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La Saison du péché, Tome 2 : L'Ombre d'un amour



Description ajoutée par Ju_Books 2019-05-20T17:50:33+02:00

Résumé

Londres, 1841

Lorsque Gillie tombe sur un séduisant duc qui vient d’être poignardé dans les quartiers malfamés de WhiteChapel, elle décide de le ramener pour le soigner dans la taverne qu’elle dirige. Mais sitôt qu’il a recouvré la santé, le duc, cet impudent, ose demander à repartir en quête de… sa fiancée disparue. Pourtant, Gillie l’aurait juré, entre leurs deux âmes solitaires, l’attraction a été immédiate et totale…

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Classement en biblio - 39 lecteurs

extrait

** Extrait offert par Lorraine Heath **

Chapitre 2

Il l’avait quittée. Quelque part dans son exposé sur les différences entre brandy et cognac, il s’était évanoui.

Gillie sentit sa gorge se serrer. Elle ne voulait pas le perdre. Profitant de son inconscience, elle serra rapidement un garrot autour de sa cuisse pour bloquer le saignement. Elle plaça des linges roulés en boule sur les autres blessures et se remit à appuyer fermement sur la plaie la plus inquiétante, située à l’épaule.

Sous ses doigts, le ruisseau de sang n’était plus qu’un mince filet à présent. Et si la blancheur du tissu avec lequel elle l’avait pansé était une indication sûre, les autres blessures saignaient moins également. Cependant, il était si mortellement pâle qu’elle craignait que le ralentissement de l’hémorragie soit seulement dû au fait qu’il n’ait plus assez de sang dans le corps.

Enfin, un bruit de pas retentit dans l’escalier. Dieu merci ! Affolée à l’idée de perdre une seconde de plus, elle n’attendit pas que l’on frappe à la porte pour appeler :

— Vite !

Le Dr Graves la rejoignit rapidement au chevet de l’homme. Elle remarqua aussitôt son apparence échevelée. Apparemment, Robin l’avait tiré du lit et il s’était habillé en hâte car une légère barbe ombrait encore ses joues et il n’avait dû passer que ses doigts dans ses cheveux clairs.

— Mince alors ! C’t’un sacré bordel ! s’exclama Robin en entrant à son tour dans la pièce.

Ses grands yeux écarquillés fixaient la silhouette étendue, jusqu’à ce que le regard noir que lui lançait Gillie le rappelle à l’ordre.

— Je jurais pas, Gil ! J’parlais seulement de tout c’sang !

— Je sais, Robin, s’adoucit-elle. Tu as fait du bon travail. Retourne immédiatement au lit, maintenant. Tu n’as rien à faire ici.

— Mais…

— Fais ce que je te dis !

Il lui adressa une moue contrariée. Néanmoins, il obéit et disparut en traînant les pieds. Gillie se retint de lever les yeux au ciel. La vie était pleine de déceptions, c’était ainsi, et Robin ferait mieux de l’apprendre au plus tôt. Il valait mieux tirer un enseignement de ces déceptions, plutôt que de tenter sans cesse de les contourner ou de les oublier.

— Que s’est-il passé ? demanda Graves qui avait écarté les linges pour découvrir les plaies.

Comment parvenait-il à toujours conserver ce ton calme et régulier ? Gillie tenta de s’en inspirer pour lui répondre :

— Il a été attaqué par des détrousseurs dans l’allée derrière la taverne. Il s’appelle Thorne. Je ne sais pas si c’est un prénom ou un nom.

— Peut-être le nom de son titre…

— Qu’est-ce qu’un noble fabriquerait dans ce quartier mal famé ?

— Qu’est-ce qu’une femme avec vos moyens financiers y fait ? rétorqua-t-il d’un ton distrait tandis que ses mains agiles localisaient chaque blessure.

S’il savait… À l’époque où elle avait commencé, elle n’avait pas un penny en poche. C’est son frère aîné qui l’avait aidée à s’installer. Depuis lors, elle travaillait dur pour être indépendante.

