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MÉPHISTOPHÉLÈS : - Je veux ici m'attacher à ton service, obéir sans fin ni cesse à ton moindre signe ; mais, quand nous nous reverrons là-dessous, tu devras me rendre la pareille. FAUST - Le dessous ne m'inquiète guère ; mets d'abord en pièces ce monde-ci, et l'autre peut arriver ensuite. Mes plaisirs jaillissent de cette terre, et ce soleil éclaire mes peines ; que je m'affranchisse une fois de ces dernières, arrive après ce que pourra. Je n'en veux point apprendre davantage. Peu m'importe que, dans l'avenir, on aime ou haïsse, et que ces sphères aient aussi un dessus et un dessous. MÉPHISTOPHÉLÈS - Dans un tel esprit tu peux te hasarder : engage-toi ; tu verras ces jours-ci tout ce que mon art peut procurer de plaisir ; je te donnerai ce qu'aucun homme n'a pu même encore entrevoir.
Je suis l'esprit qui toujours nie ; et c'est avec juste : car tout ce qui existe est digne d'être détruit, il serait donc mieux que rien n'existât. Ainsi, tout ce que vous nommez péché, destruction, bref, ce qu'on entend par mal, voilà mon élément.
Le début et la fin sont passablement décevants, du fait d'une écriture excessivement dense, confuse et décousue.
La relation entre Faust et Méphistophélès est intéressante. Hélas, la multiplication des personnages aux 2 extrémités du récit noie quelque peu l'intrigue. Le style est exalté, poétique, lyrique, mais bizarrement l'emphase nuit parfois à la clarté et à la profondeur des thèmes évoqués par Goethe.
Attention, pdv d'une personne qui ne lit pas forcément de théâtre (encore moins du XVIIIe).
Outre la représentation des personnages féminins qui est absolument déplorable à mon sens (très dans l'exagération et les stéréotypes, mais qui répond sûrement à d'autres mœurs) j'ai trouvé le propos d'une belle inventivité. Quelques notions pas forcément très compréhensibles si on n'a pas tous les référents de l'époque, un peu de mal à raccrocher tous les lieux de l'action, mais j'ai trouvé le texte en lui-même parfaitement accessible.
Les didascalies sont efficaces, et j'ai aimé les visions que la première partie de la pièce m'ont procuré. J'ai souri à de nombreuses reprises, j'y ai trouvé un côté désuet plutôt humoristique, et j'en ai un ressenti global positif.
En tout cas pour la première partie. (Il me semblait que j'avais les deux dans mon édition qui indique texte intégral, mais en fait non. Donc j'attends de voir si je peux me trouver la suite…)
Cela rejoint un des autres commentaires, mais ma lecture a été largement "gâchée" par mes attentes, qui venaient de la renommée de l'œuvre d'une part, mais aussi de la première partie avant d'entamer la lecture de la deuxième. L'action, s'il y en a, est très difficile à suivre, et la grandeur de cette pièce réside par ailleurs dans la versification et sa mise en contexte historique. Les notes m'ont permis d'apprécier de nombreuses références à côté desquelles on est susceptibles de passer en tant que lecteurs contemporains.
Le plaisir pris à la lecture dépend aussi de la traduction, et je n'ai pas particulièrement apprécié celle de la deuxième partie chez Folio Théâtre. Il me faudrait en relire une autre, mais ce sera pour plus tard...
Un classique de la littérature qui m'a pourtant laissé perplexe.
Je m'attendais à plonger dans un univers sombre avec un pacte avec le démon et pourtant j'ai eu beaucoup de mal à suivre l'histoire. Je ne comprenais pas où l'histoire nous menait, quels étaient les tenants et les aboutissants de l'histoire. Ça a été difficile pour moi de me prendre à l'histoire et de vraiment accroché, la lecture fut difficile. Peut-être était-ce lié à la traduction, mais plus probablement à mon manque de sensibilité envers la littérature romantique allemande.
En résumé, un livre qui malheureusement ne m'a pas fait grand effet et ne marquera pas ma mémoire.
Pouah que c'est dur mais que c'est bon. C'est un épreuve à lire mais après tout deviens facile. Malgré tout je m'attendait à bien pire. C'est quand même lisible et compréhensible. La deuxième partie va trop loin mais a du sens donc c'est lisible mais c'est bien plus difficile que la première qui est plus terre à terre.
