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Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l’art difficile d’écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l’encre, l’enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d’un singe, des lettres d’adieu aussi bien que d’amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c’est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre de réconciliations inattendues.
J'avais six ans quand j'ai tenu un pinceau pour la première fois. Le 6 juin de l'année de mes six ans - jour supposé faste pour les progrès pédagogiques -, pour la première fois de ma vie, j'ai pris en main un pinceau qui m'était destiné. Il avait été fabriqué avec des mèches de ma chevelure de bébé.
Aussi apaisant que touchant, La Papeterie Tsubaki est vraiment une belle découverte ! On suit le retour de Hatoko dans sa ville natale ou elle doit reprendre malgré elle le métier d'écrivain public en même temps que la gestion de la papeterie familiale. J'avais quelques réserves concernant ce livre, moi qui m'attendait à une histoire un peu mièvre j'ai du revoir mon jugement. on déambule avec plaisir avec Hatoko dans les rues de Kamakura et on en viendrait presque à envisager une reconversion en écrivain public. Les petits plus de ce livre ? Une écriture fine et délicate parsemée des lettres écrites pour les clients de la papeterie.
Une bonne écriture agréable. Un contexte simple, tranquille et assez dépaysant. Tous les ingrédients d'un bon petit roman qui fleure bon sérénité et poésie.
Un roman comme seul Mme Ogawa sait le faire. Un récit serain autour de l'art de la calligraphie qui pourrait vite être ennuyeux sous une autre plume mais qui prend toute sa dimension poétique sous la sienne.
Tout en poésie et délicatesse, ce roman présente l'originalité de mettre l'écriture complexe de la langue japonaise au centre de histoire. La traduction en français est d'ailleurs un véritable exploit.
La vie d'Hatoko (Poppo), si calme et posée, semblait bien loin de mes habitudes de lecture ! Moi qui suis plutôt attiré par les aventures et les rebondissements avec des univers loin de la réalité.
Néanmoins, ce livre est une véritable ode à la douceur, une poésie délicate sur le temps qui s'écoule au fil des saisons.
On se laisse emporter par la tranquillité de Kamakura et par les relations touchantes que Poppo tisse avec les gens qui l'entourent. Chaque personnage, avec ses particularités et son histoire, apporte une nuance précieuse à ce tableau de la vie quotidienne. Comme Poppo, on ressent des émotions ambivalentes, mais on apprend à apprécier la beauté des petits moments et à faire de notre mieux, jour après jour.
Même si ce n'est pas mon genre de lecture habituel, je vous remercie de nous l’avoir proposé. Je vais le prêter à d’autres personnes qui aiment ce genre de lecture autour de moi.
C’est selon moi un livre à savourer lentement, comme une tasse de thé à la papeterie.
Magnifique livre tout doux et si léger. Cela donnerait envie de tenir cette petite papeterie et d'être écrivaine publique. Il met en avant l'importance des mots et la beauté de l'écriture dans une ville où l'on s'attache à ses habitants et qui permet également d'en apprendre plus sur la culture nippone.
Mon premier Ito Ogawa et quel moment de pur bonheur ! Je suis tombée instantanément amoureuse de la richesse de sa plume et de sa façon de raconter des histoires, tout en douceur et en même temps sans fards et sans artifices.
Je remercie l'équipe de ma médiathèque qui a glissé ce roman dans ma box mystère, ce qui m'a permis de le découvrir, car je reconnais ne pas être spécialement attirée par la littérature asiatique. Mais le titre de ce roman m'a attiré de par son attrait pour le monde de la papeterie et de l'écriture que j'aime beaucoup.
Le roman s'articule autour des quatre saisons, qui font de ce livre quatre chapitres plutôt inégaux... On passe plus de temps dans les premières saisons que les dernières. Au fil des saisons, on suit les rencontres faites par Hatoko, la jeune femme de retour au pays pour reprendre la papeterie de sa grand-mère, ainsi que son rôle de calligraphe et d'écrivain public.
À l'heure où les lettres manuscrites disparaissent, ce roman met en lumière cet art magnifique qu'est la calligraphie, et au travers de chacune des commandes reçues, on découvre un nouveau support ou encore pourquoi utiliser telle encre ou tel crayon ou encore telle écriture pour transmettre tel ou tel message. Cet aspect du roman est ce que j'ai préféré dans ma lecture. L'intégration d'idéogrammes japonais tout au long du roman apporte une authenticité certaine à la lecture.
Mais car oui, il y en a qui n'est pas des moindres ! Le temps s'écoule lentement, et même trop pour moi. L'histoire manque de rebondissement et c'est une lecture qui aurait tendance à être assez soporifique malgré la douceur et la légèreté qui ressortent des mots de l'auteure.
Même si cela reste une lecture agréable, je ne suis toujours pas convaincue de découvrir d'autres romans de littérature asiatique.
J’ai rarement lu un livre aussi poétique. Tout est simple; l’écriture, l’histoire, les personnages. Et c’est justement cette simplicité qui rend l’histoire de Hatoko poignante. Au début on s’attend à plus mais au final ça suffit, parce que c’est ça aussi une belle histoire. Finalement, je m’attendais à une lecture légère et rafraîchissante mais au fil des pages on découvre des thèmes plus profonds tels que le deuil ou le pardon, toujours abordés avec finesse .
C’est bien l’un des seul livre où j’ai lâché une larme !
Résumé
Hatoko a vingt-cinq ans et la voici de retour à Kamakura, dans la petite papeterie que lui a léguée sa grand-mère. Le moment est venu pour elle de faire ses premiers pas comme écrivain public, car cette grand-mère, une femme exigeante et sévère, lui a enseigné l’art difficile d’écrire pour les autres.
Le choix des mots, mais aussi la calligraphie, le papier, l’encre, l’enveloppe, le timbre, tout est important dans une lettre. Hatoko répond aux souhaits même les plus surprenants de ceux qui viennent la voir : elle calligraphie des cartes de vœux, rédige un mot de condoléances pour le décès d’un singe, des lettres d’adieu aussi bien que d’amour. A toutes les exigences elle se plie avec bonheur, pour résoudre un conflit, apaiser un chagrin.
Et c’est ainsi que, grâce à son talent, la papeterie Tsubaki devient bientôt un lieu de partage avec les autres et le théâtre de réconciliations inattendues.
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