Les Filles du feu ; Les Chimères
Auteur
- Gérard De Nerval (Écrivain)
Classement en biblio - 152 lecteurs
extrait
Suis-je Amour ou Phébus ?... Lusignan ou Biron ?
Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ;
J'ai rêvé dans la Grotte où nage la syrène...
Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée
Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée.
Afficher en entierCommentaires récents
Une vraie déception, j'ai beaucoup de mal à accrocher au style de l'auteur. Certaines nouvelles m'ont paru interminables.
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Après Aurélia, je voulais lire un livre plus sensé. Les filles du feu sont de très beaux récits, romantiques comme on les aime au dix-neuvième siècle. Evidemment, certains sont mieux que d’autres.
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La profondeur latente de ces mots vous portera dans un univers singulier, au-delà du rêve et de l'oubli... Un instant d'éternel, voilà ce que nous offre Gérard de Nerval, un instant volé à la folie.
J'aurais aimé lire une collaboration Poe/Nerval/Lovecraft... Pas vous ?
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Des petites nouvelles accessibles, j'ai acheté ce recueil il y a quelques années et de temps en temps j'en ai lu une. Agréable et très beau à lire. Une petite pause fraîcheur entre deux romans.
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Une écriture poétique et des histoires où se mélangent rêve et réalité. D'une beauté saisissante et d'un charme poignant, je conseille vivement ce livre et l'auteur en lui-même!
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J'ai bien aimé ce recueil de "nouvelles"! Le style est particulier mais on se plonge rapidement au centre de l'histoire!
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C'est un bon recueil. On peut y voir le style de Nerval qui est innimitable.
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Date de sortie
Les Filles du feu ; Les Chimères
- France : 1997-03-20 - Poche (Français)
Activité récente
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Évaluations
Résumé
Janvier 1854 : en faisant paraître « Les Filles du feu », recueil de nouvelles suivi de douze sonnets rassemblés sous le titre « Chimères », Nerval, par-delà les crises de folie et la maladie, prouve au monde que son génie reste intact. Abolissant les frontières entre ici et ailleurs, entre autrefois et aujourd'hui, entre autobiographie et songe, ces textes ont fasciné les plus grands auteurs du siècle suivant, de Proust à Yves Bonnefoy, en passant par André Breton ou encore Julien Gracq, qui écrivait : « Il y a chez Nerval une infusion omniprésente du souvenir, une chanson du temps passé qui s'envole et se dévide à partir des rappels même les plus ténus de naguère comme de jadis, et que je ne vois à aucun autre écrivain. »
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