Magyk, Tome 3 : La reine maudite

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De nouveaux ennuis attendent Jenna et la famille Heap dans ce troisième tome de Magyk. Silas a accidentellement réveillé le fantôme d’une ancienne reine, bien décidée à reprendre son trône et à imposer son impitoyable volonté au royaume.

Je crois que je vais synthétiser mes deux premières chroniques, on ira plus vite. C’est mauvais. Vraiment mauvais. On a une reine tyrannique prête à tuer ses propres gosses pour s’assurer de conserver le pouvoir, et vous savez quoi ? Eh bien, elle m’est infiniment plus sympathique que Silas Heap.

Non parce qu’il n’a jamais QUE provoqué le retour d’une meurtrière en série, une épidémie qui a sans doute causé des dizaines, voire des centaines de morts, la disparition de l’un de ses fils, puis celle d’un second parti en quête du premier… Et comment il réagit au milieu de tout ça, cet abruti ? En continuant de jouer à la Pagaille Poursuite !

Et PERSONNE ne lui en veut ! Non, c’pas grave. Ils ont tous crevé ou se sont volatilisés, mais c’pas grave. Il est JUSTE inconséquent, c’pas comme si c’était un vil dictateur sanglant comme la reine maudite (qu’il a JUSTE libérée). Y a bien Marcia qui crie un peu, trois quatre lignes, mais comme Marcia crie tout le temps…

Encore qu’on ne la voit pas beaucoup, dans ce tome. Pas plus que Zelda. M’enfin, c’est logique, Septimus s’est évanoui dans le passé, POURQUOI on battrait le rappel des troupes et qu’on essayerait d’œuvrer de concert pour lui mettre la main dessus, hein ? Brassons tous de l’air chacun dans notre coin, et avec un peu de chance, il finira par émerger d’un tas de crottin !

Ah oui, parce qu’il y a ça, aussi. L’humour. Je ne l’ai jamais aimé, mais là, avec les excréments et les flatulences du dragon, on s’enfonce (littéralement) dans la scatologie. Et puisque je parle du dragon… Non, en fait, vaut mieux pas. Je préfèrerais l’oublier. Ce dragon, c’est comme Silas. J’ai passé le livre à rêver de lui tirer une balle dans la tête. Je n’en pouvais plus ! Il sert à que dalle, et on y passe des plombes !

Et Snorri… Snorri n’est pas désagréable, mais elle non plus, elle ne sert à rien. À part au « Ta gueule, c’est magique » du rebondissement final. D’ailleurs, c’est bien la seule chose de magique là-dedans. J’ai l’impression que plus on avance, plus les personnages oublient qu’ils sont MAGICIENS. (Oups, c’est vrai, pardon, moi aussi, j’oublie, ils sont surtout cons AVANT d’être magiciens.)

Je pourrais continuer à cracher sur ce roman, et plus globalement sur cette saga, pendant des lignes et des lignes, mais j’ai déjà assez perdu de temps comme ça, et il me reste encore deux tomes dans ma PAL. J’ose croire que vous avez là un aperçu plus que suffisant des sentiments que cette œuvre m’inspire…

J'ai passé un très bon moment avec ce livre

Un petit bijou de fantasy jeunesse qui se dévore même plus grand. J'ai tout simplement adoré.

Un roman agréable, mais il manque à mon sens un peu d'action au début, quelques longueur.

Un tome qui change des précédents avec Septimus qui se retrouve séparé de Jenna.

Super livre, je l'ai lu il y une 15 aines d'années donc j'ai pas tout en tête mais je sais que j'avais bien aimé les premiers.

Un bon troisième tome, un peu plus long que les précédents mais toujours aussi captivant

J'ai aimé ce livre

Dans ce troisième volet, j'ai adoré le personnage de Marcellus Pye. Le retour dans le passé était une belle intrigue. Parfois enfantin comme roman, je crois qu'il est très bien écrit pour un groupe d'âge de 12 à 15 ans.

Voilà une nouvelle aventure où nos héros n'ont pas le temps de souffler. Pas un seul instant, je me suis ennuyé dans ce troisième tome avec les nombreux rebondissements, l'action qui s'enchaine à chaque chapitre. J'ai aimé faire connaissance avec la lignée de Jenna, en découvrir plus sur l'histoire du Château. Spoiler(cliquez pour révéler)Que Septimus s'intéresse à la Physic était intéressant montrant que la Magyk ne peut pas régler tous les problème et que parfois elle doit laisser la place à une science plus "rationnelle".