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Après la mort de son père, Annie Ernaux retrace la vie de cet ancien ouvrier devenu cafetier, qui avait conquis sa «place» dans la société. À travers ce récit autobiographique, l'auteure-narratrice évoque ses origines modestes et ses propres souvenirs. Elle tente aussi, par l'écriture, de combler la douloureuse distance qui s'était creusée entre son père et elle : un hommage plein de justesse et de pudeur.
La Place est le second livre d'Annie Ernaux qui me passe entre les mains.
C'est une lecture poignante, qui m'a beaucoup attristée, peut être parce que je m'y suis un peu reconnue. L'écriture totalement dénudée, et percutante a permis à cette histoire d'atteindre directement mon coeur...
Malgré les analyses intéressantes que l'on pourrait faire de ce bouquin, malgré ce qui se cache derrière le style très (trop) sobre de l'écrivaine et l'ambiguïté permanente qui donnait une dimension intéressante au roman... je n'ai pas aimé ce livre. Trop simple, trop fade... les autobiographies ne m'intéressent que si un élément donne une forte personnalité au texte, comme celles d'Amélie Nothomb par exemple. Là, pour moi, ce n'était pas le cas.
Je ne dirais à personne pour autant de ne pas le lire, de passer son chemin, car j'ai bien conscience que le texte a une certaine profondeur qui, s'y on y prête attention, le rend intéressant. je n'y ai simplement pas été sensible.
Un énorme coup de cœur. Avec la lecture de ce roman, je découvre la plume de Annie Ernaux et je pense qu'avec cette introduction dans ses livres, je suis content d'avoir franchi le pas. Un court roman qui m'a bouleverser avec un fort sentiment de mélancolie de l'autrice sur son passé et sa relations avec ses parents. Elle parle aussi du transfuge de classe par rapport à son mari qui est distant avec ses parents et le décalage culturel qui s'est crée entre ses parents et elle. Ce décalage vient d'une partie de ses études, ses parents sont issus de la classe ouvrières de la campagne alors qu'elle a fait des études pour devenir professeur, un métier à l'époque pour la classe bourgeoise. Et, et l'autre partie venant de la famille de son mari qui est de la bourgeoisie.
Toute la description de son passé, sa naissance à l'âge adulte avec l'histoire de son père installe un ton mélancolique tout en créant un lien entre le lecteur et sa famille. Le passage marquant, c'est le fait que ses "collègues" commerçants ne sont même pas venu à son enterrement.
Pour finir, en fermant le livre, je me suis senti triste pour son père.
Texte très court qui marque la fin d'une relation à la fois simple et complexe entre un père et sa fille. Je ne saurais dire si j'ai aimé ou non, peut-être que ce n'est pas très important non plus.
Du fait de l'écriture, les événements paraissent presque factuels plutôt que vécus, mais cela donne un style intéressant.
Après la lecture de ce livre, mon premier ressenti, c'est vraiment la compréhension du choix du titre. La place significatif de cette quête de trouver une place, d'en obtenir une meilleure, de ne plus être paysan, de ne plus être ouvrier.
Histoire de classe sociale, de l'importance du paraître, tel que l'on peut le retrouver dans toutes les familles, mais aussi ce sentiment finalement de ne pas être forcément à sa place en changeant de classe sociale. De n'y être plus chez soi, et de ne pouvoir être totalement accepté.
En nous partageant l'histoire de son père et la sienne, certaines de ces impressions de ces ressentis ont raisonné chez moi, et sur ma propre histoire même sans avoir le même background qu'elle.
C'est une histoire très appréciable à lire, fluide, et qui parle en nous et résonne.
"Je voulais écrire au sujet de mon père, sa vie,et cette distance venue à l'adolescence entre lui et moi. Une distance de classe, mais particulière, qui n'a pas de nom. Comme de l'amour séparé."
Cette phrase résume très bien le livre. La vie de son père, elle ne veut pas oublier ce qu'il a vécu, ce qu'elle a vécu avec lui, même si une distance s'est créée entre eux, à cause de sa culture littéraire, mais en même temps, il en est fier.
J'ai beaucoup aimé lire ce classique mais ce n'est pas de tout mon préféré d'Ernaux. Je trouve que l'on sent dans ce roman une vraie quête d'écriture, parfois un peu trop rigide.
J'ai dû lire ce roman pour mes cours de littérature et c'est un bon roman, mais je ne suis pas trop fane des "autobiographies". Certes, ce n'est pas vraiment une autobiographie, mais c'est le même genre et je n'ai pas été attiré par cette lecture.
Résumé
Après la mort de son père, Annie Ernaux retrace la vie de cet ancien ouvrier devenu cafetier, qui avait conquis sa «place» dans la société. À travers ce récit autobiographique, l'auteure-narratrice évoque ses origines modestes et ses propres souvenirs. Elle tente aussi, par l'écriture, de combler la douloureuse distance qui s'était creusée entre son père et elle : un hommage plein de justesse et de pudeur.
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