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Parodie de l'Odyssée. L'action se passe en un jour, à Dublin, en 1904. Leopold Bloom (Ulysse) est un petit employé juif, Stephen Dedalus (Télémaque) est un jeune poète irlandais, et Marion, la femme de Bloom, incarne Pénélope. Chaque épisode de la journée correspond à un passage de l'oeuvre de Homère. Joyce y remet en cause le monde moderne.
Si je reconnais le génie de Joyce, je dois pourtant avouer n'avoir éprouvé aucun plaisir de lecture durant les semaines passées avec ce livre. J'ai dû me forcer à le lire pour en venir à bout, et ce fut éprouvant.
Vingt quatre heures d’errance dans Dublin de deux personnages sensés évoquer Ulysse et Télémaque... il ne se passe pas grand-chose pour soutenir l’attention. Un exercice de style, chaque chapitre étant l’occasion d’expérimenter une technique d’écriture différente, certaines traditionnelles comme le théâtre ou le récit, d’autres directement puisées dans le parler populaire, certaines enfin totalement avant-gardistes et annonçant bien des expérimentations à venir (comme le dernier chapitre, Pénélope, totalement dépourvu de ponctuation). Pour compliquer encore les choses, on est souvent dans l’esprit des personnages, le texte étant alors le tissu décousu de leurs pensées... Et ça sur des centaines de page.
A réserver aux lecteurs aguerris, ou bien à ceux qui auront le temps de se plonger dedans et de lire méticuleusement ce monument.Pour moi bon lecteur c'est un peu une épreuve enrichissante mais difficile.
Voilà un pavé que j'ai eu dur à finir. Vraiment pas une lecture agréable. L'auteur m'a semblé d'une prétention sans nom, on dirait qu'il veut nous impressionner par ses références multiples et sa structure macro et micro de l'œuvre. Pour moi, c'est râpé. J'ai préféré de loin Virginia Woolf pour son écriture du flux continu des pensées. Si quelqu'un se lance dans cette lecture, accompagnez-la en plus de toutes les notes de bas de page, d'une lecture d'analyses du texte (après chaque chapitre), ne serait-ce que pour savoir si votre lecture se dirigeait au niveau du sens plus ou moins dans la même direction... car il y aura des chapitres juste illisibles.
Beaucoup de personnes ont ce livre dans leur pile à lire mais peu l’ont critiqué et ça se comprend vu le pavé que c’est, mais j’ai décidé d’enfin changer de camp et de faire parti de ceux qui l’ont lu.
Première difficulté, le style de l’écriture est un peu vieillot, et quand on n’entre pas dès le début dans le livre, il est très difficile de vouloir le finir. Ensuite, le texte en lui-même, j’ai tellement décroché à chaque fois que je l’ai lu que je me souviens à peine des pages précédentes, je l’ai lu sans vraiment le lire au final. Très compliqué pour moi de l’apprécier, il y a de très nombreuses longueurs, on passe d’un sujet à un autre sans prévenir, un peu de théâtre, un peu de musique, un peu de tout sans vraiment démarquer un style.
J’ai envie d’écrire une critique rapide pour ne plus jamais revoir ce livre mais sans vous découragez de le lire. Principalement je suis un lecteur de policier et j’ai encore du mal à en sortir, ce roman n’était pas du tout de ce genre, ça lui fait un point non positif à mes yeux. Le style de l’auteur étant quand même pointu, j’ai aussi des difficultés pour intégrer ce que je viens de lire. Ma précédente lecture était trop facile, celle-ci trop compliquée, je n’ai même pas envie de continuer ma critique tellement ça m’a pris la tête. J’ai oublié de préciser mais je ne l’ai pas terminé, je n’ai pas eu ce courage. Trois mois de lecture, c’est trop.
C’est un livre correct mais pas à mettre entre toutes les mains.
Complètement déjanté et n'ayant ni queue, ni tête. Lu il y a 5 ans, j'ai tout oublié sauf ce sentiment d'écrasement qu'à du subir le pauvre Joyce et la merditude ambiante des personnages, des lieux et des dialogues.
J'ai jamais trouvé le moindre parallèle avec l'histoire d'Ulysse.
Certainement pour l'apprécier, ce livre doit être lu en anglais moyennement un sacrée culture anglophone.
Un livre très difficile, je pense que des annotations et des pages explicatives ne seraient pas de trop dans chaque édition pour rendre le sens de l oeuvre explicite.
Beaucoup trop long pour moi, dans un style trop particulier. Je n'ai pas réussi à rentrer dans le livre. Je suis plutôt habituée à des livres classiques, avec un scénario bien ficelé et un style plus compréhensible qu'ici. Cependant, j'essayerai de le relire un jour, sans prendre les chapitres dans l'ordre puisque c'est apparemment possible.
Le livre est plutôt long et étrange par endroits mais très bien écrit. Cependant, les notes de mon édition permettant de rapprocher cette version de l'originale et expliquant tout étaient bienvenues, on peut pas y arriver tout seul...
Bien qu'on porte ce livre aux nues, ce n'est pas un roman qu'on peut lire comme on lit un polar. C'est simplement trop grand.
Je dirait c'est une lecture pour des étudiants de littérature et peu vont lire tout le livre.
Le contenu: Joyce raconte en menus détails la journée de Leopold Bloom qui passe de lieu en lieu à Dublin.
Joyce a mis dans ce roman des trucs et des techniques littéraire qu'il faut des savants pour trouver tout cela.
Je dirais ce n'est pas le pure plaisir de lecture, c'est du travail.
Un seul passage m'est resté en mémoire et c'est l'entretien de Bloom avec une femme qui se rappelle certaines épisodes de sa vie sexuelle. Le langage de cette femme - c'est magistral. Mais j'ai trouvé ce passage seulement à l'aide d'un commentaire.
Résumé
Parodie de l'Odyssée. L'action se passe en un jour, à Dublin, en 1904. Leopold Bloom (Ulysse) est un petit employé juif, Stephen Dedalus (Télémaque) est un jeune poète irlandais, et Marion, la femme de Bloom, incarne Pénélope. Chaque épisode de la journée correspond à un passage de l'oeuvre de Homère. Joyce y remet en cause le monde moderne.
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