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Bohème



Description ajoutée par x-Key 2015-02-02T12:53:19+01:00

Résumé

Un roman tout de bruit et de fureur… Mathieu Gaborit a inventé tout simplement le steampunk à la française : racé, baroque et séduisant… » Jacques Baudou, Le Monde des Livres

Après la révolution industrielle, l’Europe a été submergée par une substance étrange et dangereuse, l’écryme. Reliées par le fragile réseau des traverses d’acier, seules quelques cités gouvernées par l’aristocratie capitaliste émergent dans cette mer corrosive. Mais sous le joug de la propagande, la révolte gronde… Quand un dirigeable porteur d’une précieuse cargaison clandestine s’échoue dans l’écryme, c’est Louise Kechelev, avocate-duelliste et fille de révolutionnaires praguois, qui est chargée de récupérer la cargaison… Pour elle, c’est le début d’un voyage sans retour aux confins des traverses, où se murmure le nom d’une cité perdue : Bohème.

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Classement en biblio - 37 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par x-Key 2012-06-15T21:28:11+02:00

On est bien loin de Prague, camarade, ici, la cité ne vient jamais. Alors perdu au beau milieu de l'Écryme, on oublie comme on peut.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par alyrae 2018-09-06T15:51:00+02:00
Argent

Un roman poétique, comme souvent avec Mathieu Gaborit, qui confirme son statut d'auteur qui compte en SFFF francophone. Comme souvent avec ses romans, certaines scènes m'ont véritablement fait voyager. J'ai beaucoup aimé toute la première partie du roman, vraiment dépaysante, mais moins la deuxième. J'avoue que la fin m'a beaucoup déçue Spoiler(cliquez pour révéler)(j'attendais autre chose que de ramener l'héroïne au simple rang de mère porteuse du Messie, surtout après tout ce qu'elle a traversé). L'aventure, qui partait extrêmement bien, est à mon sens gâchée par cette fin...

Reste toutefois le talent de Mathieu Gaborit, la poésie qu'il met dans ce roman, comme toujours, et l'originalité de ce roman, qui font que je l'ai quand même aimé, malgré tout.

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Commentaire ajouté par mltl 2018-01-31T13:32:40+01:00
Bronze

Pas convaincu par ces romans... Peu de cohérence dans l'histoire au niveau des personnages, aucun n'est réellement fouillé et beaucoup apparaissent et disparaissent soudainement.

L'histoire avait du potentiel mais n'est pas très bien gérée à mon sens, j'aurai aimé en savoir plus sur certains personnages et leur histoire.

Je ne parlerai pas des intermèdes du second volume qui n'apportent rien et ne se finissent même pas...

Un gros point noir sur la qualité de l'édition de ce roman, l'objet est beau mais le contenu est bâclé. Des portions entières de texte sont dupliqués, des coquilles voyantes ont été oublié, les dialogues mal mis en page, etc. (Je possède l'édition intégrale)

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Commentaire ajouté par Dan-1 2017-01-23T19:30:57+01:00
Envies

ce sera le livre steampunk pour mon défi lecture 2017

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Commentaire ajouté par Ukko-Ukko 2016-09-27T20:59:07+02:00
Lu aussi

Voilà un bouquin que j'aurais bien voulu aimer... Mais force est de constater que Gaborit s'est un peu laissé dépassé par son excellente idée de départ. Du coup, ce roman en deux parties (ou ces deux romans regroupés en un livre, je ne sais pas) est un peu foutraque: des personnages vont et viennent, sortant on ne sait trop d'où sans qu'on ait vraiment l'occasion de s'y attacher. C'est vraiment regrettable parce qu'il y a des tas de pistes pour faire des bonnes choses. Le tout début commence très bien et aurait pu être un moment d'anthologie avec un personnage très fort, mais tout retombe comme un soufflé à la pâte imprécise. Un mot : dommage.

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Commentaire ajouté par Swendra 2015-05-16T12:05:50+02:00
Pas apprécié

J'ai beaucoup aimé la première partie du roman, et totalement décroché sur la seconde. Le début est vraiment bon, les personnages sont attachants et le monde dans lequel ils évoluent est vraiment original. En revanche, tout devient beaucoup trop politique dans la seconde partie du roman, et c'est bien dommage !

