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Penny Blood



Description ajoutée par Spika 2014-06-09T11:20:44+02:00

Résumé

« — Des Penny Blood, dites-vous ?

— Je veux parler de ces petits magazines qui étaient imprimés de façon désastreuse sur du papier de mauvaise qualité, dans les années cinquante, et vendus un penny. On les appelait aussi Penny Dreadful, ou Penny Horrible. Je me souviens que la jeunesse raffolait de ces histoires épouvantables… »

Des histoires abominables, Sherlock Holmes et le docteur Watson vont en découvrir à foison dans les récits de Mina Marten, une incroyable spirite en passe de révolutionner les techniques d’investigation de Scotland Yard !

Le détective est entraîné par son ami dans une enquête inhabituelle où son esprit logique est confronté à l’irrationalité de ses contemporains, suspendus aux visions de la charmante spirite. Comment retrouver le fil de la raison, entre crimes et manipulations ?

Londres est au centre de cette aventure, avec de nombreuses incursions dans sa « petite histoire », au fil des inquiétantes péripéties de l’expérience spirite…

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Classement en biblio - 6 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Spika 2014-06-09T11:40:48+02:00

Quand ils furent sortis, Holmes me confia, dans un français impeccable :

- J’ai un homologue en Belgique, qui pourra sans doute nous aider. Il s’agit d’Hercule Poirot. C’est une grosse légume.

Il s’esclaffa. J’en conclus qu’il devait s’agir d’un bon mot à sa manière. Mes connaissances en français étant quasi nulles, cela ne m’amusa pas le moins du monde.

Il s’en rendit compte et m’expliqua :

- Une grosse légume est une expression française qui désigne quelqu’un d’important. Mon homologue s’appelle « Poirot », dont la prononciation est identique à celle du « poireau ». En outre, il se trouve que mon Hercule est de corpulence plutôt massive.

J’esquissai un sourire par amitié. L’humour français demeurait un mystère que je n’étais pas avide de percer.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Irene-Adler 2019-05-26T09:26:47+02:00
Lu aussi

Vous dire que ce livre m'intriguait et que je râlais de ne point le trouver dans une grande surface commerciale vendeuse de livres serait un euphémisme. La vente en ligne vint à mon secours et ce livre échoua dans ma boîte vers la mi-mai.

Son 4ème de couverture était obscur et n'ayant obtenu qu'un extrait tiré du récit comme résumé, je ne savais pas où Bob Garcia allait m'entraîner lorsque j'entamai ma lecture. C'était un pari risqué de ma part, n'ayant pas apprécié son précédent pastiche "Duel en enfer".

Le pitch ? L'inspecteur Lestrade a obtenu l'aide de Mina Martens, une spirite, qui a eu une vision et grâce à elle, ils ont retrouvé une petite fille enlevée. Lestrade a les yeux qui brillent mais Holmes est sceptique : de simples déductions auraient permis de retrouver la gamine, rien de sorcier là dessous. Pour lui, le spiritisme, ce n'est que fumisterie, ce qui n'est pas le cas de l'éditeur des récits de Watson, un certain Conan Doyle...

Ce qui va les entraîner dans l'aventure, c'est la découverte, par un ouvrier, d'un couteau posé à l'intérieur de la cheminée d'un immeuble que l'on doit abattre. Il s'agit du funestement célèbre n°13, Miller's Court. Vous ne comprenez pas ? C'est là qu'une certaine Mary Jane Kelly fut charcutée par un dénommé Jack... (un sein sous la tête et le second entre ses pieds, entre autre).

L'expérience voulue ? Donner le couteau à la spirite pour voir ce qu'elle va "voir"... le tout sous contrôle de Lestrade, un autre flic, un journaliste, Conan Doyle, sans oublier Holmes et Watson, mais déguisés, eux. Ainsi, ils auront la preuve : fumisterie or not fumisterie.

Là, j'ai eu des sueurs froides : y aura-t-il matière à remplir 424 pages juste avec ça ??

En fait, ce que la spirite va "voir" en empoignant ce vieux couteau fera l'objet de 13 récits...

Lorsque je tombai sur le premier récit qui se déroule à une époque vachement reculée (époque des Celtes, en compagnie d'un certain Londinos), je fis la grimace, grommelant que je m'étais faite avoir sur la marchandise et que ce que je voulais, moi, c'est un pastiche holmésien, pas une fresque historique. Soupirant, je me mis à lire : puisque le vin était tiré, fallait le boire jusqu'à la lie.

Pourtant, je suis vite entrée dans L Histoire, à tel point que j'ai été saisie lorsque le récit repris pied dans l'époque de Holmes. Quoi ? Que fait Holmes au temps des Celtes ? Hein ? Ah oui...

