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Voici la tragique histoire de Melniboné, l'île aux Dragons, qui fut maîtresse du monde. Il y a de cela bien longtemps. Désormais les Dragons dorment et Melniboné dépérit. Sur le trône de Rubis siège Elric, le prince albinos, dernier de sa race, nourri de drogues et d'élixirs qui le maintiennent tout juste en vie. La menace plane ; alors il rend visite au Seigneur du Chaos, Arioch, et conclut un pacte avec lui. Il fait ainsi les premiers pas sur le chemin de l'éternelle aventure : le Navire des Terres et des Mers le porte à la cité pestilentielle de Dhoz-Kam, et son destin le pousse à franchir la Porte des Ténèbres ; au-delà, deux épées noires attendent leur maître et leur victime... Grandes ambitions, passions monstrueuses. Idéaux et trahisons. Souffrances atroces et joies cyniques. Tourments de l'amour et douceur de haïr. Un passé ancien, qui ne peut revivre que dans les plus immondes cauchemars.
"Stormbringer pointa la gorge d'Yrkoon. Mais Elric la rattrapa, sauvant ainsi la vie à son cousin. L'épée gémit alors -un gémissement presque plaintif- tout comme un chien à qui son maître interdit de mordre l'intrus."
Voici un de ces lontains souvenirs de jeunesse vers lequel je suis revenu. C'était le temps des jeux de rôles, dont Stormbringer, les aventures d'Elric le Nécromancien et de la civilisation perdue de Melnibonée.
Une série que je recommande tout particulièrement aux ados
Elric est un personnage que j'ai toujours trouvé fascinant dans les nombreuses adaptations dont il a fait l’œuvre.
La première partie est dédiée à la réflexion d'un personnage qui remet en question jusqu'à son existence et l'art de vivre des siens et des autres. Il ne comprend pas ce qu'il ressent, car ce n'est pas la façon de penser de sa race et s'en est d'autant plus intéressant.
La deuxième partie est placée sous le signe de la trahison et le personnage se rend compte que la vie est construite obligatoirement sur des choix, il va devoir prendre position malgré lui.
La troisième partie est une conséquence de la deuxième et laisse présager de nombreuses aventures à venir.
Je sais que nombre de lecteurs n'ont pas accroché au style d'écriture de l'auteur, pour ma part ce style fut ce qui m'a séduit le plus. Sans ambage, il se sert du prétexte de l'histoire pour amener sa propre conception de la vie. Si vous cherchez juste à lire un roman de dark fantasy passez votre chemin. L'histoire et les personnages sont légers, car ils servent l'idéologie de l'auteur et non l'inverse.
Imrryr est une cité qui rêve, j'ai adoré rencontrer ses habitants, son luxe, sa perdition, ses complots et trahisons. Mais aussi le panthéon "divin" qui peuple cet univers. J'attaque avec appétit la suite !
Une lecture aride. C'est comme lire une pièce de théâtre avec très peu de descriptions ou d'émotions des personnages, bref le style d'écriture est très nul. Le nombre de personnage est aussi très limité et ils n'ont aucune profondeur. On a Elric le mou, Cymoril la demoiselle en détresse, Yyrkoon le méchant et PNJ garde du corps. Voilà. Le scénario en lui-même est très basique avec trahison, sauvetage de princesse et épée magique. Elric n'agit que sous la contrainte et n'arrive a survivre que parce que les dieux le veulent (littéralement, plein de Deus Ex Machina). L'auteur en plus, à le plaisir de nous spoiler toute la saga dans la préface (ne pas la lire pour votre bien) et nous sort des phrases du genre "Le paysage des mes histoires n'est pas physique. Avant tout, il est métaphysique." Bref, l'auteur m'a déjà ennuyé avant même que je commence son histoire. Je pensais avoir affaire à une lecture rapide car le livre fait moins de 200 pages mais je n'ai trouvé qu'ennui et soupirs.
J'avoue que j'ai du mal à comprendre le succès de cette série qualifiée de chef-d'oeuvre de fantasy. En effet, l'écriture est vraiment le problème central de ce livre, elle est tout sauf immersive, j'ai l'impression de me retrouver dans un roman de Chrétien de Troyes tellement les personnages semblent à 100 000 milles lieux du lecteur, c'est vraiment désagréable comme sensation, et du coup c'est compliqué de s'immerger dans l'histoire. Cette dernière est un peu du réchauffé, le coup du héros qui va récupérer son trône, et puis l'idée de mettre qu'il est amoureux de sa cousine n'est pas des plus intéressantes non plus.
Les personnages sont apathiques au possible, l'auteur n'a pas prit la peine de travailler la psychologie de ses personnages, ceux-ci sont complètement manichéens, à tel point qu'on s'attend à voir le cousin d'Elric affirmer qu'il est le méchant, j'avoue qu'à ce point-là ça ne m'aurait même plus étonnée. J'ai dû lever les yeux au ciel une bonne vingtaine de fois dans ce roman.
