Le Chant des sans repos, Tome 1

J’aurais adoré, adorer cette histoire ! Sincèrement, l’arc narratif des deux personnages, dont l’intrigue est construite en miroir, est plutôt prometteur. On a envie de les suivre jusqu’à leur confrontation, et on se régale de leur tourment.

Cela dit, la narration est particulièrement lourde. J’ai avancé avec beaucoup de difficulté, et c’est probablement à cause de la personnalité de l’héroïne, Karina, la princesse héritière de Ziran. Je l’ai trouvée extrêmement agaçante et, surtout, elle m’a semblé aux antipodes de toutes les caractéristiques qui résonnent dans le contexte de l’histoire. Sans déconner, elle m’a fait l’effet d’une verrue. Elle est fausse, impétueuse et son manque de maturité m’a presque donné envie d’arrêter ma lecture… mais pour Malik et sa petite sœur, j’ai persévéré… je n’irai pas la suite !

Un univers très complexe sous couvert de légendes qui me sont inconnues. L'auteur à réussi à m'intriguer. J'ai hâte de lire la suite car rien n'est réglé.

http://www.unbrindelecture.com/2023/08/le-chant-des-sans-repos1-de-roseanne.html

Un premier tome haletant qui plonge dans un univers où la magie des mille et une nuits de nos enfances vient saupoudrer le tout d'un arrière gout envoutant. On s'immerge dans cette lecture aux côtés de Malik et Karina qui ne sont pas du même côté mais qui vont cependant se trouver bien des points communs mais la destinée en décide parfois autrement ... Un régal !

C'était une lecture très divertissante.

J'aime beaucoup les liens avec la culture africaine qui sont présente dans ce livre, ça change un peu des histoires qui se passent en Occident.

J'ai toujours un peu de mal avec les livres où on alterne à chaque chapitre entre deux personnages qui se rejoignent à un moment mais cette fois-ci ce n'était pas dérangeant.

J'aime beaucoup la plume de l'autrice, le vocabulaire, le rythme de lecture.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Malik, sa dévotion envers sa famille.

En conclusion, une agréable découverte.

Malik a fui la guerre avec ses deux soeurs. Ostracisés à cause de leurs origines, ils peinent à entrer à Ziran, grande cité-état dirigée par la mère de la princesse Karina. Mais quand Nadia, sa plus jeune soeur est kidnappée par un mauvais esprit, Malik accepte, pour la libérer, d'assassiner la princesse.

Malgré une intrigue de départ plutôt classique, Le chant des sans repos est un petit coup de coeur. J'ai été happée par l'écriture fluide et les actions qui se succèdent à un rythme régulier.

Comme d'habitude, je n'ai pas été très emballée par la romance qui arrive un peu rapidement, mais cela a été largement compensée par l'action, la magie, les complots et les réflexions des divers personnages.

Malik et Karina sont touchants. L'auteur a d'ailleurs construit autour de Malik une réflexion intéressante sur l'identité, la perception de soi, les angoisses, l'esprit... bref, un personnage torturé qui grandit dans les épreuves qu'il traverse.

J'ai aussi beaucoup apprécié l'univers qui met à l'honneur la culture africaine dans un univers fantasy donnant corps à plusieurs légendes issues du folklore.

Au vu de la fin la suite s'annonce encore plus magique et compliquée entre nos deux personnages principaux.

J'ai lu ce livre sans attente particulière, mais il a vraiment été difficile à terminer. Le fond de l'histoire aurait pu être intéressante mais je n'ai pas réussi à accrocher avec le personnage de Karina, je ne la trouve pas très intéressante, un peu hautaine... Malik ne me dérange pas mais ce n'est pas le coup de cœur non plus.

Il y a beaucoup beaucoup de longueur dans l'histoire, on brode beaucoup pour des évènements par forcément intéressant, et du coup, dès qu'il y avait quelque chose d'important c'était noyé dedans. C'est dommage.

L'univers est complexe, ce n'est pas quelque chose qui me dérange en général mais là on n'a pas assez de contexte, d'explication... Mais d'un côté rajouter des descriptions auraient alourdi encore plus la chose... Je ne sais pas comment l'autrice aurait pu faire autrement.

Il y a beaucoup de description dans le livre, c'est ce qu'il m'a fait décrocher.

Je pense ne pas avoir accroché à la plume de l'autrice, je ne lirai pas le tome 2.

Comment dire combien j'ai aimé "Le chant des sans repos" de #roseanneabrown ? Cette fantasy africaine est très originale et immersive. J'ai tout de suite adoré suivre Malik et Karina, j'étais sur les charbons ardents tant j'ai pris leur histoire à cœur. Le roman est bien construit et palpitant, j'ai beaucoup aimé aussi les personnages secondaires, notamment Leila et Tunde.

Mon seul point négatif serait qu'il n'y a pas de carte de la ville de Ziran. J'avais un peu de mal à me représenter l'organisation de cette ville qu'on arpente de long en large. Mais c'est un détail.