Cette impression ne me quitta pas durant tout le récit. J'invectivai même tel ou telle personnage, lui enjoignant de courir plus vite, de fuir,... bref, je vivais de l'aventure avec un grand A.

Nous passâmes ensuite aux Romains qui avaient colonisé la Bretagne (celle de Jolitorax, le cousin d'Astérix) et la ville de Londinum; et hop, un tour à l'époque de l'Inquisition, croisant au passage un certain frère Guillaume qui me fit penser à Guillaume de Baskerville, personnage de Umberto Eco (Le nom de la rose) et qui en fait, était bel et bien lui avec son fidèle Adso; holà, 1666 et son grand incendie après la peste noire; tiens, un éventreur de femmes de petits vertus...

A chaque fois, reprendre pied dans l'univers du détective était difficile, tant le récit Historique était prenant. Et entre deux récits, s'écoulait une journée que Holmes, ainsi que Watson, mettaient à profit pour dénicher la supercherie de la spirite, les failles dans les dates, dans les noms des gens... Son enquête avance lentement tant les preuves sont difficiles à trouver au début car trop ancien.

Une enquête où les déguisements, les filatures et les déductions s'enchainent; pareil pour les récits aussi, nous montrant des facettes méconnues de la ville de Londres, surtout ses quartiers les plus mal famés, ces pauvres hères qui errent dans leurs taudis, ces femmes qui vivent des les décharges publiques, triant les ordures, marchant dans des monceaux de cadavres, ou dans des couches de détritus qui leur arrivaient à la hanche.

La question que l'on se pose c'est "Mais comment tout cela va-t-il finir ?" et "Quel est le rapport entre toutes ces histoires et l'époque dans laquelle les protagonistes se trouvent ?". Oui, ça en fait deux, mais la seconde vous est offerte.

Bémol ? Toutes ces petites histoires sont bien entendu assez sombre, vous vous en doutez et je pense que certains lecteurs pourraient trouver que ces récits sont un peu trop nombreux et trop sombres. Moi, ça a passé, mais de justesse, un ou deux de moins auraient allégé le récit sans le desservir, donnant une impression de plus grande vitesse dans le roman.

Il faut dire que je lis vite, mais ce n'était pas de l'écriture confort comme aux éditions Belgique-France Loisirs (style interligne 1,5) et l'écriture était bien condensée sur toute la page.

Le final ? Je l'ai senti "un peu" venir, ce qui n'a pas gâché ma lecture (normal, c'est à la fin que je l'ai senti).

C'était perfide, bien trouvé et j'ai passé un bon moment de lecture, découvrant une fois de plus la ville de Londres comme jamais auparavant.

Ceci n'est pas que pour les holmésiens, les autres peuvent le lire sans problème. Spécial, plaisant, agréable, le livre vous fera voir Londres aux rayons X.

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Commentaire ajouté par LOANDRE 2015-06-15T09:08:32+02:00
Or

Effectivement, ce n'est pas un polar classique. On apprend beaucoup sur l'histoire de Londres. Les treize récits de la spirite sont durs et parlent souvent de la prostitutions, mais malheureusement, c'est la réalité des époques évoquées. Un bon roman malgré tout moins axé sur l'enquête policière que d'habitude.

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Commentaire ajouté par Spika 2015-05-17T12:15:34+02:00
Lu aussi

Une immense déception, c'est peu de le dire. Ici, nous suivons Holmes qui a accepté de jouer le jeu dans une expérience spirite pour prouver ou non que la voyante en question est une usurpatrice. A travers 13 récits que celle-ci nous racontera, Sherlock suivra la piste pour essayer de tout éclairer.

Comme ça, le résumé vend du rêve. En pratique, il en est tout autre, car ces 13 récits sont lourds, longs, et inintéressants. Enfin, à part si vous aimez la prostitution (infantile très souvent), les abus sexuels en tout genre (sur mineurs la plupart du temps) et les meurtres sordides (sur femmes et enfants, ça va de soit, sinon, ce n'est pas drôle!). Bref, ils sont juste malsains, durent à chaque fois une vingtaine de pages, et sont entrecoupés de vagues recherches de notre détective préféré. Mais sincèrement, j'ai cru lire un livre de nouvelles sur une histoire romancée de la ville de Londres plutôt qu'autre chose, le "polar" n'arrive réellement que dans les deux derniers chapitres. Parce que, oui, je me suis forcée à lire jusqu'au bout en espérant un retournement de situation digne de Garcia. Mais non, bien sur que non, ça aurait été trop beau. Il souille même Jack l'éventreur à un moment, si cher à son cœur dans les précédents tomes, bien que ça ne soit qu'un court instant, ça décrédibilise tout, je trouve.

Bref, j'ai envie de dire "tout ça pour ça". Grosse déception, la fin ne cassant vraiment pas trois pattes à un canard.

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