— Je donne à boire à ceux qui le veulent, et du travail à ceux qui en ont besoin.

Son regard d’azur pâle se posa vers elle.

— Je formulais une simple remarque, Gillie. Je veux dire par là qu’il vaut mieux ne pas s’avancer sur les raisons de sa présence ici sans certitude. Maintenant, pourriez-vous le tenir par les pieds ? Je vais le soulever par les épaules pour l’installer sur la table.

Laborieusement, ils parvinrent à le hisser. Il était si immense que ses jambes dépassaient largement la longueur de la table. Et son poids allait avec sa constitution massive. Étrangement pour un noble, il avait de larges épaules musclées. Celles d’un homme habitué au travail et à l’effort. Son ventre était parfaitement plat. Visiblement, il ne passait pas ses jours et ses nuits à boire et se goinfrer comme une bonne partie de la jeunesse dorée de la ville.

Non, il n’était sûrement pas un aristocrate. Néanmoins, s’il fallait en croire la finesse de sa chemise et de ses chausses de daim, il n’était pas dénué de richesses.

— De l’eau chaude, commanda Graves sans la regarder.

Sans perdre un instant, Gillie remit du bois dans le feu, remplit une marmite d’eau et la suspendit au-dessus des flammes. Cela faisait du bien de s’occuper car elle se sentait tout à coup nerveuse à l’idée d’avoir deux hommes dans son appartement. Jamais aucun homme ne venait ici. Pas même ses frères.

Cet endroit était son sanctuaire. Le cocon où elle pouvait se réfugier pour reprendre des forces avant de retourner affronter le monde. Elle avait beau adorer son métier, l’animation des gens la vidait de toute énergie, et son chez-elle l’aidait à se ressourcer.

Elle testa la température de l’eau et en versa dans un large récipient. Munie de son lourd chargement, elle se retourna… et faillit tout lâcher. Graves avait retiré ses vêtements à l’homme et examinait la plaie de sa cuisse. Gillie déglutit en posant les yeux sur son sexe inerte, mais massif.

Quand elle était enfant, elle avait certes aperçu les parties intimes de ses frères lorsqu’ils prenaient leur bain hebdomadaire. Seulement, ils n’étaient à l’époque que des garçons, or cet homme n’avait vraiment rien d’un garçon ! C’était au contraire un spécimen viril impressionnant, des pieds à la tête. Ses membres étaient déliés et des muscles bien dessinés apparaissaient sous sa peau dorée. Son torse était recouvert d’une fine toison sombre, qui s’amenuisait sur son ventre et courait en une ligne fine plus bas, à cet endroit de son anatomie qu’elle ne parvenait pas à regarder. Enfin, si, elle y arrivait fort bien, en revanche, dès qu’elle posait les yeux dessus, son souffle se bloquait dans sa gorge. Elle déposa le récipient plein d’eau sur la table près de sa tête et fila aussitôt jusqu’à l’armoire dont elle tira un grand drap.

— Parfait, approuva Graves. Je voulais justement le couvrir pour préserver sa modestie. Pardon, Gillie, je n’ai pas réfléchi.

Il lui prit le drap des mains et le plaça sur le corps de son patient avant de découvrir sa cuisse et une bonne partie de son torse. Le fin tissu collait tant à l’anatomie de l’homme qu’il ne l’empêchait guère d’imaginer ce qu’elle savait trouver en dessous. Gillie sentit ses joues s’embraser. Elle réagissait comme une jeune fille innocente et non comme une aubergiste expérimentée.

— Va-t-il survivre ? demanda-t-elle pour cacher son trouble.

— Je l’espère. Les plaies à l’épaule et à la cuisse sont les pires, cependant, rien de vital n’a été touché. Il a également une profonde entaille dans le dos. En revanche, il a eu de la chance avec les coups portés à son bras et au côté, ce ne sont que des égratignures. Le plus grave, pour l’heure, c’est l’importante quantité de sang qu’il a perdue.

Graves releva les yeux pour la regarder en face :

— Il a eu de la chance que vous l’ayez trouvé à temps.

