Celui que les médias berlinois ont surnommé le Voleur de regards a de nouveau frappé. Comme à son habitude, il a tué une femme avant d’enlever son enfant. Dans la main de sa victime : un chronomètre qui a commencé à égrener les secondes… Mais cette fois, on a également retrouvé le portefeuille d’Alexander Zorbach sur la scène du crime. Ancien policier devenu journaliste, celui-ci est alors pris dans l’engrenage d’un jeu machiavélique. Il sait qu’il ne dispose que de 45 heures et 7 sept minutes pour découvrir où l’enfant est retenu prisonnier – et ainsi prouver son innocence. Le compte à rebours est lancé…
Nous ne remettons généralement en question que nos erreurs. Jamais nos succès. Quand quelque chose se passe bien, nous l'acceptons comme allant de soi. Nous sommes affligés quand nous perdons de l'argent ou quand l'amour de notre vie nous abandonne. Mais nous nous demandons aussi rarement pourquoi ce même amour reste avec nous, pourquoi nous avons réussi un examen... Alors qu'à mon avis, ce sont moins les échecs qui nous permettent de connaître les gens que les succès immérités. Si nous ne remettons pas en question ces derniers, ils nous endorment, nous rendent suffisants, et nous n'arrivons jamais à les répéter.
Je l'ai lu d'une traite, de la page de garde aux (longs remerciements). Je lisais dans le métro, dans les toilettes, sous la canicule, bref pour moi, ce roman a totalement marché. Je saute sur la suite!
Pourquoi n'est-il pas en diamant? Je ne sais pas, peut être le petit côté surnaturel, ou la fin où on perd un peu la réalité dans le dénouement, je ne sais pas. Mais je suis très contente de cet achat, je recommande.
Une fin surprenante, un récit haletant, tout est là pour charmer le lecteur et l'emmener dans une course-contre-la-montre hors norme.
Alors que deux enfants se font enlever par un tueur et kidnappeur en série, Zorbach, ancien policier et maintenant reconvertit en journaliste spécialisé dans les faits divers mène l'enquête. En réalité, il n'a pas le choix, ce dernier étant le principal suspect dans l'affaire. Une pièce à conviction trouvée sur les lieux du crime l'incriminerait, et de découvertes en découvertes de nombreuses preuves le placeraient au devant de la scène. Mais est-ce réellement lui qui serait derrière ce nouvel ultimatum ? Ou bien est-ce un coup monté par le véritable ravisseur ? Quel est le dessein de ce terrible tueur ?
Happé par la lecture et les péripéties des personnages, on ne peut qu'investir notre logique dans cette aventure. Mais alors que l'on va de peur en peur, le chemin vers la vérité devient court et pourtant annonciateur de ce que l'on ne voudrait pas connaître. Ce livre montre à quel point les apparences peuvent être trompeuses et qu'il est parfois facile de tromper notre intuition. Cette lecture nous rend tendu, sur le qui-vive, prêt à sauter sur des conclusions qui nous font peurs. Puis, l'on se ravise, soulagé, avant d'être inexorablement ramené vers cette même conclusion. On tourne en rond avant de lire les derniers chapitres et seul un effroi nous glace le sang. Je compte lire la suite de ce pas, ayant réussie à la trouver.
Une lecture rapide, addictive. Comme toujours, on est entraîné dans une spirale infernale. Sébastian Fitzek nous fait cheminer dans les méandres noires de son esprit. Toujours prenant on le suit bien volontiers
J'ai adoré ce livre. C'est le deuxième que je lis de l'auteur et cela confirme que cet écrivain n'est pas assez connu!
Ici, on se trouve dans l'affaire d'un "joueur" en série qui tue les mamans et enlève leur(s) enfant(s)... Il laisse 45h aux autorités pour retrouver l'enfant...
L'originalité réside dans l'écriture... On débute à l'épilogue. Les chapitres courts s'enchainent à contre courant et on assiste à un compte à rebours haletant.
Un pur bonheur de lecture, je le conseille à tous les fans de suspense!
Découverte de l'auteur avec ce premier roman lu de Sebastian Fitzek, et je n'ai pas été déçut.
