j'opte plutôt pour des traits de crayons plus francs mais je crois que par la suite, le dessinateur aura évolué dans sa façon de croquer les personnages, corto maltese devient de plus en plus beau plus abouti au fil du temps
J'avais vu il y a plusieurs années une exposition sur corto et les planches, sa représentation étaient splendides
Voilà voilà mon petit topo
je ne regrette pas c'est une belle lecture
Moi, qui ne lis que très rarement des BD
J'ai hâte d'embarquer avec Corto lors de sa prochaine destination ⛵
Un cadre géographique (les îles mélanésiennes) et une période (le tout début de la première guerre mondiale) plutôt inhabituelles, un héros pas aussi flegmatique qu'il aimerait l'être, une galerie de personnages hauts en couleur aux interactions inattendues, un rythme faussement lent et un côté "huis-clos" dans un paysage aux étendues infinies. On saupoudre avec un dessin noir et blanc hors-norme et on se retrouve avec un roman BD bien prenant à l'atmosphère très particulière. Un chef d'œuvre et un classique, à l'instar de bon nombre de Corto Maltese.
Un premier récit entraînant, inspirant, qui laisse pensif une fois la lecture achevée. Je me suis régalée de bout en bout, les dessins sont magnifiques, le scénario est très bien ficelé, quant aux dialogues ils sont piquants et bien pensés.
J'ai particulièrement aimé le personnage de Corto Maltese, personnage nonchalant, ironique, qui sait parfaitement manoeuvrer au milieu des pirates en conservant ses valeurs et ses convictions. Bref c'est une magnifique découverte.
Seul bémol : Corto n'est pas le personnage principal et les cousins Caïn et Pandora m'ont assez ennuyée au début. Toutefois la fin de l'histoire les présente sous un jour meilleur, comme s'ils sont sortis grandis de cette aventure. En définitive c'est un merveilleux récit d'apprentissage qui nous emmène dans des rivages où la nature côtoie les pirates, et j'en garderai un beau souvenir !
Je découvre Corto Maltese qui a pourtant fêté ses 50 ans. Et boum, directement classé en diamant, car malgré les détails qui indiquent ici un premier tome (dessin, coups de feutres, personnages...), il se dégage de la lecture un sentiment de qualité. Au niveau du scénario déjà, tant il est original, du contenu, et des recherches qui doivent être derrière, et du graphisme, qui, même si parfois sommaire relève tout de même du génie (je pense notamment aux scènes qui se passent sous l'eau, où de simples traits nous représentent le manque de netteté des profondeurs, avec brio).
Mon seul bémol, qui est sûrement dû d'une part à la période où le scénario a été écrit, et aussi au manque de maturité de cette série à ce moment précis, est que les personnages sont assez naïfs voire caricaturaux. Pandora notamment, passe facilement pour une godiche. J'espère donc si elle apparait plus tard, que ce trait de caractère sera atténué par la suite.
Le premier et meilleur des Corto Maltese. C'est juste la meilleur bande dessinée de l'univers. Les dessinées sont juste magnifique, les dialogue sont parfait et les personnage... de toute façons qui n'aime pas Corto Maltese
C'est un héros incontournable. Les planches dans cet album sont en noir et blanc. Les dessins sont épurés mais détaillés pour les personnages.
J'ai parfois eu un peu de mal à suivre l'histoire parce que les dialogues sont trop long. Je trouve dommage que l'auteur mette une barrière entre son héros et les autres parce qu'à chaque fois qu'il arrive quelques part on le nomme complètement, rarement "tu" ou simplement "Corto".
Mais aussi non j'ai apprécié lire cette BD d'aventure.
L'album qui nous fait découvrir Corto Maltese. Pour moi c'est un grand album d'aventure. Le souffle est là. Celui que l'on garde encore en tête quelques instants lorsque l'on tourne les yeux vers la fenêtre et que l'on ne voit pas tout de suite la grisaille du quotidien. Et puis Casterman sait éditer des albums magnifiques de 180 planches. Un régal.
Corto Maltese, personnage très charismatique qui séduira autant les personnes qui ont soif d'aventure que celles qui préfèrent rester tranquilles dans leur fauteuil, qui pourront admirer la qualité des dessins.
On se prend facilement d'affection pour plusieurs personnages (comme les jeunes enfants ou les certains soldats ) qui sont tous hauts en couleur !
Résumé
C’est le 10 juillet 1967 que paraissaient en Italie, sous le pinceau d’Hugo Pratt et dans le numéro 1 de la revue Sergent Kirk, les premières planches d’un grand récit d’aventures, très loin dans les eaux du Pacifique : Una Ballata del Mare Salato – en français La ballade de la mer salée. Une longue histoire au souffle épique qui allait permettre de découvrir un héros inhabituel dont on n’allait pas finir d’entendre parler : Corto Maltese. Et surtout fonder une approche nouvelle de la bande dessinée (éclatement des codes narratifs et des formats, innovation permanente) dont on mesurerait bientôt à quel point elle était moderne etdifférente.
Afin de célébrer comme il se doit le quarantième anniversaire de cet ouvrage fondateur pour toute la bande dessinée, Casterman propose, début juillet 2007 exactement, une nouvelle édition de La ballade de la mer salée. Grand format 41 x 32 cm, papier de grande qualité, dispositif éditorial inédit (une postface de Gianni Brunoro), une publication d’exception qui fera date. N’est-ce pas aussi un 10 juillet, voilà 120 ans à Malte, qu’est né l’inoubliable Corto ?
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