L'Assommoir

un très bon zola triste qui raconte la vie la misère et l'alcool

J'ai lu ce livre quand j'étais en seconde et honnêtement je n'ai pas du tout aimé. C'est vraiment très sombre comme roman, même si c'est le style de Zola de raconter ce qu'il a vécu ou vu, je n'ai vraiment pas aimé. Je pense avoir été trop jeune pour le lire et il y a d'autres romans de Zola à lire et qui ne sont pas aussi sombres.

Ma première lecture du cycle des Rougon-Macquart dont je ressors convaincu. J'ai eu quelques difficultés à rentrer dans le roman, la lecture paraissait fastidieuse au départ mais aux fils des chapitres j'ai commencé à plus apprécier l'univers. J'aime les longues descriptions de Zola qui démontre la déchéance du monde, la dureté, les vices, la pauvreté de la classe populaire parisienne.

On suit ici le personnage de Gervaise dont les ambitions et la volonté de vivre heureuse se brisent au fil du temps jusqu'à en faire un personnage quelque peu détestable et pitoyable. Elle est détruite par ces désirs, prise entre les mains de Coupeau et Lantier dont les personnalités forgent celle de Gervaise et évolue en fonction de leur déchéance à eux. Cette évolution négative est un point fort du roman et du style de Zola. La paresse est le maître mot de ce roman, où l'on cherche à vaincre ce sentiment pour finalement mieux le retrouver, se conforter dans l'inactivité et l'alcoolisme, les joies du bon vivant fainéant.

Je pense que l'Assommoir est une bonne entrée en matière pour se faire un avis sur Zola.

Que de difficultés, tristesse et misère. Mais c'est tellement bien décrit. On se demande comment Zola, sans les moyens d'investigation du présent, a pu se renseigner aussi bien sur toutes les strates de la société. Remarquable travail d'écrivain. Il ne s'agissait pas là que d'imagination et inspiration. Zola, c'est "autre chose".

Un incontournable de la littérature française que je dois lire pour préparer mon bac, que j'ai lu un peu de force car c'était assez compliqué a comprendre et assez glauque, mais la critique de l'alcoolisme est intéressante dans le fond.

Je voulais lire un classique d'un auteur que je n'avais jamais lu, c'est chose faite. Je ne peux pas dire que j'ai aimé mais je m'en souviendrais pendant longtemps. Une histoire triste, dur, et une descente aux enfers des personnages causée par les méfaits de l'alcool.

Lu au lycée.

Magnifique mais trop triste, trop sombre... j'ai éclaté en sanglots à la fin.

Il m’arrive encore de chercher du regard Gervaise claudiquant dans les rues de Paris. Heureusement les Assommoirs ont été remplacés par des cafes internet, le cannabis est plus populaire que l’absinthe, et les blanchisseuses sont Chinoises. C’est le progrès.

J'aime la vie d'autrefois, je suis intriguée par cette époque. Dans ce roman, on retrouve le vieux Paris avec la vie très dure des pauvres gens et la petite Gervaise qui en bave avec ces hommes alcooliques et méchants.

Un classique qui porte bien son nom. Certes, c'est sûrement fait exprès (hérédité) mais le récit est lourd, pesant. Je n'aime vraiment pas l'écriture.