Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
De toutes les qualités qui ont justifié le succès de la Trilogie new-yorkaise, l'art de la narration est sans doute la plus déterminante. C'est qu'il suffit de s'embarquer dans la première phrase d'un de ces trois romans pour être emporté dans les péripéties de l'action et étourdi jusqu'au vertige par les tribulations des personnages. Très vite pourtant, le thriller prend une allure de quête métaphysique et la ville, illimitée, insaisissable, devient un gigantesque échiquier où Auster dispose ses pions pour mieux nous parler de dépossession.
C'est un faux numéro qui a tout déclenché, le téléphone sonnant trois fois au cœur de la nuit et la voix à l'autre bout demandant quelqu'un qu'il n'était pas. Bien plus tard, lorsqu'il pourrait réfléchir à ce qui lui était arrivé, il en conclurait que rien n'est réel sauf le hasard. Mais ce serait bien plus tard. Au début, il y a simplement eu l'événement et ses conséquences. Quant à savoir si l'affaire aurait pu tourner autrement ou si elle avait été entièrement prédéterminée dès le premier mot qui sortit de la bouche de l'étranger, ce n'est pas le sujet. Le sujet, c'est l'histoire même, et ce n'est pas à elle de dire si elle a un sens ou pas.
C'est compliqué. A force de vouloir être original... on s'y perd. Un philosophe nous explique à la fin du livre le sens caché qu'il fallait qu'on trouve... et bien même ça c'était compliqué. Un livre dont le succès m'étonne.
Je ne sais pas trop comment aborder le commentaire de ce livre, qui regroupe trois romans différents et donc trois histoires en apparence différentes, mais avec des thèmes communs.
Il y a clairement un "style Auster" qui m'a plu pour ne pas dire happée dès les premières phrases. L'écriture, fluide parce que travaillée, m'a énormément plue et je n'ai plus eu qu'à me laisser porter par elle tout au long de ces trois histoires.
Et heureusement que l'écriture est là, car je pense sinon que les histoires pourraient en rebuter certains. On se demande où l'auteur veut en venir et si elles commencent toutes de façon normale, ce qui est développé ensuite sort de l'ordinaire (encore que pour chaque histoire, on comprend dès le début que la vie des narrateurs va prendre un drôle de tournant). Auster jongle avec cela et on le suit avec bonheur.
Mais ce que racontent ces trois romans est presque secondaire tant les sujets abordés dans chaque prédominent : l'identité (état civil mais aussi la perception que peut avoir chacun de son identité propre, ce qui fait d'une personne ce qu'elle est), les apparences (ce que l'on perçoit et donne à percevoir aux autres et ce que l'on veut bien voir ou croire), l'écriture (car chaque personnage principal écrit ou veut écrire) et une certaine forme d'obsession dans les buts fixés.
Auster joue avec tout cela à merveille et là où d'autres se seraient fourvoyés en un équilibre précaire, lui a superbement réussi à en faire un ensemble cohérent et parfaitement cadré. Même dans les aspects les plus rocambolesques de chaque histoire on ne peut que se laisser guider (pire, y croire) tant c'est bien écrit et bien pensé.
J'en re-veux d'autres, des comme ça. Je lirai d'autres romans de cet auteur, autant par plaisir de lire son écriture que pour ce qu'il a à nous raconter.
Je n'ai pas été convaincue. J'ai eu du mal à accrocher à la première histoire, je ne voyais pas bien où la deuxième menait et c'est à la troisième que l'on comprend la logique. J'ai acheté le livre parce que j'aime le style de l'auteur et il met beaucoup de réflexion dans l'écriture, on comprend qu'il expose sa vie, qu'il parle de lui.
L'auteur s'identifie aux différents personnages à moins qu'il ne s'agisse de différentes facettes de lui-même. Le base-ball, les livres, New-York, la dépossession, sont, entre autres, des sujets d'introspection ou prétexte au récit qui fourmille de références, de poupées russes comme l'écrivain créé par l'auteur qui s'identifie à son tour à son personnage.D'un opus à l'autre, les personnages du triptyque se croisent, se ressemblent et s'échangent au cours du récit puis se rejoignent.
J'ai tout de suite été happé par le récit, touché par les thèmes abordés, curieux de connaitre le dénouement à chaque fois.
Les trois romans sont bien écrits, pleins de suspens et bien menés même si ils ne sont pas tous de même qualité. Ma lecture m'a cependant laissée avec plus de questions à la fin que pendant, ce qui peut être étonnant pour des sortes d'enquêtes.
Alors, ce petit pavé m'avait été conseiller. Un livre sur les secondes chances, sur la voie de la vie que l'on trouve. Si j'ai apprécié le roman de la première trilogie, j'ai trouvé les deux autres quelque peu redondant. Mais, j'ai toujours été agréablement surprise par le dénouement final des trois romans dedans. L'écriture de Paul Auster est toujours aussi sublime. Un vrai régale à lire, malgré la monotonie des récits.
Les trois ne sont pas égaux dans la qualité mais je les ai lu d'affilé et cela équilibre le tout. Un petit sentiment d'inachevé toutefois, il manque quelque chose pour que ce soit vraiment génial.
Les personnages comme souvent chez cet auteur sont intéressants, on s'y attache vraiment on veut les suivre.
Je ne conseillerais pas de connaître cet auteur avec cette trilogie mais, pour ceux qui aime son univers à lire sans hésitation.
Je n'ai lu que Cité de verre. Au début, il ne m'inspirait pas (en même temps c'était une lecture pour la fac) mais à force de l'étudier j'ai appris à l'apprécier un minimum.
Des thèmes récurrents dans les 3 histoires qui composent cet ouvrage : l'enquête, l'obsession, le mystère, réflexion littéraire... Un bon ouvrage dans l'ensemble. Perso, j'ai préféré le dernier.
Résumé
Quatrième de couverture
De toutes les qualités qui ont justifié le succès de la Trilogie new-yorkaise, l'art de la narration est sans doute la plus déterminante. C'est qu'il suffit de s'embarquer dans la première phrase d'un de ces trois romans pour être emporté dans les péripéties de l'action et étourdi jusqu'au vertige par les tribulations des personnages. Très vite pourtant, le thriller prend une allure de quête métaphysique et la ville, illimitée, insaisissable, devient un gigantesque échiquier où Auster dispose ses pions pour mieux nous parler de dépossession.
Afficher en entier