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Pastorale américaine



Description ajoutée par Sking 2017-04-24T23:35:32+02:00

Résumé

Après trente-six ans, Zuckerman l'écrivain retrouve Seymour Levov dit "le Suédois", l'athlète fétiche de son lycée de Newark. Toujours aussi splendide, Levov l'invincible, le généreux, l'idole des années de guerre, le petit-fils d'immigrés juifs devenu un Américain plus vrai que nature.

Le Suédois a réussi sa vie, faisant prospérer la ganterie paternelle, épousant la très irlandaise Miss New Jersey 1949, régnant loin de la ville sur une vieille demeure de pierre encadrée d'érables centenaires : la pastorale américaine.

Mais la photo est incomplète, car, hors champ, il y a Merry, la fille rebelle. Et avec elle surgit dans cet enclos idyllique le spectre d'une autre Amérique, en pleine convulsion, celle des années soixante, de sainte Angela Davis, des rues de Newark à feu et à sang...

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Classement en biblio - 77 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Didie6 2014-11-06T13:36:22+01:00

Et Merry est celle qui s'est chargée de lui dessiller les yeux. La fille a ouvert les yeux de son père. Et peut-être était-ce ce qu'elle avait toujours voulu faire. Pour lui, la vie se définissait principalement par l'ordre, et une infime quantité de désordre. C'était tout le contraire. Il avait élaboré une chimère et Merry s'était chargé de la dissiper. Ce n'était pas une guerre spécifique qu'elle avait en tête, mais c'était pourtant une guerre qu'elle avait introduite en Amérique et dans son propre foyer.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par La_cath_a_strophes 2023-02-07T16:11:23+01:00
Or

4e de couverture : Après trente-six ans, Zuckerman l’écrivain retrouve Seymour Levov dit « le Suédois », l’athlète fétiche de son lycée de Newark. Toujours aussi splendide, Levov l’invincible, le généreux, l’idole des années de guerre, le petit-fils d’immigrés juifs devenu un Américain plus vrai que nature.

Le Suédois a réussi sa vie, faisant prospérer la ganterie paternelle, épousant la très irlandaise Miss New Jersey 1949, régnant loin de la ville sur une vieille demeure de pierre encadrée d’érables centenaires : la pastorale américaine.

Mais la photo est incomplète ; car, hors champ, il y a Merry, la fille rebelle. Et avec elle surgit, dans cet enclos idyllique, le spectre d’une autre Amérique en pleine convulsion celle des années soixante, de Sainte Angela Davis, des rues de Newark à feux et à sang…

Mon avis : Seymour Levov est le symbole du rêve américain, l’archétype de l’immigré qui à force de travail et d’efforts parvient à s’insérer dans la société, il est facile de devenir un bon citoyen américain. Peu importe d’où vous venez, si vous acceptez les règles du jeu, vous serez accueilli les bras ouverts.

Levov a été un athlète apprécié, il a hérité de la ganterie de son père, il a épousé une belle Irlandaise avec qui il a une fille, Merry, et il possède une magnifique demeure, le rêve !

Malheureusement, la réalité est tout autre. La vie de cet homme est loin d’être idyllique, sa fille Merry, 16 ans, tue une personne en faisant exploser une boutique (acte politique ? Pour s’opposer à ses parents?). Et ce n’est pas que la boutique qui va exploser, mais aussi la vie « cliché » du Suédois, qui va se retrouver propulsé dans un monde bien plus sombre et violent que sa pastorale, une Amérique où il y a de la misère et de la violence. Et quid de ce beau mariage avec cette miss ?

Roth dépeint ici la véritable Amérique, loin de l’idéal dépeint sur papier glacé des agences de voyages.

C’est un roman qui remue ; en dehors du côté politique, il y a aussi les problèmes d’intégration qui sont évoqués, et les difficultés de compréhension entre un père et son enfant. La descente aux enfers quand son monde s’écroule et que sa fille a commis l’irréparable.

