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Les Furtifs



Description ajoutée par x-Key 2019-04-18T01:31:22+02:00

Résumé

Ils sont là parmi nous, jamais où tu regardes, à circuler dans les angles morts de la vision humaine. On les appelle les furtifs. Des fantômes ? Plutôt l’exact inverse : des êtres de chair et de sons, à la vitalité hors norme, qui métabolisent dans leur trajet aussi bien pierre, déchet, animal ou plante pour alimenter leurs métamorphoses incessantes.

Lorca Varèse, sociologue pour communes autogérées, et sa femme Sahar, proferrante dans la rue pour les enfants que l’éducation nationale, en faillite, a abandonnés, ont vu leur couple brisé par la disparition de leur fille unique de quatre ans, Tishka – volatilisée un matin, inexplicablement. Sahar ne parvient pas à faire son deuil alors que Lorca, convaincu que sa fille est partie avec les furtifs, intègre une unité clandestine de l’armée chargée de chasser ces animaux extraordinaires. Là, il va découvrir que ceux-ci naissent d’une mélodie fondamentale, le frisson, et ne peuvent être vus sans être aussitôt pétrifiés. Peu à peu il apprendra à apprivoiser leur puissance de vie et, ainsi, à la faire sienne.

Les Furtifs vous plonge dans un futur proche et fluide où le technococon a affiné ses prises sur nos existences. Une bague interface nos rapports au monde en offrant à chaque individu son alter ego numérique, sous forme d’IA personnalisée, où viennent se concentrer nos besoins vampirisés d’écoute et d’échanges. Partout où cela s’avérait rentable, les villes ont été rachetées par des multinationales pour être gérées en zones standard, premium et privilège selon le forfait citoyen dont vous vous acquittez. La bague au doigt, vous êtes tout à fait libres et parfaitement tracés, soumis au régime d’auto-aliénation consentant propre au raffinement du capitalisme cognitif.

(Source : La Volte)

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Classement en biblio - 365 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Laurien 2019-06-01T08:48:30+02:00

NOUS SOMMES LA NATURE QU'ON DÉFONCE.

NOUS SOMMES LA TERRE QUI COULE, JUSTE AVANT QU'ELLE S'ENFONCE.

NOUS SOMMES LE CANCER DE L'AIR ET DES EAUX, DES SOLS, DES SÈVES ET DES SANGS.

NOUS SOMMES LA PIRE CHOSE QUI SOIT ARRIVER AU VIVANT. OK. ET MAINTENANT ?

MAINTENANT, LA SEULE CROISSANCE QUE NOUS SUPPORTERONS SERA CELLE DES ARBRES ET DES ENFANTS.

MAINTENANT NOUS SERONS LA NATURE QUI SE DÉFEND.

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Commentaires les plus appréciés

Or

Cette lecture a été aussi captivante qu'exigeante. Comme beaucoup, j'avais découvert Alain Damasio par la lecture de "La Horde du Contrevent " et avais été séduite par sa puissance d'imagination et sa capacité à réinventer le langage et ses codes. Je n'ai pas été déçue par ce nouvel ouvrage! L'histoire se situe dans une société un tout petit peu plus vieille que la nôtre , où la vie de chacun est régie par des élites commerciales dirigeantes, qui grâce à un arsenal d'outils hyperconnectés , maintiennent la population dans un artéfact de cocon confortable où chacun renonce de son plein gré à toute réflexion individuelle au profit d'un quotidien plus où moins virtuel sensé correspondre à ses désirs. La mise en garde sur ce que pourrait devenir nos libertés avec la prolifération de l'intelligence artificielle est facile à deviner . Mais la créativité ne s'arrête pas là . D'abord parce qu'on découvre une poignée de personnages attachants qui ont conscience de ces risques et entrent en résistance , en s'enrichissant les uns les autres de leurs différence pour réfléchir de façon collective, et aussi parce que l'auteur , à l'opposé de ce monde hypermatérialiste, développe son intrigue autour d'êtres imaginaires, "les furtifs", qui eux, s'ont l'essence même du vivant . Alain Damasio fait là encore preuve d'une imagination inouie sur le plan linguistique , leur inventant une forme de langage avec sa syntaxe propre, jouant avec des allitérations singulières pour chaque personnage au fur et à mesure du développement de l'intrigue, déclinant un champ lexical et typographique propre à chacun, avec des néologismes éclatants de clarté. Absolument brillant! Le seul petit reproche que je pourrais faire , est que pendant les scènes de bataille, l'abondance de termes très techniques , réels ou imaginaires nuit parfois à la fluidité du récit. L'auteur aborde aussi une réflexion sur les modes de gouvernance , qui sonne comme une mise en garde envers certains discours politiques bien actuels : il est plus facile de fédérer une population autour d'une peur de l'étranger que de fédérer autour d'un projet constructif d'acceptation de l'autre..Autre niveau de lecture de ce livre : c'est aussi une histoire de famille : un couple de parents est confronté à la disparition de sa fille. Comment gérer l'absence , le deuil? Bref , un livre d'une richesse hors norme , à lire et conseiller .

