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«Pour bien voir la terre, il faut la regarder d’un peu loin.»
En 1767, suite à une dispute avec ses parents au sujet d’un plat d'escargots, le jeune Côme Laverse du Rondeau monte dans l’yeuse du jardin. Il ne descendra plus des arbres jusqu’à sa mort, s’y éveillant au savoir et à l’amour, à la solitude comme à la fraternité.
Conte philosophique en hommage au siècle des Lumières, autoportrait d’un excentrique épris de liberté, Le baron perché enchante par son humour généreux, ses constantes inventions, son humanisme intemporel.
Le baron perché fait partie de la trilogie Nos ancêtres, qui comprend également Le vicomte pourfendu et Le chevalier inexistant.
Lorsqu’on ne vit que pour soi, on voit le plus souvent les gens sous leur autre face, celle qui nous force à tenir constamment la main sur la garde de notre épée.
Un livre que j'ai lu au collège (4e) pour le cours de français, et, contrairement à mes habitudes, je l'ai tellement aimé que je l'ai relu après pour être sûr de n'avoir rien manqué !
Monté dans un arbre à 12 ans, Côme décide de ne jamais en descendre, et c'est l'histoire d'une seconde vie qui débute, une vie où il s'agit de recréer la notion de confort et de se créer un quotidien adapté à une telle vie.
Malgré cette "restriction" qu'il s'impose à lui-même, il parvient à évoluer dans la société qui l'entoure en contre-bas et même à en devenir un acteur important.
Nous avions beaucoup étudiés « Le Vicomte pourfendu » à l’école…
Mort en 1985 soit Cinq ans après la sortie de ce Livre, vous savez que ce n’est pas ce que je préfère.
J’ai vu dans certains commentaires de mes homologues, qu’effectivement ils trouvaient ça « perché » et moi en tout cas, ça m’a gêné pour lire. Par exemple j’écirs pas mal de contenu excentrique /rigolo mais pas au point où ça n’a plus de sens.
L’histoire de l’arbre me fait penser à cet épisode de Malcolm où Les « élèves à problèmes » décident de vivre dans les arbres en guise de protestation, là aussi, et sont chaperonnés par Dewey (comme d’hab).
On a envie de parler, parfois, d’écologie, et oui il y a de l’humour, Du point de vue de Calvino qui est parfois intéressant …
Perché le petit futur baron ? Oui et en même temps pas tant que ça. Dans un arbre oui, par esprit de révolte et je dois dire que j'ai tout de suite été d'accord avec lui ! Il faut savoir se défendre, ne pas se soumettre, surtout quand on est petit. Bon, il est quand-même peut-être un peu perché. Mais qu'il est drôle cet enfant !
D'ailleurs la sœur aînée, Baptiste (c'est tellement étrange d'avoir Traduit Battista en Baptiste) est quelque peu azimutée à sa façon, qui se situe dans le registre du gore culinaire. La mère aussi est spéciale et le père a des rêves de grandeur et un frère naturel très bizarre… C'est une famille de doux dingues.
Quant à Blaise, le petit frère et narrateur, il est en admiration devant cet aîné si courageux et extravagant.
Et puis il y a la petite voisine, Violante. Une espèce de petite pestouille, qui m'a fait penser à Minnie avec Mickey. Ou Daisy avec Donald. Et oui, j'ai de drôles de références, mais c'est parce que dans cette histoire, la fille est celle qui fait tourner en bourrique le pauvre garçon, et qui nous rendrait presque misogyne !.. Comme Minnie et Daisy. Eh oui, l'enfance nous imprègne durablement.
Et donc, cet enfant, parti dans les arbres par esprit de contestation envers ses parents, ne redescendra plus. Tel un funambule il passera d'arbre en arbre sans plus jamais toucher le sol. Et nous lecteurs, avec Côme nous allons parcourir toutes sortes d'essences d'arbres et apprendre lesquels sont les plus adaptés au funambulisme. Eh oui ! Et on n'apprend pas que ça !
Côme, doux rêveur, devient l'anticonformisme personnifié, d'une belle érudition, jamais à cours d'idées et d'une telle ouverture d'esprit pour son temps qu'il m'a énormément plu. Tout l'intrigue, tout l'intéresse, tout le passionne… y compris l'altruisme et le don de soi.
