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Il y a bien longtemps de cela, au milieu d'un océan, une frégate de la marine française fit naufrage. Cent quarante-sept hommes tentèrent d'en réchapper en prenant place dans un radeau. Une horreur qui se prolongea des jours, durant lesquels se donnèrent à voir la férocité extrême et la pitié la plus douce.
Il y a bien longtemps de cela, sur le bord de l'océan, arriva un homme. Ce qui l'avait amené là était une promesse. La pension dans laquelle il s'arrêta s'appelait Almayer, «posée sur la corniche ultime du monde». Sept chambres, sept naufragés de la vie qui sont venus là pour prendre congé d'eux-mêmes et tenter de renaître : un peintre, une femme très belle, un professeur avec un drôle de nom, un homme mystérieux, une jeune fille qui ne voulait pas mourir, un prêtre amusant. Un mystérieux habitant dans la septième chambre,d'étranges enfants qui tels des anges gardiens hantent la maison et l'âme de ses hôtes. Tous là, à chercher quelque chose, en équilibre sur l'océan.
Il y a bien longtemps de cela, ces destins et d'autres rencontrèrent la mer en revinrent marqués. Ce livre les raconte, parce que en les écoutant, on entend la voie de la mer. Il peut se lire comme un récit à suspens, un poème en prose, un conte philosophique ou un roman d'aventures. Ce qui domine en tout cas, c'est la jubilation de raconter des histoires, à travers une écriture et une technique romanesque sans modèles ni antécédents.
Et destin serait le nom de cet océan mer, infini et superbe. Je ne me trompais pas , là-bas sur le rivage, pendant ces hivers-là, quand je pensais que la vérité était ici. J'ai mis des années à descendre au fond du ventre de la mer. Mais ce que je cherchais, je l'ai trouvé. Les choses qui sont vraies. Même celle-ci, de toutes, la plus insupportablement et atrocement vraie. C'est un miroir, cette mer. Ici, dans son ventre, je me sis vu moi-même. Je me suis vu vraiment.
Il y a sept chambres dans la pension Almayer. Autant de blessures, peut-être plus encore. Et il y a la mer. La mer qui guérit, mais l’autre aussi… Celle qui tue. Et l’autre encore… Celle qui n’y peut rien.
Océan Mer c’est l’histoire de Thomas et Savigny, une histoire de cruauté et de survie. Une histoire de vengeance. Océan Mer c’est aussi l’histoire d’Elisewin qui va rencontrer la mer pour ne pas mourir. Et l’histoire d’une très belle femme qui essaie de se guérir de l’amour. Et l’histoire d’un scientifique qui essaie de rencontrer l’amour. Et l’histoire d’un peintre qui essaie de saisir l’insaisissable. C’est le livre où on cherche où commence la mer. Et où elle finit. C’est surtout la rencontre de tous ceux-là, au même endroit. À la pension Almayer ce sont des enfants étranges et magiques baptisés avec des noms en D qui accueillent les multiples personnalités qui jonchent ce livre.
Sous la plume de Baricco, on rencontre cette faune unique où la blessure de chacun chatoie sous le regard des autres. La particularité de la trame narrative de Baricco c’est d’être à la fois dans le temps et hors du temps, dans le lieu et hors du lieu. Le Sénégal et la France sont évoqués, mais on parle du Royaume, un Royaume où certains éléments nous projettent au Moyen-Âge, d’autres dans une étonnante modernité. Océan Mer est un conte pour adulte dont le personnage principal est la mer elle-même et dont le seul décor qui compte vraiment est construit des mots de Baricco.
Bon, c’était ma première entrée chez Baricco. On me dit que ce n’est pourtant pas la plus belle pièce. Et pourtant, je suis tombée gravement sous le charme. J’ai dévoré ce livre, à la fois emportée par le style unique et changeant, comme une œuvre artisanale qui se refuserait de suivre un modèle symétrique. Comme une courtepointe sans patron. Ici tout est riche : le vocabulaire, le style, la syntaxe. Ça roule en bouche comme un plaisir gastronomique. J’ai eu des envies de me lever dans mon lit pour faire la lecture à haute voix, pour écouter la beauté. Et au cœur de tout cela, la voix de la mer. À la fois cruelle et terrifiante, douce et maternelle.
Je ne saurais trop recommander ce livre à ceux qui comme moi sont bien en retard pour découvrir Alessandro Baricco.
Alors je dois dire que dès les premières pages de ce roman, je suis tombée dans une grande perplexité. J'ai tout trouvé bizarre et obscure et j'ai vraiment craint de ne pas accrocher. On se serait cru un peu dans un rêve, quand ce qui est absurde est normal. Même les phrases sont étranges, qui s'arrêtent parfois brutalement, sans point, et changent de ligne…
Et puis il y a eu les lettres de Ismaël Bartleboom et je suis tombée sous le charme de cette étrange histoire… et puis j'ai continué de ne rien comprendre.
Mais j'ai persisté ! Page 90 je ne savais toujours pas ce que je lisais. Je me suis dit que ça viendrait, mais ça n'est jamais venu. Mes yeux lisaient les lignes mais mon cerveau était ailleurs. Pourtant j'ai persisté.
Il y a beaucoup de poésie dans ces lignes, des moments d'une grande beauté. Mais la multiplicité des personnages m'a égarée autant que l'absurdité des dialogues et des situations, selon mes propres critères bien sûr. Je sais que ce roman est considéré par beaucoup comme une sorte de merveille, mais moi je me suis demandé tout le long de ma lecture dans quel univers vivait le bonhomme. Je me suis ennuyée, mais tellement !!!
Je me demande même comment ma fille a pu aimer ce livre au point de tenir absolument à ce que je le lise.