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Lu aussi

J'aurais adoré aimer le dernier livre de mr Damasio. Bourrés de bonnes choses et de bonnes intentions, "Les Furtifs" est un petit peu un roman, beaucoup un manifeste, un manuel d'insurrection adapté au XXI ème siècle et un tableau bien brossé de ce que pourrait bien devenir notre société d'ici dix ans. Les bonnes idées foisonnent. Malheureusement, le récit est lourd, ampoulé et sans rythme. Je ne suis pas étonné en feuilletant les autres critiques que beaucoup de booknodiens ne soient pas arrivés à la fin du livre. Personnellement, ça m'a demandé un gros effort et pas mal de baîllements. L'ajout de ponctuations typiques à chaque personnage m'a plus paru être un gadget qu'une vraie innovation stylistique. A mon sens, "Les Furtifs" a manqué d'un solide travail de relecture et d'élagage. J'ai plus le sentiment de me trouver devant un manuscrit mal dégrossi que devant un roman achevé. Dommage. J'espère que mr Damasio pourra corriger le tir pour son prochain ouvrage.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Chess_01 2024-01-25T12:17:53+01:00
Diamant

Excellent roman, long et dur à lire mais tellement beau, poétique, politique.... une très belle histoire

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Commentaire ajouté par Harold78 2024-01-02T09:56:50+01:00
Or

J’ai lu La horde du contrevent, et aimé , après avoir accepté de me laisser porter par le style un peu délirant d’Alain Damasio. Style qu’on retrouve complètement ici, en plus foisonnant encore peut être. C’est assez difficile, il faut accepter de se laisser porter par ce flux dense, parfois halluciné; mais une fois plongée dedans, je n’ai pas pu décrocher; l’imagination de l’auteur est débordante et son style assez incroyable, et qu’on adhère ou pas à ce qui semble être un idéal politique et militant pour l’avenir. Damasio nous livre ici une œuvre encore une fois unique, et j’ai hâte de lire le prochain. "Or" car quand même, la fin (50 dernières pages) est un peu longue.

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Commentaire ajouté par renaud-1522 2023-12-25T11:37:07+01:00
Pas apprécié

je découvre avec les Furtifs l'univers de Damasio. je dois dire qu'il faut montrer preuve de persévérance pour finir ce gros pavé.

j'aime bien la SF et j'étais curieux de découvrir ce best-seller et cet auteur multi récompensé. Eh bien, je dois dire que ça n'a pas fonctionner sur moi, pour plein de raisons :

- l'écriture proprement dite : parfois brillante, mais souvent lourde, compliquée, illisible, bavarde. pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer? je me suis demandé cela tout du long. les inventions graphiques ne servent à rien, les longues élucubrations de certains personnages vous tombent des mains surtout quand vous comprenez que l'idée tient en 3 lignes..., les envolés poétiques frisent la niaiserie, et les jeux de mot ont 1 siècle de modernité ( cf l'oulipo).