Bref, j'avoue que j'ai eu beaucoup de mal avec cette lecture, qu'on dirait plus écrite dans les années 1300 que dans les années 70, alors que des oeuvres bien plus anciennes sont beaucoup plus claires, et mieux écrites.
C’est principalement une grande déception qui ressort de ma lecture. Le résumé et la couverture étaient très accrocheurs, je m’attendais à trouver un roman de dark-fantasy sombre et palpitant mais j’ai bien vite déchanté.
D’abord le style d’écriture m’a vraiment bloquée, j’ai rarement vu un style aussi mauvais (c’est peut être en partie dû à la traduction), en tout cas j’ai failli abandonner le livre pour ça : impossible de s’immerger dans le roman, tout est fait maladroitement, les dialogues entre les personnages, l’enchaînement des événements…
Je n’ai pas du tout été convaincue par les personnages non plus, je n’ai pas réussi à m’attacher à eux. L’auteur ne s’attarde pas du tout sur leur psychologie, on dirait des pantins qui exécutent machinalement toute une suite d’actions. Elric est le seul qui aurait pu avoir du potentiel à mes yeux par son originalité, tandis que les autres n’évitent pas les stéréotypes : le méchant jaloux et avide de pouvoir, la princesse en détresse, aussi belle que niaise, que le héros doit secourir…pour un roman classé en dark-fantasy je m’attendais à quelque chose d’autre.
L’histoire n’a rien d’incroyable non plus même si elle tient la route, c’est surtout le fait que tout s’enchaîne beaucoup trop rapidement qui m’a posé problème. Au moins on ne s’ennuie pas côté action, il y a énormément de rebondissements qui s’enchaînent pour un livre qui ne fait même pas 200 pages ! Le rythme est bien trop rapide à mon goût, ceci dit vu qu’il n’y a aucune recherche dans le développement des personnages ni dans l’écriture, il fallait bien meubler avec quelque chose…
C’est dommage parce que l’univers en lui-même est intéressant et il y a quelques trouvailles plutôt originales, avec la Cité qui Rêve et ses habitants qui se droguent pour ne jamais dormir, les dragons endormis, un bateau qui navigue sur terre et sur mer…malheureusement tout cela est mal exploité et gâché par une écriture fade et des personnages sans profondeur.
J’ai vu qu’il y avait une adaptation BD en cours, je serais curieuse de la lire car l’univers a du potentiel, il y a une atmosphère particulière qui visuellement rendrait très bien, et ce serait peut-être moins désagréable pour la lecture que sous la forme d’un roman.
Une bonne histoire des personnages hauts en couleurs, un scénario solide il manque juste un peu de souffle, de style pour que le tout prenne forme.je ne sais pas si cela tient de l'auteur ou du traducteur mais l'écriture est souvent à mon avis le point faible de Michael Moorcock .
Si le scénario est intéressant, l'écriture ne m'a pas du tout accrochée. Tout se passe trop vite, c'est un enchaînement de constats factuels. A aucun moment je n'ai réussi à m'identifier aux personnages et encore moins à l'histoire d'amour ultra mièvre entre Elric et Cymoril.
Tout est écrit de façon plate. Le fond est bon, dommage que la forme ne suive pas...
Une lecture assez mitigée .... j’ai beaucoup aimé l’univers de Moorcock et tous les mystères de celui ci cependant j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire. J’aime bien le personnage d’Elric mais je ne comprends pas toujours ses ´motivations’. De plus , certains passages sont très ‘plats’ et on a hâte de les terminer. Cependant j’ai envie d’en savoir plus et je vais tout de même continuer ma lecture avec la forteresse de la perle.
J'ai beaucoup aimé l'univers. Ce n'est pas souvent que je lis de la dark fantasy
Mais alors, l'histoire ! Tout est beaucoup trop linéaire, cela manque vraiment de scènes d'action comme on les aime.
Les personnages sont horriblement antipathiques. Je suis passionnée par les nécromanciens tout ça tout ça mais alors Elric, quelle plaie ! Je n'en pouvais plus.
L'écriture de l'auteur (ou peut-être la traduction) est trop fade, pas assez centrée sur les sentiments.
Résumé
Voici la tragique histoire de Melniboné, l'île aux Dragons, qui fut maîtresse du monde. Il y a de cela bien longtemps. Désormais les Dragons dorment et Melniboné dépérit. Sur le trône de Rubis siège Elric, le prince albinos, dernier de sa race, nourri de drogues et d'élixirs qui le maintiennent tout juste en vie. La menace plane ; alors il rend visite au Seigneur du Chaos, Arioch, et conclut un pacte avec lui. Il fait ainsi les premiers pas sur le chemin de l'éternelle aventure : le Navire des Terres et des Mers le porte à la cité pestilentielle de Dhoz-Kam, et son destin le pousse à franchir la Porte des Ténèbres ; au-delà, deux épées noires attendent leur maître et leur victime... Grandes ambitions, passions monstrueuses. Idéaux et trahisons. Souffrances atroces et joies cyniques. Tourments de l'amour et douceur de haïr. Un passé ancien, qui ne peut revivre que dans les plus immondes cauchemars.
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