J’ai malheureusement lu Faust dans une traduction pitoyable (celle de Gérard de Nerval), et ma lecture était réellement désagréable au vu du nombre d’erreurs de traduction et de notes du correcteur. Ce fut une déception. Cependant, je sais que cette lecture m’aurait passionnée si j’avais pu mettre la main sur une traduction correcte, et admire l’œuvre de Goethe.
Classique que je voulais lire pour le mythe du pacte avec le diable que je trouvais fascinant. Avec ce livre, ce n’est plus le cas. Appartenant au courant romantique, Goethe brise les règles classiques (un lieu, un temps, une action, etc.), impossible parfois de comprendre pourquoi on est dans tel lieu, avec telles personnes, et même ce qu’ils faisaient… Même la scène du pacte m’a semblée aride et obscure. Sûrement gagne-t-il à être vu mis en scène plutôt que lu, car là, il est d’un ennui et d’une complexité sans nom. Je doute d’en lire la suite (le prologue avait même l’air de le déconseiller dans mon édition). Et je ne dénigre absolument pas la traduction pour cette œuvre étant donné que j’ai lu celle de Gérard de Nerval dont Goethe a dit qu’elle ajoutait en langue française une certaine fraîcheur qu’elle n’avait pas en allemand. Je ne suis pas le genre de personne à toujours trouver la VO meilleure qu’une bonne traduction, de toute façon. Mais voilà, je n’ai juste pas apprécié ce livre, je ressors de cette lecture déçue.
J'ai découvert l'histoire de Faust à travers l'exceptionnelle adaptation de F. W. Murnau dont l'esthétique ne cessera jamais de me séduire. Je craignais de ne pas retrouver cette atmosphère oppressante et lugubre en lisant l'œuvre originale et mes craintes se sont avérées justes. L'idée en elle-même reste très intéressante : Faust, un vieillard réputé pour sa sagesse, se sent soudain accablé par l'insignifiance de toutes les connaissances qu'il a accumulées au fil de sa vie. Il prend alors la décision de conclure un pacte avec le démon Méphistophélès pour peut-être enfin prendre goût aux jouissances qui séduisent tant les humains. La structure inhabituelle de la pièce m'a néanmoins déstabilisé et je pense n'avoir pas été suffisamment attentif à certains moments, mes yeux se perdant entre les lignes. Il doit être très enrichissant de se pencher sur une analyse littéraire une fois la lecture terminée, histoire de mieux saisir le fond du propos et de combler les quelques creux laissés par un texte pas forcément limpide.
Comment faire la critique d’un tel livre, si riche en personnages et en intrigue… que dis-je… CES livres car mon édition regroupe Faust 1 et 2 ainsi qu’Urfaust. Un tel pavé mériterait plus que mes quelques lignes mais c’est ainsi. Lire du théâtre a toujours été pour moi d’une grande difficulté car je ne me représente pas les personnages comme dans un roman, j’ai du mal à imaginer les protagonistes interagir entre eux. C’est un raté pour moi aussi, les scènes et l’intrigue même sont trop complexes pour que j’arrive à suivre mais je garde en mémoire le mythe de Méphistophélès qui naît sous les lignes de Goethe, tout simplement génial, je suis quand même content de l’avoir lu même si j’ai eu beaucoup de difficulté avec cette lecture.
Le texte mériterait d’être accompagné d’un décryptage tant l’univers des pièces sont vastes, j’ai bien conscience de passer à côté d’un classique mais ainsi va la vie littéraire, parfois on entre dans le bouquin et parfois on passe à côté la faute à un manque de concentration ou du bon niveau littéraire.
Résumé
MÉPHISTOPHÉLÈS : - Je veux ici m'attacher à ton service, obéir sans fin ni cesse à ton moindre signe ; mais, quand nous nous reverrons là-dessous, tu devras me rendre la pareille. FAUST - Le dessous ne m'inquiète guère ; mets d'abord en pièces ce monde-ci, et l'autre peut arriver ensuite. Mes plaisirs jaillissent de cette terre, et ce soleil éclaire mes peines ; que je m'affranchisse une fois de ces dernières, arrive après ce que pourra. Je n'en veux point apprendre davantage. Peu m'importe que, dans l'avenir, on aime ou haïsse, et que ces sphères aient aussi un dessus et un dessous. MÉPHISTOPHÉLÈS - Dans un tel esprit tu peux te hasarder : engage-toi ; tu verras ces jours-ci tout ce que mon art peut procurer de plaisir ; je te donnerai ce qu'aucun homme n'a pu même encore entrevoir.
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