- le scénario : le roman en contient 5 et peine à se relancer de nombreuses fois. Toute la partie finale après la mort du héros décrivant la victoire utopique de la société rêvée par Damasio n'en finit pas de naufrager sans plus aucun but narratif autre qu'un militantisme politique affirmé. C'est pénible de lire un tract politique.

- les personnages : la famille nucléaire qui est au centre du récit, papa, maman, fifille, frise le réac dans ses réactions et la mise en place de l'enfant-roi. s'il n'y avait pas le décor et l'environnement, ce serait le pire du easy-reading. visiblement, cette partie a ému beaucoup de gens. j'ai eu du mal à aimer cette famille dont les réactions relèvent du cliché tout du long.

- la hard SF : l'univers par contre est croqué et imaginé avec moult détails. C'est brillant, intelligent et fascinant. Mais tout cela vient se heurter à la réalité scientifique des Furtifs qui relèvent quasiment de la magie. La magie de la vie version Gaïa écolo 70 hippie ... quand on pose le livre et qu'on y réfléchit trente secondes, on se croirait presque dans Star Wars avec des élans musico- poético ésotériques.

- enfin, l'idéologie : reprise directement des mouvements écolo radicaux qui pensent la société future par un retour aux tribus autogérées...bon. c'est vrai j'y suis allergique. pourquoi? parce que dans toutes ces descriptions utopiques ( et pas du tout dystopique comme Damasio voudrait nous le faire croire par son univers ) le retour à la tribu abandonne sur le chemin toutes les personnes malades, handicapées etc. Dans ce modèle, la nature réglera leur compte aux "faibles " car c'est la nature. douce Gaïa qui est le privilèges des personnes en bonne santé.

a l'arrivée, ce roman foisonnant et compliqué ne semble que vouloir nous enthousiasmer sur des valeurs binaires - le bien et le mal- dans une naïveté exemplaire où l'on reconnaitra l'air du temps. il faut reconnaitre toutefois à Damasio de belles envolés, un travail énorme. mais j'ai beaucoup de mal avec la littérature qui nous dit comment on doit penser, qui nous dit ce qui est bien et mal, quand bien même je partagerais, à bien des titres, certains de ses idéaux.

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Commentaire ajouté par Aerina 2023-09-25T20:46:52+02:00
Pas apprécié

Une vraie déception comme beaucoup, je me suis arrêtée au milieu, c'était laborieux, pas agréable.

Dommage car j'ai adoré le début, quand c'était plus structuré et que ça partait pas dans tous les sens.

J'ai en revanche détesté dès le début la manière dont parle " les personnages jeunes" du livre , ça fait vraiment vieux qui en fait trop pour reproduire un language "jeune", très souvent incompréhensible.

L auteur semble s être amusé en écrivant ce livre, un délire personnel difficile à suivre.

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Commentaire ajouté par Utopimste 2023-08-05T12:07:59+02:00
Bronze

Bel imaginaire que celui d'Alain Damasio. J'ai beaucoup apprécié le fond avec la trame et les idées d'un monde futuriste ultracontrolé (en effet on est pas loin de 1984 et la zone du dehors que je n'ai pas réussi à poursuivre ^^ comme j'ai pu lire dans un commentaire) il y a des passages intéressants et des jolies jeux de mots et de style. L'alternance des personnages qui me tient à cœur, pour changer les points de vue. Et une "originalité" dans le traitement des données littéraires, mélangeant science fiction et poésie en prose.

