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"Vilipendée par les uns, sanctifiée par les autres, l'" Autrichienne " Marie-Antoinette est la reine la plus méconnue de l'histoire de France. Il fallut attendre Stefan Zweig, en 1933, pour que la passion cède à la vérité.
S'appuyant sur les archives de l'Empire autrichien et sur la correspondance du comte Axel de Fersen, qu'il fut le premier à pouvoir consulter intégralement, Stefan Zweig retrace avec sensibilité et rigueur l'évolution de la jeune princesse, trop tôt appelée au trône, que la faiblesse et l'impuissance temporaire de Louis XVI vont précipiter dans un tourbillon de distractions et de fêtes.
Dans ce contexte, la sombre affaire du collier, habilement exploitée par ses nombreux ennemis à la cour de France, va inexorablement éloigner Marie-Antoinette de son peuple
Or, la vérité et la politique habitent rarement sous le même toit, et là où l’on veut dessiner une figure avec l’intention de plaire à la multitude, il y a peu de justice à attendre des serviteurs complaisants de l’opinion publique. On n’épargna à Marie-Antoinette aucune calomnie, on usa de tous les moyens pour la conduire à la guillotine ; journaux, brochures, livres attribuèrent sans hésitation à la « louve autrichienne » tous les vices, toutes les dépravations morales, toutes les perversités ; dans l’asile même de la justice, au tribunal, le procureur général compara pathétiquement la « veuve Capet » aux débauchées les plus célèbres de l’Histoire, à Messaline, Agrippine et Frédégonde.
Derniere reine de france, la plus belle, la plus vive, la plus fascinante et la moins apte a gouverner. On comprend que ses gouts, ses choix, son eloignement total de la realite et son besoin de bonheur personnel ne vont pas de paire avec le role d'une reine. Mais ce role elle ne l'avait pas choisi. Elle repugne autant qu'elle attendrit et a travers ce portrait (qui meme s'il est extremement bien organise et documente comporte pour moi trop de details qui sont repetes souvent dans le livre) sa mort sous le coup de la guillotine emeut et devient une tragedie. Elle ne le meritait surement pas.
Ce livre nous raconte ce qu'a été la vie Marie-Antoinette en France, les prémisses de la révolution Française et le rôle de Louis XVI. Stefan Zweig écrit de façon magistrale, nous retrouvons dans ce livre tout l'art du "bien" écrire et nous nous laissons entrainer par la rigueur historique dans une aventure fantastique mais bien réelle. A lire absolument même pour les réfractaire de notre histoire de France. .
Probablement que tout a déjà été dit sur les talents narratifs de cet auteur.
Ce livre, je l’ai lu avec la même inquiétude qu’un très bon polar tellement même si l’intrigue est connue dès le début le talent narratif de l’auteur est exceptionnel. Tout y est parfait, de la psychologie des personnages, de l’importance du moment historique, des revirements des situations. Un grand moment de littérature
« Ce fut là dès le début sa funeste erreur : elle voulait vaincre comme femme et non point comme reine ; ses petits triomphes féminins comptaient plus pour elle que les grandes et vastes victoires de l'Histoire universelle ; son esprit dissipé n'ayant pas su donner à l'idée monarchique un contenu, mais seulement une forme parfaite, la grande tâche qu'elle avait à accomplir se réduisit entre ses mains à un jeu éphémère, et la dignité de son rang à un rôle théâtral. »
Parmi mes plus grands coups de coeur littéraires, si je devais n'en retenir qu'un seul, mon choix irait sans aucune hésitation vers les magnifiques textes de Stefan Zweig. L'auteur a une plume exceptionnelle, d'une grande beauté, d'une profonde sensibilité. Chaque sentiment est magnifiquement exprimé, chaque mot est particulièrement bien pensé.