— Dites-moi ce que je peux faire pour vous aider.

— Je vais devoir nettoyer correctement ses plaies puis les refermer. Je ne voudrais pas qu’il reprenne conscience et tente de se défendre sous la douleur, donc je vais utiliser du chloroforme. J’aurais besoin que vous surveilliez qu’il ne revienne pas à lui tant que je n’aurai pas terminé. Je vous crois suffisamment vive pour suivre mes instructions, si besoin.

Elle acquiesça avec vigueur.

— Vous n’allez pas défaillir, n’est-ce pas ?

— Bien sûr que non !

À sa grande honte, Gillie dut admettre que son estomac faisait parfois des soubresauts devant l’étendue des blessures. Cependant, elle se concentra sur le patient, guettant le moindre signe de conscience. Son visage était contusionné sur une pommette, à la mâchoire et l’une de ses paupières commençait à gonfler. Sans même parler des bleus qui apparaissaient sur son torse et ses bras. Il avait dû résister à ses assaillants.

Il n’avait pas l’allure d’un homme prêt à faire des compromis… Sa mâchoire carrée était assombrie d’une barbe fournie. De toute évidence, il ne s’était pas rasé depuis plusieurs jours. Il n’était donc sans doute pas venu jusqu’ici chercher de la compagnie féminine. La plupart des hommes s’apprêtaient un minimum avant de descendre dans Whitechapel pour s’encanailler, même s’ils payaient l’amour qu’ils y trouvaient.

Alors que Graves se consacrait à sa tâche, Gillie entreprit de mouiller un linge pour nettoyer avec douceur le sang séché qui maculait les traits de l’homme. En dépit des coups, le visage qu’elle dévoilait était le plus beau qu’elle eût jamais vu. Or, ce spectacle provoquait un étrange émoi au creux de son ventre, un peu comme si des milliers de papillons y voletaient. D’ordinaire, les hommes ne créaient rien d’autre chez elle qu’une vague réaction de méfiance.

Comme sa mère s’était inquiétée de sa sécurité dans les bas-fonds, Gillie avait très tôt pris l’habitude de s’habiller avec les vêtements de ses frères, de couper ses cheveux court et de bander sa poitrine dès que celle-ci était apparue. Elle n’avait pas porté de jupe avant l’âge adulte. Cela lui convenait parfaitement de ne pas attirer l’attention sur ses charmes, de ne pas être traitée comme une proie par certains indélicats.

Sa présence intimidait les clients. Pour commencer, sa haute taille lui permettait de les toiser de haut et son regard noir leur promettait une sévère punition s’ils ne se comportaient pas correctement avec ses serveuses. Tous savaient qu’elle n’avait pas à rougir de son coup droit, et qu’elle avait quatre frères toujours prêts à venir à sa rescousse.

Raison pour laquelle les voyous avaient déguerpi quand elle était arrivée dans l’allée. De toute évidence, ils étaient du coin et connaissaient sa réputation et celle de ses frères. L’idée que l’un des clients qu’elle avait servis ait pu faire cela à l’homme étendu devant elle la rendait malade.

Alors qu’elle aurait dû se sentir gênée, Gillie découvrait, troublée, qu’elle aimait toucher ce grand corps solide. Lorsque tout le sang fut nettoyé, elle eut envie de se pencher pour poser les lèvres sur chaque égratignure afin de les faire disparaître.

Que lui prenait-il ? Elle n’avait pourtant jamais été d’un tempérament particulièrement maternel ou affectueux. La dureté de son existence avait rapidement étouffé de tels instincts dans l’œuf. Quand ses frères rentraient blessés à la maison, elle soignait leurs plaies sans montrer la moindre émotion, parce qu’elle avait dû très tôt apprendre à protéger son cœur. Aimer et s’inquiéter pour d’autres était tout simplement trop douloureux. Le mariage, les enfants, l’amour… Tout cela n’était pas pour elle.