Par contre pour la forme elle même... Alain Damasio s'écrit un livre surtout pour lui même, il s'éclate à modifier la langue et jouer avec les mots, les sons et tout ce qui relève du langage. Je suis contente pour lui qu'il ait passé (j'en suis certaine) un de ses meilleurs moments d'écriture mais pour nous lecteurs c'est plus compliqué... ça casse le rythme, nuie parfois grandement à la compréhension, n'apporte pas grand chose à l'histoire, nous fait sauter des passages qui ne nous manque ensuite aucunement et nous laisse un peu sur notre faim... Surtout parce qu'on s'attendait (enfin moi) à prendre une claque de style et d'idées comme avec la Horde du Contrevent... Bon j'avoue je suis aussi déçue, déçue d'avoir eu du mal à le terminer, du mal à rentrer dans certains passages dont j'avais hâte qu'ils se finissent, et m'être complètement détachée du livre pour arriver à en voir le bout, espérant que le niveau se relèverait ou que du moins je finirai par pardonner au livre ses défauts.

Après j'ai comparé un peu au reste de sa bibliographie et je me dis que Damasio exploite souvent les mêmes fondements d'histoire et reste fidèle à son univers qu'il crée et déploie et le précise de livre en livre en étoffant son idée fixe (dans ses nouvelles de aucun souvenir assez solide les répétitions de fond m'avaient aussi lassé mais on retrouve ce qui a fait la Horde et les Furtifs). Son traitement des femmes me posant quand-même parfois problème (notamment dans son premier la zone du dehors dans lequel je n'arrive toujours pas à entrer...)

Du coup c'est à chacun et chacune de se faire sa propre idée ;)

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Commentaire ajouté par Phiphi73 2023-07-31T11:13:18+02:00
Bronze

Deux ans plus tôt, Lorca et Sahar ont perdu leur fille, alors âgée de quatre ans. Comme beaucoup dans ce cas, leur couple n'y a pas résisté. Lorca n'a jamais adhéré à la piste de l'enlèvement... du moins pas par un humain, mais pourquoi pas par un furtif ? Une créature quasiment invisible classée secret défense, chassée par une élite en contrat avec l'armée. Sahar trouve cette idée ridicule, elle qui pense que ces traqueurs sont des pigeons utilisés par le gouvernement pour tester du matériel de détection, sans cesse plus performant dans une société ultra-contrôlée.

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Commentaire ajouté par Enavres 2023-07-24T17:25:29+02:00
Bronze

Vraiment la version retravaillée et avec plus d'expérience de la Zone du dehors, mais avec l'ego post-Horde du Contrevent.

J'y ai retrouvé les mêmes personnages, la même structure, certaines scènes... Et en douloureusement long. Il y a un soucis de rythme, un éditeur aurait dû dire à Damasio "poto c'est super chouette mais faut élaguer là", ou alors "vas écrire une série, mais pour un roman non, c'est trop fluctuant là". Comme dans la ZdD, un passage aux 2/3 du roman qui sonne comme une fin... et non, encore 200 pages les copains.

Et ça aurait pu aller si c'était égal au reste mais on se perd dans des nouvelles idées et problématiques et expériences stylistiques ultimes (dispensables) qui agressent la cohésion et la crédibilité de l'univers.

Ah, si vous voulez tenter parce que vous avez entendu dire que Damasio avait fait des progrès dans son traitement des femmes, épargnez-vous cette peine. Certes Saskia et Sahar sont des personnages actifs et actants dans le récit, mais ptdr y'a du chemin à faire encore avant que les femmes de ses romans ne soient sexualisées constamment et en compétition entre elles. (Parlerons-nous du "jus de vie" généreusement partagé des hommes aux femmes lors des rapports sexuels qu'on retrouve déjà dans la Zone ? au secours)

Sur le style, les effets de ponctuation/mise en scène du texte.............. ce qui était approximatif dans la ZdD était devenu pertinent et beau dans la Horde, puis est devenu bancal, superflu et egotripique (et probablement illisible si vous êtes dys ou que vous n'avez pas vos lunettes avec vous). C'était justifié dans la Horde et gadget ici et n'apporte rien. Je suis plus que perplexe sur la voix de Toni douloureusement caricaturale et tout much, Ner n'était juste pas lisible (vous saurez que ne pas lire ses paragraphes ne nuit pas du tout à la lecture, épargnez-les vous).

