Tomar Khan, Tome 3 : Celle qui pleurait sous l'eau

Je reste attachée aux personnages mais petit manque de profondeur dans la narration. Par contre le sujet abordé est important et tristement d'actualité.

Un bon roman

Une intrigue intriguante qui nous prend et donne envie de continuer la lecture sans s'arrêter.

Une bonne écriture très agréable.

Merci pour cette histoire Niko Tackian

1ère lecture de cet auteur. On sent qu'il y a certainement d'autres livres avant sans que cela n'empêche de comprendre. En revanche la rapidité de l'enquête, sa progression sans embûche et le peu de mystère sur les tenants et aboutissements m'ont clairement plus gênée. Je ne me suis pas sentie investie ni accrochée par les personnages... Je réessairai surement avec un autre titre mais pour celui ci c'est une déception et un sentiment de polar baclé.

Mon premier livre de cet auteur et je suis plutôt déçue. Un livre court, l'histoire se déroule rapidement et le dénouement est bien trop facile à comprendre et anticiper, aucun rebondissement qui permet de maintenir le lecteur en haleine. On parle d'un sujet très important (la violence faite aux femmes) qui est TROP survolé, on en parle à légère, sur quelques pages, puis plus rien. De plus, la "double enquête" de Tomar n'avait rien d'intéressant, elle n'avait, selon moi, rien à faire dans ce bouquin.

Tant pis !

Une nouvelle enquête de Tomar Khan et de son équipe dans la lignée des précédentes : si l'intrigue n'est pas des plus originales, on se laisse facilement porté par la plume de l'auteur et par l'engagement qui se dégage de son texte. On en apprend également davantage sur notre personnage principal, qui reste toutefois aussi intriguant qu'attachant, et que j'ai hâte de découvrir davantage.

Tomar Khan, commandant de police, doit traiter le dossier d'une jeune femme retrouvée morte dans une piscine municipale. Tout mène au suicide mais Rhonda, sa coéquipière soupçonne une affaire plus louche.

Entretemps, Tomar est soupçonné d'avoir assassiné un autre policier et est mis à pied par la nouvelle procureur : Ovidie Metzger, qui veut absolument le faire tomber.

Ce n'est pas une enquête banale qui se déroule dans ce roman. On parle de "suicide forcé" et l'auteur s'est très bien documenté (voir les remerciements en fin de livre).

J'ai adoré retrouvé la plume de Niko Tackian - Auteur et cette histoire restera gravé un moment dans ma mémoire.

Je vous le recommande vivement.

Lecture très plaisante, abordant un sujet important, qui est néanmoins légèrement survolé. Mériterait un peu plus de profondeur sur le type de violence fait au femme qui est abordé par ce bouquin, la fin me semble un peu rapide.

Ce roman reste cependant agréable à lire.

Cette nouvelle enquête du groupe de Tomar Khan fait la part belle à Rhonda contrainte de poursuivre en solo.

Tomar toujours dans la tourmente a d'autres chats à fouetter pour se sortir des ennuis qui s'accumulent.

Lecture simple et rapide. Un peu trop a mon gout.

Piscine Pailleron, Buttes Chaumont. Un corps de femme est retrouvé dans le bassin et tout semble conduire à la piste du suicide. Pour Tomar Khan - personnage que l'on retrouve dans "Toxique" et Fantazmë du même auteur - en charge du dossier, l'affaire paraît déjà bouclée. Aux yeux de Rhonda, sa coéquipière et petite-amie, en revanche, cette conclusion semble beaucoup trop simple. Loin d'être de l'avis de son supérieur, elle décide donc de mener sa propre enquête, afin d'élucider le mystère qui se cache derrière le décès de Clara.

En parallèle, Tomar, ce protagoniste torturé que j'aime tant, se retrouve une nouvelle fois confronté à ses propres démons, une épée de Damoclès suspendue au dessus de la tête. Déterminé à se remémorer certains de ses souvenirs perdus, il se lance dans une quête effrénée, au risque de perdre tout ce qui lui est cher.

"Celle qui pleurait sous l'eau" est une histoire qui m'a beaucoup touchée, parce qu'elle aborde un sujet auquel j'ai été confrontée à plusieurs reprises, à savoir les violences faites aux femmes. Il est question ici de pervers narcissique et de suicide forcé, de relation d'emprise et de toxicité, des thèmes qui parlent à la victime que j'étais il n'y a pas si longtemps que cela. C'est donc un récit qui a une résonance particulière pour moi, moi qui pleurais sous l'eau, là où mes larmes ne pouvaient pas être vues. Plus qu'avec ses autres romans, Niko Tackian est donc parvenu à m'atteindre en plein cœur et à toucher une corde sensible.

En dehors de cela, sa plume, toujours aussi prenante et saisissante, n'a pas réussi à me faire lâcher le livre avant le point final, me laissant ainsi la possibilité de découvrir et d'apprécier la personnalité de Rhonda, une jeune femme combative, déterminée et dotée d'un sens aigu de la justice.

Merci.