Au fond, je crois que ce roman est une longue métaphore qui m'a totalement échappée. Mais même ça je n'en suis pas sûre.
J'avais bien aimé Soie, mais celui-ci pas du tout. Je l'ai trouvé tellement onirique et abscons ! Je suis passée totalement à côté.
Premier roman lu dans le cadre du #bookclub du @prixbookstagram pour #unétéenitalie et pour moi c'est un fiasco total, un long chemin de croix jusqu'au mot fin.
Magnifique livre, son style est doux profond et beaux, il faut lâcher prise au monde pour rentrer dans cette histoire, oublier la logique et voir la beauté de la mer. La mer, là, lointaine, silencieuse et bruyante.
Alessandro Baricco, ce nom est synonyme pour moi de musicalité, de poésie, dun récit de qualité et dune belle écriture. Je suis content de retrouver tout ça dans ce roman. Sept naufragés sur une île et locéan mer, à la fois douceur et destructrice, poésie et mélancolie se rejoignent dans ce roman. Cest le genre de livre ovni qui vous fera soit passer à côté, soit entrer dans un récit dune grande qualité.
Les personnages ont tous un parcours différent mais se retrouvent ici, sur cette terre perdue, entre images et mirages. Comme toujours chez cet auteur il y a une musicalité, non pas que le roman tourne autour de la musique mais jai toujours limpression quil écrit une symphonie avant décrire un roman. Ces sept vies brisées par les écumes de locéan mer, apprendrons chacun à dompter la vague qui les submerges dans ce roman initiatique.
Il y a de la poésie, de la philosophie, on est à la fois dans et hors du temps, peu importe où et quand on se trouve, on y est et cest tout ce qui compte. Poème en prose dit la quatrième de couverture, oui cest exactement cela, un poème en prose avec une écriture qui donne envie de se prélasser sur une plage, le cœur tourné vers locéan et les yeux dans lâme.
Un auteur à découvrir, à lire ou relire, ce compte pour adultes apaisant ravira les amoureux de la mer comme moi.
Oh la la quel beau livre ! Plein d'imaginaire et de poésie. Un peu trop parfois même, il est difficile de rester concentrer sur la magie qui se dégage des mots à chaque instant. Les sept personnages sont aussi d'un intérêt inégal, si bien qu'il est parfois difficile de rester immergé (eh oui, c'est ça le pouvoir de la mer !) mais c'est nous lecteur, qui ne sommes pas toujours à la hauteur de cette langue magnifique. Mon préféré : le chapitre sur Anna Deveria. Mais tous les personnages sont formidables.
On a le récit de sept personnages blessés et qui tentent de reprendre goût à la vie grâce à la pension Almayer qui se trouve tout près de la mer. La mer est le huitième personnage de cette histoire.
Avis : Autant j'ai aimé ce roman autant j'aurais du mal à vous en parler. J'ai aimé sa poésie, ses couleurs, ses sons. J'ai aimé ses idées. Vous l'avez compris ce livre est un gros coups de cœur. Et mes exigences étaient haute parce que j'ai adoré «Soie». Pourtant, ce livre est un fourre-tout de détails, de personnages, de lieux. J'ai adoré ce roman un peu farfelu, un peu philosophique, un brin sentimental mais aussi un peu drôle.
Un véritable poème en prose qui m'a transporté durant toute ma lecture.
J'ai apprécié la palette de personnages d'Alessandro Baricco, si belle - unique. Entre Elisewin, Plasson, Ann Déveria, le père Pluche, Bartebloom et les autres, chacun plus loufoque et attachant que le précédent, entre Dol, Dira et les enfants de la pension, entre ce passage stupéfiant sur Le radeau de la Méduse, entre cette fin époustouflante et le reste, on n'en sort pas sans être changé, intimement. En ce livre, tout est toujours, peut-être un seul mot : tellement. Je le recommande à tous.
C'est le premier livre d'Alessandro Baricco que j'ai lu, découvert par hasard. Je ne l'ai pas lâché du début à la fin, j'ai été totalement envoutée par l'histoire, par l'écriture. C'est un livre magnifique dont je garde un très bon souvenir, et certainement le meilleur que j'ai lu à ce jour.
Résumé
Il y a bien longtemps de cela, au milieu d'un océan, une frégate de la marine française fit naufrage. Cent quarante-sept hommes tentèrent d'en réchapper en prenant place dans un radeau. Une horreur qui se prolongea des jours, durant lesquels se donnèrent à voir la férocité extrême et la pitié la plus douce.
Il y a bien longtemps de cela, sur le bord de l'océan, arriva un homme. Ce qui l'avait amené là était une promesse. La pension dans laquelle il s'arrêta s'appelait Almayer, «posée sur la corniche ultime du monde». Sept chambres, sept naufragés de la vie qui sont venus là pour prendre congé d'eux-mêmes et tenter de renaître : un peintre, une femme très belle, un professeur avec un drôle de nom, un homme mystérieux, une jeune fille qui ne voulait pas mourir, un prêtre amusant. Un mystérieux habitant dans la septième chambre,d'étranges enfants qui tels des anges gardiens hantent la maison et l'âme de ses hôtes. Tous là, à chercher quelque chose, en équilibre sur l'océan.
Il y a bien longtemps de cela, ces destins et d'autres rencontrèrent la mer en revinrent marqués. Ce livre les raconte, parce que en les écoutant, on entend la voie de la mer. Il peut se lire comme un récit à suspens, un poème en prose, un conte philosophique ou un roman d'aventures. Ce qui domine en tout cas, c'est la jubilation de raconter des histoires, à travers une écriture et une technique romanesque sans modèles ni antécédents.
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