Pourtant, le blessé lui donnait une étrange envie d’être moins dure qu’elle ne l’était. Une petite voix intérieure lui soufflait qu’elle aurait pu prendre un tel homme dans ses bras et lui offrir toute la tendresse dont elle s’était coupée depuis tant d’années.

Gillie secoua la tête pour se libérer du sortilège étrange qui l’avait saisie. Qu’allait-elle s’imaginer ? Que l’homme allait soudain reprendre connaissance et se réjouir d’être dans ses bras ?

— Et voilà, dit Graves, la tirant brusquement de ses pensées, cela devrait aller pour le moment. Si vous voulez m’aider, il faudrait le mettre sur le lit.

Avait-elle bien entendu ?

— Le lit ? répéta-t-elle, interdite.

Non, non, non, non ! Ce n’était pas du tout ce qui était censé se passer ! Le blessé devait être emmené dans la voiture du docteur et laissé à ses bons soins !

— Vous n’allez pas le laisser ici !

Sans se troubler, Graves ferma sa mallette et se redressa.

— Je ne vois pas quel autre choix nous avons.

— Eh bien, nous lui remettons ses habits sur le dos et…

— Malheureusement, j’ai dû les découper pour m’en débarrasser. Ils étaient raidis par le sang.

Gillie retint un juron de frustration. Un inconnu complètement nu, dans sa maison ! Dans son lit ! Et un homme qui ne la laissait étrangement pas indifférente, qui plus est ! Une émotion qui ressemblait à de la peur lui noua le ventre.

— Alors nous l’enroulons dans une couverture et nous le déposons dans votre voiture, insista-t-elle avec obstination.

Par miracle, sa voix parfaitement calme ne trahissait rien de la tempête d’émotions qui s’était emparée d’elle.

— Être secoué sur des mauvais chemins est le meilleur moyen de rouvrir ses blessures. Il a déjà perdu énormément de sang, je ne pense pas qu’il survivra s’il en perd encore. Mieux vaudrait qu’il reste au calme ici le temps de reprendre un peu de force.

— Le chemin ne sera pas si mauvais si vous avancez lentement.

— Gillie…

Le regard qu’il lui jeta la fit se sentir comme une enfant déraisonnable.

— Si vous vouliez risquer sa mort après que j’ai pris la peine de le recoudre, pourquoi m’avoir envoyé chercher en premier lieu ?

— Je ne pensais pas qu’il devrait rester chez moi !

Cette fois, sa voix trahissait légèrement la panique qui montait en elle.

— Ce pauvre homme est de toute façon bien trop faible pour tenter de tirer avantage de la situation.

— Peuh ! Comme si c’était ce qui m’inquiétait ! s’écria-t-elle d’une façon bien peu élégante pour une dame. Je peux parfaitement me débrouiller avec mes poêles en fonte pour cela !

— Dans ce cas, à quoi tient votre objection ? s’enquit Graves avec un petit sourire amusé.

Le problème ? En bientôt trente ans de vie, pas un seul mâle n’avait franchi sa porte ! Avoir un homme dans son lit n’amenait jamais rien de bon, elle en était la preuve vivante. Après tout, sa mère ne s’était pas retrouvée avec six petits bâtards à élever parce que les hommes étaient des saints.

— J’ai une affaire à faire tourner ! se défendit-elle.

— Il vous reste encore plusieurs heures avant d’ouvrir la taverne. Peut-être sera-t-il suffisamment remis d’ici là pour partir.

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Argent

Angleterre, milieu du XIXe siècle. Thorne, duc de son état, est attaqué en pleine nuit par des bandits près de la taverne que tient Gillie. Elle le recueille et le soigne alors qu’il est grièvement blessé. Une fois remis, Thorne doit repartir dans son monde, rechercher la fiancée qui n’est pas venue à son mariage.

