Le Schpountz
Auteur
- Marcel Pagnol (Écrivain)
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Classement en biblio - 105 lecteurs
extrait
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Irénée rêve de gloire et de cinéma. Quand un groupe vient pour filmer, il va immédiatement leur faire part de sa conviction qu'il est fait pour le cinéma. La petite équipe de tournage va le donc le tourner en ridicule et lui signer un faux contrat. C'était sans compter la naïveté et la conviction de ce pauvre Irénée qui ne va pas hésiter à tout quitter pour se rendre à Paris pour réaliser son rêve . C'est une histoire amusante et drôle qui se lit facilement et sans prise de tête.
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Je l'ai lu, il y a longtemps, et après avoir vu le film, donc, à chaque réplique, je vois les acteurs et surtout le duo Fernandel/Charpin, ce qui ajoute un charme certain au texte de Pagnol. Tout est bon dans cette pièce, de la confrontation de l'oncle et du neveu à l'évolution d'Irénée tout le long de la pièce, on ne s'ennuie pas une seconde.
Un régal de théâtre que je conseille vivement.
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La première pièce de théâtre que je lis, donc je n'ai pas vraiment d'expérience dans le genre ... C'est un genre assez particulier, néanmoins j'ai bien aimé, j'en relirai bien une :-)
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mon dieu que j'ai rit!!
"tu n'es pas un bon à rien, tu es un mauvais à tout!"
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Date de sortie
Le Schpountz
- France : 1991-03-02 - Poche (Français)
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Résumé
Un jeune méridional aimable et naïf, tout droit sorti de l’épicerie de son oncle, se laisse tenter par les sirènes de la gloire et « monte » à Paris pour devenir une vedette de cinéma.
Le Schpountz (1938) est la grande comédie satirique de Pagnol, qui prend pour cible un monde qu’il connaît bien : celui du cinéma. Fernandel sait admirablement passer du rire au pathétique, et Orane Demazis trouve là le seul rôle léger – et non marseillaus – que lui ait confié Pagnol. Le grand homme du film, cependant, c’est Charpin qui, en épicier de bon sens, aussi généreux que borné, se taille la part du lion. La « scène de l’épicerie » qui ouvre le film – Charpin tançant son neveu Fernandel – est le plus bel exemple de « cinéma à entendre » que nous ait donné Pagnol.
« C’est toujours la même chose. Et ça sera toujours la même chose. On ne saura jamais, on ne saura jamais qui c’est qui a laissé la corbeille de croissants sous le robinet du bidon de pétrole. Non ça, on ne le saura pas. Et j’aurai beau faire une enquête policière, voilà une affaire dont je ne saurai jamais rien. »
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