À lire avec un sandwich bacon-laitue-tomate et un milk-shake à la vanille (p. 267) assis sur un tabouret. Et si vous avez des enfants à côté de vous, n’oubliez pas de leur faire un gros câlin.

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Commentaire ajouté par A-Saulot 2021-05-12T13:50:23+02:00
Argent

Un roman complexe qui nous entraîne dans les méandres de la psyché américaine par le biais d'un rêve américain qui a vécu.

Les longues phrases noueuses et torturées reflètent ce monde où l'illusion d'une Amérique idéale se fissure pour se désagreger au fil du récit.

Un roman difficile à lire de par son écriture, ses flashbacks constants et très déstabilisants et certaines descriptions sans fin, que j'avoue avoir passé. Difficile mais aussi fascinant entre attraction et répulsion.

Mon premier Roth et un roman qui me restera longtemps en tête.

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Commentaire ajouté par A-Saulot 2021-05-12T13:49:22+02:00
Argent

Un roman complexe qui nous entraîne dans les méandres de la psyché américaine par le biais d'un rêve américain qui a vécu.

Les longues phrases noueuses et torturées reflètent ce monde où l'illusion d'une Amérique idéale se fissure pour se désagreger au fil du récit.

Un roman difficile à lire de par son écriture, ses flashbacks constants et très déstabilisants et certaines descriptions sans fin, que j'avoue avoir passé. Difficile mais aussi fascinant entre attraction et répulsion.

Mon premier Roth et un roman qui me restera longtemps en tête.

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Commentaire ajouté par DomPuget 2021-03-06T22:21:33+01:00
Diamant

L’écriture est directe, empreinte d’une ironie et d’une autodérision lucides. Mais quand le narrateur, Zuckerman, se place dans la subjectivité des personnages, il parle avec leurs mots pour exprimer leurs pensées, leurs souvenirs, leurs troubles, leurs angoisses, leurs désespoirs. Les phrases viennent par flots, personnelles, spontanées, parfois rabâchées, comme nous nous y laissons aller lorsqu’un sujet nous obsède, ou quand nous nous imaginons en train de nous justifier auprès d’une personne dont nous pensons qu’elle pourrait nous juger. Ainsi l’extraordinaire dialogue fantasmé que Seymour le Suédois rêve avoir avec Angela Davis, la redoutable et médiatique militante des Black Panthers !

Vingt ans après sa publication, Pastorale américaine est d’une actualité étonnante. 1968 avait été l’année de la révolte de la jeunesse un peu partout dans le monde. Les réquisitoires prémâchés, vomis par Merry et ses camarades contre le capitalisme et la société blanche occidentale, sont identiques, au mot près, à ceux que l’on entend de nos jours.

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Commentaire ajouté par bloodymarie 2020-03-31T07:55:02+02:00
Argent

Ce livre traite de l'illusion : illusion d'une Amérique saine et vertueuse , illusion de l'enfant parfait , illusion de la tolérance religieuse , illusion du mariage réussi, de l'amitié....Avec un réalisme glaçant , l'auteur dépeint ce qui se cache derrière la façade de réussite sociale, dans une Amérique divisée par la guerre du Vietnam. Quand le vernis craque, plus rien ne tient. Le principal protagoniste du récit, Seymour Levov, "le Suédois" est frappé de plein fouet par l'explosion de toutes ses valeurs . Malgré quelques phrases un peu trop longues, l'auteur nous happe dans son univers , où les façades de réussite sociale brillante ne résisteront pas aux fractures familiales, politiques, religieuses et générationnelles. Il a su faire s'exprimer le ressenti et les motivations de chacun, jusqu'à ce que le dialogue ne soit plus possible.