Et si vous vous attendez à un roman de science-fiction, on est clairement plutôt dans du fantastique (quelle femme anti-système sensée irait voir un psychanalyste en 2041 ?), surtout dans la 2e moitié. Juste pour prévenir. La cohérence et la crédibilité de l'univers perdent graduellement de plus en plus de substance et avec elles l'attachement émotionnel aux personnages et à l'histoire. Personnellement, j'ai lu le dernier tiers avec le détachement blasé qu'on aurait face à qqun qui nous raconterait un mensonge et dont on veut juste voir jusqu'à où il va s'embourber.

Bref, d'autres l'ont dit plus simplement avant moi, j'exprime plus là ma déception qu'un avis constructif à l'attention de curieux mais n'hésitez pas à me demander des détails si jamais ça vous intéresse. Relisez-plutôt la Horde du Contrevent.

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Commentaire ajouté par Delemlilo 2023-05-12T13:21:56+02:00
Diamant

Je viens de finir cette bombe litteraire. Bombe par son style, par sa créativité, par sa forme (ses formes voyons !!) d ecriture revolutionnaire qui participe du message (des messages du livre), qui participe du changement, qui participe de la volonté d inclusion des diversités, de la representation du multiple, du pas vers la representativite de tous dans un livre qui, je crois, se veut aussi la capture de notre société actuelle changeante, mouvante de part bien des aspects (techno, politique, langage et mix des langages, rapport aux autres, à la propriété, ....). Le livre est exigent et complexe, il oblige, à mon sens, le lecteur à devenir acteur s il adhere au message de l auteur, qui est de creer, revenir à du lien entre nous, une societe plus humaines, une vie plus dans le réel, sur un projet de construire sur nos differences, plutot que sur la peur de l autre, de l etranger. Le lecteur peut éprouver une difficultés de lecture ou de comprehension quand il lit un personnage qui n est pas dans son style, l effort qu il fera pour comprendre les lignes participe à mon avis au mouvement de transformation/changement du lecteur passif vers le lecteur actif qui fait le pas d essayer d aller vers l autre, de le comprendre, de comprendre son langage, et par là meme son vif, son frisson (puisque le "sangue"). Bon une claque, qu il faut que je relise dans qqs temps pour decouvrir ce que j ai loupé dans les angles morts (la signification de l absence ou augmentation de la ponctuation "symbole", les jeux de mots, neologisme, et autres figures de styles qui truffent cette pépite), relire calmement les theories de Varech sur le lien Spoiler(cliquez pour révéler)entre frisson/mutation/espece que j ai juste completement kiffé. Je n sais pas où Alain tu vas pêcher toutes ses idées ... Juste merci !!!! PS pour lecteur non connaisseur de l oeuvre Damasio: p'etre lire La horde du contrevent pour mieux "entrer" dans le style novo de l auteur qu il pousse un peu plus avant ici

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Commentaire ajouté par trali 2023-05-01T21:16:52+02:00
Bronze

Malheureusement, j'ai trouvé ce livre pénible à lire, binaire et naïf dans ses positionnements politiques. J'ai mis beaucoup de temps à le finir... Rien à voir avec la Horde du Contrevent, que j'avais beaucoup aimé !

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Commentaire ajouté par MasseJulietta 2023-04-25T10:38:17+02:00
Bronze

Même si c'est dans l'air du temps, la moralisation a outrance a ses limites. Si vous n'y êtes pas réceptif, comme moi ça risque d'être long, voir décevant. J'attendais autre chose de ce livre que de me servir de "la bien-pensance socialiste anti-capitaliste" .

A la limite la présence d'un personnage a contre courant de l'idéologie générale aurait pu apporter un peu d'air frais mais non.

Cette œuvre est, de mon point de vue, bien loin d'être représentative du talent littéraire dont sait faire preuve monsieur Damasio. Préférez et de très loin la horde du contrevent.

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Date de sortie

Les Furtifs

  • France : 2019-04-18 (Français)

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