Birthday Girl

Une nouvelle passionnante avec une fin ouverte qui laisse un peu frustré.

Un bémol pour la colorisation des illustrations avec le rose, le rouge, le blanc, le orangé (couleurs des couvertures du livre ) . Pas très agréable à mon goût.

"Vous allez faire un vœu. Et je l'exaucerai. Quel qu'il soit. A condition que vous ayez un vœu à formuler."

C'est sur cette dernière condition que reposent la réflexion et la fin ouverte.

Extrait Spoiler(cliquez pour révéler)"Quoi qu'on puisse souhaiter, aussi loin qu'on puisse aller, on reste ce que l'on est, voilà tout .

J'ai lu sans comprendre où l'auteur nous menait. Et finalement, on ne sait rien. Aucune explication sur rien, comme si l'oeuvre n'était pas terminée.

Spoiler(cliquez pour révéler)Au final, qu’est-ce qu’un bon souhait ?...Les souhaits ne sont-ils pas que songes?

En lisant quelques critiques au préalable, je pensais que cette nouvelle me déplairait. Et pourtant, j’ai bien aimé la lire. Elle est très courte, sans but précis, un simple moment de vie, furtif mais précieux. Au départ, le manque d’extravagance est justement ce qui m’a permis de me sentir proche de l’héroïne, dont le quotidien aurait pu ressembler à n’importe quel quotidien. L’histoire imbriquée avait également tout pour me plaire, jusqu’à la toute fin, avec des dernières lignes peut-être un peu trop abstraites, floues, rêveuses, pour une lectrice comme moi qui raffole des longues descriptions monotones et ornées d’énumérations. Mon ressenti global demeure cependant positif, d’autant plus que l’ouvrage est joli, très bien illustré, et que les pages sont nobles. Je le conserverai dans un coin visible de ma bibliothèque, afin de pouvoir le relire à mon gré, par un après-midi de pluie, ou une nuit d’insomnie, peut-être qu’un état d’esprit et une perspective différente m’aideront à mieux saisir l’implicite de l’œuvre.

Ce livre m'a totalement fait décroché de cet auteur qui n'est définitivement pas fait pour moi.

Une nouvelle, à l'image des romans d'Haruki Murakami, profonde, onirique et envoûtante. Ce texte nous plonge dans l'univers d'une jeune fille qui fait une rencontre extraordinaire le jour de ses vingt ans. La vieillesse et la jeunesse, l'expérience et la fougue, se rencontrent sans que cette histoire soit manichéenne.

Avec une grande question, intemporelle : si quelqu'un avait une baguette magique et le pouvoir de nous accorder notre voeu le plus cher, serions-nous sûrs de faire le bon choix ?

La fameuse formule d'Oscar Wilde "quand les dieux veulent nous punir ils exaucent nos prières" va-t-elle s'appliquer ici ? Quel enchaînement de circonstances préside à nos destinées, ou quelle bifurcation ?

Ce conte de fées moderne nous offre une étude sur le sens de la vie, nos attentes, nos souhaits, ce qui fait le bonheur de chacun, dans une fable superbement illustrée.

Sans intérêt.

Ces deux mots résument bien mon ressenti au sortir de cette histoire au texte insipide (malheureusement je ne sais pas s’il s’agit d’un problème de traduction mais j’ai lu des mangas mieux écrits) et au scénario plat. L’intrigue est originale parce que personne n’aurait penser à la raconter mais vu qu’elle ne raconte rien alors je ne comprends pas pourquoi Murakami s’est donné cette peine. Les personnages apathiques n’aident pas les choses, je me suis ennuyé pendant l’entière demi-heure que cela m’a pris pour le finir.

Heureusement que c’était une nouvelle !

Étrangement, j'ai vraiment bien aimé. C'était mon premier Murakami et je suis bien curieuse d'en découvrir davantage.

La forme de ce livre est originale et les illustrations sont magnifiques et correspondent très bien au texte.

Dommage qu'il soit aussi court...

l'histoire est plate, mais intrigante, les illustration eux par contre sont très artistique, facile a lire et lisable en a peine deux heures en relisant certaines pages pour 65 pages.

Birthday Girl est un livre bizarre. L'histoire en elle-même est banale mais intrigante, quelque chose nous pousse à continuer. Les illustrations qui accompagnent le récit sont aussi magnifiques que loufoques. La fin ouverte est une bonne idée même si on ne questionne tout de même sur son voeu.