Alors que ce choix, fait sous la colère, d'aller vivre dans les arbres a permis à Côme de vivre des choses incroyables toute sa vie, moi je n'ai pas totalement réussi à me laisser emporter par la poésie de cette existence car j'ai eu froid pour lui, j'ai souffert de sa solitude à sa place et j'ai regretté qu'il ne foule plus jamais l'herbe de ses pieds, qu'il ne puisse serrer Optimus Maximus dans ses bras. Au fond, il est une sorte d'Antigone, inébranlable dans ses convictions, quel que soit le prix à payer.
Cette surprenante épopée sylvestre m'a rappelé que souvent l'orgueil nous emmène plus loin qu'on ne l'aurait voulu et parfois beaucoup trop loin.
Excellent! Une jolie fable entre philosophie et fantastique. Des messages intemporels. On dévore tout simplement. Plait autant aux adultes qu'aux jeunes ados.Livre qui a plusieurs niveaux de lecture, du plus jeune au plus initié ce qui en fait un trésor. Je recommande vivement
Par rébellion et esprit de contradiction, un enfant de 12 ans monte sur un arbre et décide de ne plus en descendre. Il y passera sa vie et y mourra. Tel est le sujet du livre d’Italo Calvino intitulé « le baron perché. » La première question, voire inquiétude presqu’angoisse, qui vient au lecteur quand il aborde le livre et découvre le sujet est : « mais comment l’auteur va-t-il réussir à écrire un roman sur un sujet aussi mince… ? Ca va tourner en rond et je vais m’ennuyer ». Pour tout dire, il n’en est rien. Italo Calvino nous livre un récit où jamais on ne baille ni ne regrette son choix ; un récit fantastique, drôle, humoristique, plaisant et philosophique d’une écriture et d’un style fluide et agréable, un livre sur la liberté et sur la précarité de la condition humaine. Dans le baron perché certains voient l’allégorie du poète « que les ailes de géant empêchent de marcher », d’autres, dont je suis, celle de l’engagement politique qui nécessite, parfois voire toujours, une prise de recul et de hauteur et pousse bien souvent à la contestation.
J’ai beaucoup aimé au début l’idée de cette fable avec cet enfant qui, refusant de manger des escargots, grimpe dans un arbre et chevauchant les autres, y restera jusqu’à la fin de sa vie. Ce qui ne l’empêchera pas de vivre mille aventures narrées une grande partie par son petit frère. Bien qu’il ne soit pas spécialement long, je m’y suis traînée peut-être parce que plus habituée au style classique.
Ce livre m'intriguais beaucoup, depuis le temps que j'en entendais parler ! et j'ai adoré, Côme est vraiment un personnage fascinant, déterminé, courageux, malin et passionné (et extrêmement têtu !).
J'ai aimé être dans les arbres à ses côté pendant toutes ces pages/toute sa vie, sa façon de vivre et de ce débrouiller dans les arbres, sans jamais mettre un pied à terre, et c'est vraiment fascinant !
J'ai aussi aimé le personnage de Violette, même si elle est aussi têtu que Côme (ce qui amène à une situation très frustrante.... Spoiler(cliquez pour révéler)leur séparation, à vie, alors qu'ils sont tous les deux fou amoureux l'un de l'autre, ils veulent passé leurs vie ensemble, mais leurs fierté est la plus forte.... J'ai aussi beaucoup aimé l'écriture et le style de l'auteur, très beau et poétique avec un brin de folie par moment.
Résumé
«Pour bien voir la terre, il faut la regarder d’un peu loin.»
En 1767, suite à une dispute avec ses parents au sujet d’un plat d'escargots, le jeune Côme Laverse du Rondeau monte dans l’yeuse du jardin. Il ne descendra plus des arbres jusqu’à sa mort, s’y éveillant au savoir et à l’amour, à la solitude comme à la fraternité.
Conte philosophique en hommage au siècle des Lumières, autoportrait d’un excentrique épris de liberté, Le baron perché enchante par son humour généreux, ses constantes inventions, son humanisme intemporel.
Le baron perché fait partie de la trilogie Nos ancêtres, qui comprend également Le vicomte pourfendu et Le chevalier inexistant.
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