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Commentaire ajouté par Orangelli 2019-07-26T17:31:59+02:00
Or

J'ai été un peu déçue par ce roman célèbre de Philip Roth. Certes, on retrouve son style très personnel et toujours aussi incisif à explorer le caractère de ses personnages. Mais les longueurs trop importantes du roman finissent parfois par nuire à l'intrigue. Il reste un intérêt certain dans la description de l'atmosphère générale dans l'Amérique de la guerre du Vietnam et de la révolte d'une partie de sa jeunesse.Phillip Roth est un écrivain hors catégorie qui sait décrire les plaies de la société moderne

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Commentaire ajouté par Mieldrita 2019-07-19T12:50:40+02:00
Pas apprécié

Je n'ai pas aimé ce livre : il ne s'y passe quasiment rien. 400 denses pages de rien.

Les 100 premières sont les plus difficiles : Le narrateur, un écrivain, est étranger à l'intrigue principal, c'est simplement l'ami du frère de celui dont il est un admirateur, le Suédois. En plus, après les 100 premières pages, il ne réapparait pas. Son nom n'est même pas cité. A quoi cela à t'il servit de nous dire qu'il n'avait pas d'enfants ni de petits enfants, qu'il avait eu un cancer de la prostate qui lui causaient des soucis, qu'il avait embrassé une fille dans le foin (...) pendant une centaine de pages pour le faire totalement disparaitre ?

Après ces 100 premières pages, le narrateur change : on passe de l'écrivain au Suédois, de l'écrivain à celui qui le faisais fantasmer. Donc on ne sais pas si les pages suivantes se sont réellement passées comme le livre nous le raconte, où si ce n'est qu'inventions de l'écrivain.

Là, le livre devient un peu plus intéressant. Mais pas énormément plus. Gants, Religion, Vaches, Miss New Jersey 1949, Guerre seront les sujets qui tournerons en boucle lors de cette partie. Avec 3 pages pour une simple remarque de Dawn au Suédois.

Toute la partie sur Merry est faible, elle n'apparait que très peu alors qu'elle pouvait être intéressante. On ne sait rien de comment elle en est arrivé à faire ce qu'elle à fait, du pourquoi elle l'a fait. On ne sait rien de sa vie entre 1973 et 1998. C'est dommage.

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Commentaire ajouté par PascaleH 2018-12-18T23:20:09+01:00
Bronze

J'ai lu ce livre il y a déjà quelque temps. J'avais lu auparavant "La tache". Effectivement Roth est fascinant, par sa technique de narration. Pour certains cela suffira. Avec le recul je suis contente d'avoir lu Roth. Mais pour moi ses sujets sont ennuyeux à mourir. Je me demande encore comment j'ai pu finir "la pastorale américaine", à chaque page je me disais, il va enfin se passer quelque chose... et puis rien. Et toutes ces satanés pages sur l'industrie du gant, une horreur ! D'ailleurs la seule chose dont je me rappelle vraiment à propos de l'histoire c'est que le personnage principal est le patron d'une usine de gant, c'est dire si ce roman est marquant! Lisez "la tache", c'est moins soporifique.

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Commentaire ajouté par HUET 2018-10-16T16:04:26+02:00
Lu aussi

Epuisant à lire : 600 pages qui tournent en boucle la même analyse.

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Commentaire ajouté par marycoton 2017-03-11T03:04:03+01:00
Diamant

Je crois que je suis un peu passée à côté des 100 premières pages; elles introduisent bien trop longuement l'histoire. Mais le reste vaut le coup que l'on s'accroche un peu.

L'histoire est bouleversante, et l'écriture sublime. Avec Philip Roth on atteint parfois la grâce. Qu'il sont bien dépeints les liens qui unissent un père à sa fille, et les blessures que la vie laisse au creux des âmes; et puis la complexité des êtres...

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Date de sortie

Pastorale américaine

  • France : 1999-04-23 - Poche (Français)

Activité récente

Multiac l'ajoute dans sa biblio or
2023-01-04T10:54:17+01:00

Titres alternatifs

  • American Pastoral - Anglais

Évaluations

Editeurs

Les chiffres

lecteurs 77
Commentaires 11
extraits 23
Evaluations 20
Note globale 7.35 / 10

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