Un roman qui a su me tenir en haleine jusqu'au bout malgré un début assez surprenant ( je me suis même demander si le livre n'avait pas un défaut de fabrication mais non c'est tout à fait normal ), en effet les titres de chapitres commencent comme si on était à la fin du livre. Cependant, cela prend tout son sens au fil de la lecture jusqu'à son dénouement final, qui est pour moi à la fois la fin de ce tome mais en même temps le début du prochain tome. Une course contre la montre intense que l'auteur à bien su mener. A aucun moment, je me suis douter de coupable, tout est là pour nous induire en erreur. Sans compter, une fin qui ne te donne qu'une seule envie: lire la suite!
Moins apprécié que "Thérapie" mais une intrigue tout de même bien ficelée.
La configuration des chapitres et le héros "suspens" donne une touche spéciale à ce roman.
Le seul bémol, pour moi, est le manque d'angoisse face à l'inconnu de la situation. Impossible de ressentir de l'empathie pour ce qui arrive aux protagonistes.
Voici maintenant le troisième livre de cet auteur que je lis et je n’ai jamais été déçue. J’ai vraiment aimé ce thriller ! Le suspense était au rendez-vous, et la construction des chapitres ainsi que le style le rendent très addictif. Je le recommande vivement !
Il faut que je vous fasse savoir d’emblée que je n’aime pas les histoires avec des enlèvements d’enfants (et il y en a une flopée dans le monde des livres ces dernières années !)... ça me rend d’humeur irascible.
Je n’apprécie pas non plus les « courses contre la montre » (ça m’essouffle d’avance), ni le genre « surnaturel » quand j’ai en tête de me plonger dans un thriller psychologique que j’espère réaliste.
Mais comme ce polar est signé Fitzek, j’y suis allée aveuglément, les yeux fermés. ...euh... c’est un mauvais jeu de mots, parce que la jeune femme qui va aider Alexandre Zorbach, ex-flic devenu journaliste d’investigation, à y voir plus clair dans cette sordide enquête sur des enfants cachés et voués à mourir, cette fille, Aline, est aveugle... et visionnaire... mouais.
« Enquête » est un grand mot d’ailleurs pour désigner les maigres pistes que Zorbach va suivre en s’accordant sur « l’acuité visuelle » d’Aline, tout en essayant de se mettre à l’abri de ses ex-collègues qui souhaitent lui mettre le grappin dessus.
Heureusement qu’Alexandre peut compter sur la serviabilité d’une troisième personne ...re-mouais... je n’en connais pas beaucoup, dévoué(e)s à ce point. Cela a porté rapidement mon regard sur le coupable.
Enfin « rapidement » n’est pas le terme exact non plus quand il s’agit de devoir se taper quelques longueurs (+ introspections + biographies des personnages secondaires...) dans ce récit qui démarre très lentement.
Mais après avoir bien grognonné, je dois admettre -objectivement- que le style d’écriture naturel de l’auteur fait toujours son (plaisant) effet, que le livre est néanmoins traversé d’une tension constante qui classe ce thriller dans la catégorie « bon suspense »... avec, hélas (soupir), un épilogue qui n’en est pas un.
Dans ce roman avec ses chapitres numérotés à l’envers, la fin est d’ailleurs le début, ainsi que le commencement d’une autre histoire.
Or, n’ayant pas l’âme d’une collectionneuse (*), mon regard ne se portera certainement pas sur celle-là.
( * : je fais référence au titre d’origine en allemand « Der Augensammler « = collectionneur de yeux)
Résumé
Celui que les médias berlinois ont surnommé le Voleur de regards a de nouveau frappé. Comme à son habitude, il a tué une femme avant d’enlever son enfant. Dans la main de sa victime : un chronomètre qui a commencé à égrener les secondes… Mais cette fois, on a également retrouvé le portefeuille d’Alexander Zorbach sur la scène du crime. Ancien policier devenu journaliste, celui-ci est alors pris dans l’engrenage d’un jeu machiavélique. Il sait qu’il ne dispose que de 45 heures et 7 sept minutes pour découvrir où l’enfant est retenu prisonnier – et ainsi prouver son innocence. Le compte à rebours est lancé…
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