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Commentaire ajouté par Feanor1974 2011-05-25T17:37:06+02:00
Pas apprécié

Bon, avec Bohème, de l’écrivain français Mathieu Gaborit, je me retrouve devant un immense problème, du genre peu commun pour être tout à fait exact. Celui-ci, que j’ai déjà put rencontrer en visionnant des films ou en lisant des bande dessinées et bien plus rare avec les romans : peut être que je me trompe moins devant mes choix de lecture, peut être aussi est de la chance ? Qui sait, quoi qu’il en soit, ce n’est pas non plus la première fois que cela m’arrive, malheureusement devrais-je ajouter, mais cela est rare, rarissime même. Ainsi, quand cela arrive, c’est comme si je recevais un sacré choc a l’estomac ; et comme en plus, ces jours ci n’ont pas été des plus inoubliables, bien au contraire, on pourra dire que Bohème, indéniablement, sera venu m’achever une bonne fois pour toutes.

Bien évidement, en lisant ces quelques lignes, vous avec compris que mon opinion a l’encontre du roman (en fait, un recueil composé de deux nouvelles : Les rives d'Antipolie et Revolutsya) n’est pas des plus positives. Ainsi, autant commencer par ce que j’aurais préféré a la lecture de ce Bohème, j’ai nommé, sa couverture de l’édition Folio SF ! Œuvre de Sam Van Olffen dont j’ai put vous parler de son travail et de son blog sur le Journal de Feanor en décembre dernier, celle-ci est une pure merveille, tout simplement. Le problème, et ce n’est pas un petit problème, loin de là, c’est qu’en fait, c’est tout, ou presque. Alors oui, Bohème possède une belle couverture, l’une des meilleures qu’il m’ait été donné de voir, mais a quoi bon si le contenu n’est pas a la hauteur ? J’ai déjà put vous le dire maintes fois dans au cours de mes critiques BD, et les vieux routards le savent bien, il faut toujours se méfier des couvertures alléchantes. De même, pour la bande dessinée, ce qui compte, c’est le scénario, bien plus que les dessins. Alors, vous imaginer ce que cela peut donner pour un roman ? Sincèrement, une formidable catastrophe.

J’étais pourtant prévenu, avant même de me plonger dans la lecture de Bohème. Cela a-t-il put jouer sur mon impression finale ? Sincèrement, je ne le pense pas le moins du monde ; les avis négatifs trouvés a droite et a gauche sur le net se sont tout bonnement avérés exacts, voir, pour certains, en-deca de la réalité du roman. Pourtant, je me faisais une joie à lire une bonne petite histoire Steampunk dont je n’attendais pas grand-chose mais qui pouvait, du moins je l’espérais, me faire passer un agréable moment. Que nenni ! Bohème est assez court, même pas 400 pages pour l’édition de poche, mais le lire, et surtout le finir fut une intense souffrance, comme j’en ressens rarement. La dernière fois que j’ai put me prendre une telle claque (dans le mauvais sens du terme), cela fut avec Darwinia dont je vous ais parler il n’y a pas si longtemps lors de la critique du Maitre du haut château, autre désillusion, mais moindre tout de même : il faut savoir relativiser. Et ben, décidément, ces temps ci, mes lectures ne sont pas des plus enthousiasmantes…

Pourtant, sachons rendre a César ce qui lui appartient : Bohème aurait put être un superbe roman tant le postulat de base, sans être grandiose, n’en était pas moins attractif. Du Steampunk en veux tu en voilas, de la vapeur, des machines, de la ferraille de tous les cotés, des hauts de formes, etc., bref, tous les amateurs du genre seront aux anges, et surtout, ne seront pas dépayser. De plus, la fameuse écryme, cette substance qui a recouvert la Terre entière, ce qui fait que ne subsiste plus que quelques mégalopoles isolées reliées entre elles par des routes, des rails ou la voie des airs (en dirigeable, en ballon pardi !), apporte un petit plus a cet univers, lui donnant une touche pittoresque de bon aloie. Le problème, car ceux-ci surgissent vite, c’est que si je disais que les amateurs de Steampunk ne seront pas dépayser, cela ne sera pas forcement le cas pour tous les autres, peu ou pas du tout familiers du genre : Mathieu Gaborit écrit pour le fan, le vieux routard, celui qui ne sera pas choquer par tel élément du décor, tel automate ou tel mode vestimentaire, mais ne décrit rien, pas même une simple ligne. Et personnellement, sans être non plus un spécialiste absolu du Steampunk, je sais ce que c’est, j’ai lu des bouquins, mais le style de Gaborit, personnellement, c’est du jamais vu et m’a fais parfois penser a de la littérature pour jeunesse, ou a des vieux souvenirs (en moins bon) des romans de TSR se déroulant dans l’univers de Donjons & Dragons. Je suis dur ? Réaliste surtout : aurai-ce été un immense effort que de nous décrire un petit peu l’univers, comment on en est arrivé là, pourquoi un tel monde ? Je ne sais pas, quelques lignes au moins ? Faut croire que oui. Mais ce n’est pas tout, ce vide explicatif, ce coté « je raconte une histoire a la Steampunk vite fait pour le fan de base », on le retrouve a tout instant dans le roman : a aucun moment, Mathieu Gaborit ne daigne ne serais ce qu’une seule fois décrire véritablement ses personnages, les lieux, les intrigues en place, les jeux de pouvoirs, du coup, tout cela apparaît assez creux, et un manque total d’immersion se fait jour : comment, en toute sincérité, s’intéresser a l’histoire tandis que les événements se succèdent les uns après les autres, parfois sans but, voir carrément avec des gros oublis et de sacrées belles incohérences !? A ce niveau, sincèrement, c’est du jamais vu quasiment, et, a bien y réfléchir, je commence a trouver Darwinia supérieur, c’est pour dire…