Après la passionnante biographie de « Magellan », j'avais noté cette biographie d'environ 600 pages, écrite en 1932. Il s'agit incontestablement d'un travail de documentation remarquable s'appuyant sur des sources primaires : lettres privées, notes, journaux intimes, procès-verbaux, archives, … viennent s'insérer dans le texte de la plus belle des manières. Riche, dense, instructif, ce récit n'en reste pas moins captivant. L'auteur dresse en effet le portrait d'une reine incroyablement fascinante, mais également d'une époque de tension, de pauvreté et de misère sociale.
*
Cette biographie, en dressant le fascinant portrait de Marie-Antoinette, nous entraine sous l'ancien régime et la cour de Louis XVI, puis dans le tumulte de la Révolution française et la période de la Terreur qui concentra les plus grandes passions et les plus grandes haines.
Tout le monde connait les grandes lignes de sa vie : princesse autrichienne fiancée à quatorze ans, couronnée reine de France à dix-neuf ans, Marie-Antoinette fut décapitée à trente-sept ans.
Pour beaucoup, elle est considérée comme une reine frivole et dépensière, insouciante et inconsciente, fière et capricieuse.
Mariée très jeune à un Louis XVI sans envergure et apathique, Marie-Antoinette se détourne de ses devoirs de reine. Elle s'affranchit de l'étiquette et se consacre aux distractions, aux plaisirs futiles sans prendre conscience que son peuple malheureux, miséreux, affamé, taxé est de plus en plus mécontent et vindicatif.
« … une reine qui oublie son peuple risque gros jeu. Une simple question aurait révélé ce monde à Marie-Antoinette, mais elle ne voulait pas la poser. Un regard sur l'époque, et elle aurait compris, mais elle ne désirait pas comprendre. Elle souhaitait rester dans sa sphère, jeune, joyeuse et loin de tout tracas. Guidée par un feu follet, elle tourne inlassablement en rond, et, au milieu de ses marionnettes de cour, elle laisse s'enfuir, perdues à jamais, les années décisives de sa vie. »
Derrière la finesse et la profondeur de l'écriture, Stefan Zweig tisse un portrait plus nuancé qui m'a semblé à la fois plus juste et fidèle à Marie-Antoinette. Accusée de tous les maux, de tous les vices, de toutes les dépravations morales, de toutes les perversités, on découvre une enfant-reine avec ses défauts, ses qualités, arrachée trop tôt à sa mère l'archiduchesse Marie-Thérèse, avant d'éclore et défier son destin avec courage et détermination, mais trop tard pour qu'elle ne puisse s'en échapper.
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J'ai été captivée par l'histoire de la plus célèbre reine de France, par la vie d'oisiveté et de fêtes à Versailles et au Trianon, par le récit des intrigues et des ambitions des courtisans. le récit est très visuel et profondément immersif, on se sent projeté dans l'intimité de sa vie, de ses pensées.
Les moments les plus marquants ont été pour moi la scène de l'accouchement, l'affaire du collier, la fuite de toute la famille royale à Varennes, le procès de Marie-Antoinette et ses derniers instants lorsqu'elle s'avance « vers le dernier de ses devoirs : mourir dignement et la tête haute ».
Récit passionné, récit dramatique, l'auteur offre à ses lecteurs un récit vivant qui se concentre sur les émotions humaines par une analyse psychologique fine, sensible et délicate.
L'auteur se tient à distance de son personnage, renforçant l'idée de réalisme, de transparence et d'honnêteté. le résultat en est plus immersif et émouvant car ses mots semblent ressusciter Marie-Antoinette et la rendre plus humaine.
Son charme inné a opéré et traversé le temps : j'ai été touchée par son histoire, ses nombreux malheurs, son amour pour ses enfants, sa grandeur et sa force morale aux heures les plus difficiles de son existence. On ressent sa vie comme un perpétuel mouvement de balancier entre joies et peines, sécurité et peur, plaisirs et solitude, courage et douleur, amour et haine.
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« Marie-Antoinette » est une des biographies les plus passionnantes, émouvantes, vivantes, instructives qu'il m'ait été donné de lire. Stefan Zweig est un merveilleux conteur.