Autrement, on parle de cette splendide édition reliée ? Je suis fan. Je ne veux plus que des livres comme celui ci maintenant !

Je suis étonnée de ne pas entendre plus parler de cet excellent roman sur les réseaux. J'ai vraiment adoré et j'espère ne pas attendre trop longtemps pour lire le tome 2.

Le chant des sans repos est un roman saisissant, de part l'utilisation de la mythologie africaine qui est d'une richesse incroyable et peu exploitée dans le genre de la fantasy. Ainsi, j'ai beaucoup aimé le cadre de l'histoire et les descriptions sont très agréables à lire. La plume de l'autrice est donc très fluide et addictive : j'ai dévoré les pages. Ensuite, les personnages sont bien construits et ont une évolution intéressante tout au long du roman. L'alternance des points de vue est bien construite et ne coupe pas le rythme du roman, bien au contraire. Il y a une certaine tension pour l'ébauche d'une relation ennemies to lover que j'apprécie. Le suspens est donc bien ménagé pour le moment tant attendu. Toutefois, le roman reste assez young-adult et j'avais deviné la plupart des retournements de situation. Ce que j'adore d'ailleurs et qui ne m'a pas dérangé car ils restent très bien faits, j'ai juste été trop à l'écoute des indices. Et ce roman est donc un coup de coeur pour moi et j'ai tellement hâte que la suite soit traduite ! En effet, la fin promet un très joli tome 2 !

Aujourd’hui je viens vous parler d’un tome 1 de duologie que j’ai fort apprécié : Le Chant des sans repos, écrit par Roseanne A. Brown et publié en VF chez De Saxus.

Avant tout, le style de l’autrice est vraiment agréable (smooth like butter, toussa). Mais si j’ai ouvert ce livre, c’est surtout par envie d’en découvrir plus en fantasy africaine (qui plus est, c’était le thème du mois d’aout du challenge sfff). Je ne dirais pas que ce souhait est totalement réalisé vu que pour moi on ne creuse pas assez dans le système de croyances et de magie de l’univers (mais je m’en formalise pas, je m’y attendais un peu dans un YA). Néanmoins, c’était une première pour moi et j’ai adoré plonger dans un univers de fantasy africaine. Justement, je trouve que l’autrice se rattrape bien avec d’autres éléments du livre beaucoup plus travaillé : le système politique, les relations sociales, le système de classes, etc.

Les personnages sont sympas, je ne dirais pas qu’ils m’ont marquée mais j’apprécie qu’ils soient cohérents dans leurs prises de décisions. Qui plus est, les personnages secondaires ne sont pas non plus laissés de côtés, ça fait plaiz.

Je trouve que de nombreux thèmes intéressants sont abordés dans le livre, comme l’autisme, les inégalités sociales, le deuil, etc. Bon, y’a clairement un petit côté romance dans ce livre mais je mords sur ma chique et puis c’est vrai que ce n’est ni trop barbant ni prédominant.

De manière générale, j’ai bien aimé l’intrigue que j’ai trouvée, pour le coup, originale, avec beaucoup de rebondissements inattendus. On ne s’ennuie pas et les pages défilent. J’ai clairement hâte de lire la suite, car même si le livre est un YA bien ancré dans les schémas classique dudit genre, il reste une lecture agréable et sans prise de tête.

Je suis assez mitigée après ma lecture. Le concept semblait très prometteur, le folklore africain, la petite romance, la magie tout ça tout ça.

J'en attendais beaucoup du côté folklore africain. On est plongé dans une ambiance très orientale mais au final rien de très nouveau non plus. C'est un univers qu'on retrouve de plus en plus dans les livres.

Ce que j'ai aimé c'est la magie, même si tout arrive à la fin comme un cheveux sur la soupe alors que ça fait 300 pages qu'on attend qu'un truc se produise. En fait, tout se passe dans les derniers chapitres et c'est très confus. On a beaucoup d'informations d'un coup, beaucoup d'actions avec des descriptions pas toujours très claires.

Pareil pour les différentes ethnies du livre. J'ai rien compris, et au final on en parle qu'au début du livre. Après on oublit complètement cette trame sur le racisme qui pointait le bout de son nez dans les premiers chapitres et qui avait pourtant de quoi m'intéresser.

Du côté de la romance, je ne suis pas ambalée non plus. Les personnages ne vont pas spécialement ensemble, je trouve qu'ils pourraient forger une belle amitié mais une histoire d'amour j'y crois moyen. On ne voit pas vraiment de relation naître juste des petits détails par-ci par-là.

L'ensemble semble un peu trop brouillon. J'ai trouvé le tournoi très inspiré de la coupe de feu. Sauf que la ça tombe à plat parce que les épreuves sont vues et revue. Et franchement l'autrice aurait pu trouver mieux... en vraie, elles sont vraiment nulles.

C'est un peu dommage car il y avait de belles promesses mais ça n'a pas spécialement marché pour moi.