Pourtant, la première nouvelle, Les rives d'Antipolie, se laissait lire, a défaut de laisser un souvenir impérissable, le personnage de Louise Kechelev possédait indéniablement un potentiel certain, ne serais ce que par son curieux et, ma fois, bien trouvé, métier, celui d’Avocat duelliste (ce qui donna l’une des uniques bonnes scènes du roman, celle du duel), quant a Léon Radurin, je ne vais pas pousser mémé dans les orties en faisant de lui un Elric de Melniboné, mais bon, a ce moment du récit (les premières pages), on avait envie de le suivre, de voir ce qui allait lui arriver, et si, cette première nouvelle souffrait déjà grandement de tout ce que j’ai put dire précédemment, au moins, il s’agissait d’un récit, certes pas fantastique mais qui se laissait lire et qui, surtout, n’annonçait pas les horreurs a venir.

Car avec Revolutsya, c’est le grand coup de pied dans la fourmilière du bon sens donné par un Mathieu Gaborit déchainé : les personnages secondaires disparaissent ou font de la figuration au fin fond de la salle (mais très très grande la salle et encore, celle-ci n’apparaît qu’une fois), tout un tas de nouveaux font leur apparition, rassurez vous, aucun n’est charismatique, on se demande a quoi ils servent, eux-mêmes se posant probablement la question, et le récit alterne entre un tel puis un autre, allant d’événements en événements, de combats soporifiques en discussions creuses tandis que chaque page nous entraine de plus en plus loin dans le grand guignolesque entre une lute risible entre un pouvoir soit Tsariste, soit des Metropolite, soit de la Propagande (carton rouge monsieur Gaborit pour avoir oser donner un tel nom !) contre des révolutionnaires bolchéviques (l’action se déroulant a Moscou, forcement, les rouges sont la), avec des monstres auquel on n’a rien demander mais qu’on a jeter au beau milieu de tout ca avant que le final, l’un des plus ridicule qu’il m’ait été donné de voir, ne survienne, où après une scène de sexe (carré blanc les enfants) pour le moins ridicule, Louise accouche en quelques minutes et donne naissance a une figure christique qui va changer le monde ! Alléluia mes amis, c’est finis !

Car la bonne nouvelle, arrivé à ce moment là, c’est que c’est la fin justement. Alors oui, on n’a pas compris grand-chose, on ne sait pas trop où l’auteur a voulut en venir et pourquoi un tel délire mystique au final ? Alors oui, on rigole car on se rend compte que Mathieu Gaborit à oublier que Louise était attendue a sa sortie de la demeure d’Igor Bladiek, et accessoirement, par des gens dont on se demande comment ils peuvent faire cause commune après les événements de la première nouvelle ? Oui, tout cela sent le grand n’importe quoi, le truc vite fait mal fait, et surtout, pas finis, mais juste un détail qui, selon moi, a son importance : doublez ou triplez le nombre de pages, jetez les incohérences aux orties, insufflez de la vie et un souffle épique au récit, rendez crédible l’univers, bref, donnez le postulat de base a un autre écrivain (ou a un Gaborit motivé, je ne sais pas ?) et je suis sur que ce Bohème pourrait vraiment avoir un bon petit potentiel. Là, franchement, c’est une blague…

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Date de sortie

Bohème

  • France : 2010-06-03 - Poche (Français)

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2023-07-17T08:44:31+02:00
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Note globale 6.09 / 10

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