J'ai aimé son écriture posé, son humour fin, sa douce ironie, sa délicatesse et sa neutralité, la justesse du ton. le dernier tiers du roman est triste, particulièrement poignant.
Un gros coup de coeur qui vaut largement 5 étoiles en ce qui me concerne !
J'aime beaucoup les livres de cet auteur car tout est bien écrit et il ne cherche pas à prendre parti et reste impartial !
J'en ai appris beaucoup sur cette reine de France et sur cette époque. Il y a beaucoup de descriptions ce qui nous permet d'imaginer assez bien ce qu'a du être sa vie.
Je ne connaissais rien à cette figure emblématique de l'Histoire de France.
Ce lire est à mon sens d'une grande douceur, qui ne cherche par à prendre partie mais à expliquer la vision et la vie de Marie-Antoinette dans le monde.
La lecture est très fluide et accessible.
J'ai adoré ma lecture et je conseil ce livre à 2000% aux personnes qui souhaitent en savoir plus sur elle, sur la révolution ou juste ceux qui veulent se réconcilier avec les livres biographiques.
La dernière reine, la reine martyre, « Marie Antoinette », Stefan Zweig nous en dresse un portrait psychologique finement étudié.
Nous découvrons son parcours depuis son Autriche natale qu’elle quitte alors qu’elle n’est encore qu’une gamine pour devenir dauphine, puis épouse de Louis XVI et reine de France.
Que d’anecdotes qui nous font comprendre l’Histoire de France avec un grand H !
La personnalité et le mode de vie de Marie Antoinette ont influencé tout Versailles, au détriment du reste de la France qu’elle n’a jamais visité.
L’évolution de son caractère face à un époux impuissant et incapable de décision, face à la révolution… et la description qu’en fait l’auteur finissent par nous la rendre attachante.
Grâce à cette belle biographie, j’ai appris beaucoup sur Marie-Antoinette et sur cette époque de l’Histoire. J’ai ressenti de la compassion pour cette reine qui n’a pas su gouverner la France mais, comment lui en vouloir vu qu’elle a régné bien trop jeune ? son procès est juste horrible, on l’accuse même de choses qu’elle n’a pas commise. Bref, l’histoire de Marie-Antoinette m’a beaucoup touché ainsi que son affinité avec Fersen dont ce dernier sera toujours épris d’elle jusqu’à sa mort.
Stefan Zweig en plus de nous conter la vie de cette dernière va bien plus loin puisque c’est aussi toute une époque de l’Histoire qu’il nous dépeint avec la Révolution entre autres. Et bien que ce livre comporte cinq cents pages, il n’y aucun passage que j’ai trouvé longuet car le récit est toujours passionnant et instructif, il faut juste prendre le temps de le lire afin de mieux s’imprégner de l’époque et du pourquoi du comment.
Pour conclure, une biographie que je vous recommande de lire si vous avez très peu de connaissances sur Marie-Antoinette.
A lire pour tous les fans d'histoire et plus particulièrement de Marie-Antoinnette et de la révolution française. Il s'agit d'une bibliographie mais j'ai trouvé qu'elle se lisait très facilement et agréablement
Résumé
"Vilipendée par les uns, sanctifiée par les autres, l'" Autrichienne " Marie-Antoinette est la reine la plus méconnue de l'histoire de France. Il fallut attendre Stefan Zweig, en 1933, pour que la passion cède à la vérité.
S'appuyant sur les archives de l'Empire autrichien et sur la correspondance du comte Axel de Fersen, qu'il fut le premier à pouvoir consulter intégralement, Stefan Zweig retrace avec sensibilité et rigueur l'évolution de la jeune princesse, trop tôt appelée au trône, que la faiblesse et l'impuissance temporaire de Louis XVI vont précipiter dans un tourbillon de distractions et de fêtes.
Dans ce contexte, la sombre affaire du collier, habilement exploitée par ses nombreux ennemis à la cour de France, va inexorablement éloigner Marie-Antoinette de son peuple
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