Thorne n’est pas amoureux, puisqu’il s’agit d’un mariage arrangé dès son enfance, et il veut seulement savoir pourquoi sa fiancée l’a abandonné au pied de l’autel, car elle est aussi la sœur de son meilleur ami. Gillie, quant à elle, est une enfant abandonnée devenue une femme indépendante qui tient en respect son entourage, et ne s’intéresse pas aux hommes : elle refuse d’être sous la coupe d’un seul. Face à Thorne, elle s’en veut d’avoir des rêves de jeune fille. Thorne, lui, admire de plus en plus la personnalité de Gillie. Mais tous deux savent qu’ils sont de milieux qui ne se marient pas.

Le point fort de cette romance historique tient en la personnalité de ses deux protagonistes. Gillie est très marquante comme femme qui s’est construite malgré l’adversité dans un monde rejetant les enfants illégitimes et étouffant les femmes. Vivant dans un quartier pauvre, elle a réussi à avoir son établissement et veille sur son entourage, aussi bien ses frères, ses employés, que les pauvres à qui elle offre de la soupe.

Dure à la tâche, elle s’est investie dans sa taverne et ne s’est jamais intéressée aux hommes — encouragée par une mère adoptive qui l’a éduquée à s’en méfier. Puis un jour, arrive Thorne et elle s’en veut de réagir comme une midinette, surtout envers un homme qu’elle sait hors de sa portée. C’est extrêmement crédible et bien écrit. Thorne, de son côté, prend peu à peu la mesure de son milieu pétri de conventions, de préjugés, et d’apparences guidées.

Un très bon tome.

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Diamant

J’ai bien aimé les deux personnages principaux mais surtout l’héroïne : Gillie. C’est une femme forte, courageuse, altruiste et gentille. Elle est très indépendante et elle y tient parce qu’elle a travaillé dur pour y parvenir. Ça change de voir une héroïne qui vient des « bas-fonds ». J’ai apprécié cette différence.

Le Duc est beaucoup plus simple que le laisse supposer son titre. Il est travailleur, honnête et sympathique. Il tombe amoureux de Gillie parce qu’elle est franche, simple, altruiste et honnête. Ça le change des femmes de la Noblesse qui sont fausses et superficielles.

Leur couple est mignon, c’est une jolie romance.

C’est très bien écrit, on ressent les émotions des personnages. On a l’impression d’être dans Londres et le quartier de Whitechapel du XIXème siècle. L’écriture est fluide, ça se lit bien.

Bref, j’ai adoré ! Je lirais les autres tomes qui ont l’air très intéressant. Une bonne découverte !

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Or

Voilà une romance historique a la trame plutôt classique mais qui a le mérite de présenter une héroïne plutôt éloignée des clichés habituels puisqu'elle tient une taverne et vit dans les bas quartiers de Londres. Mais sa rencontre précipitée avec un duc en mauvaise posture va chambouler sa vie et celles d'autres personnes. J'ai passé un très bon moment sur cette lecture car Gillie a su me toucher par son pragmatisme et son courage. Thorne se révèle un homme attachant mais piégé par les convenances. Une histoire basique et simple qui a su me captiver. Et c'est un plaisir de retrouver cette famille peu commune mais si attachante.

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Argent

Décidément j'aime bien ce bouquin, même si, à mon avis, il est un peu trop optimiste ! Mais la romance est belle, les personnages attachants.

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Bronze

Une belle romance avec un personnage féminin atypique. J'ai beaucoup aimé

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Diamant

Retrouvez mon avis complet sur : https://www.jessbricole.com/jai-lu-lombre-dun-amour

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Or

J'ai trouvé cette suite aussi passionnante que le premier tome, décidément l'auteure ne cesse d'innover en mettant en scène un personnage féminin propriétaire d'une taverne et c'est la première fois que je vois ça avec le nombre de bouquins de ce genre que j'ai lu ! L'auteure pose un décor fascinant, des dialogues réalistes, et des personnages qui ne le sont pas moins, le rythme de l'histoire est enlevé, bref j'ai passé un très bon moment de lecture !

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Argent

C'est une très belle histoire d'amour, très touchante et par bonheur qui finit bien !

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Date de sortie

La Saison du péché, Tome 2 : L'Ombre d'un amour

  • France : 2019-07-01 - Poche (Français)

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