Pietro Gerber, Tome 3 : La Maison aux lumières

Bonjour,

Pietro Gerber 3ème Tome.

Moins de passion pour le début de ce tome.

Un nouveau thème abordé, et toujours un bel imbroglio.

Comme les autres de la série, twist de fin .

Allez encore un petit Tome?

A vous ...

J'ai adoré, hâte de poursuivre les histoires de l'endormeur d'enfants.

Comme toujours Donato Carrisi nous balade avec lui à travers de multiples voies pour résoudre l’énigme de ce thriller psychologique. Pour ma part je me demande toujours au cours de ma lecture comment il va s’en sortir sans tomber dans le paranormal et je suis sans cesse surprise par les revirements que cet auteur nous réservent. Cet opus est tout aussi alambiqué que les précédents et tout aussi addictif. À bientôt pour un tome 4…

Ce tome 3 m a pris aux tripes.

On plonge dans le passé de l hypnotiseur.

Quand il avait 11 ans, un enfant de 5 ans a disparu lors d’un jeu avec un groupe de copain dans son jardin.

Personne ne sait ce qu est devenu cet enfant disparu …

Une jeune femme « Maja » vient demander l aide du docteur pour une jeune fille nommée eva qui parle à son ami imaginaire et qui peut se retrouver blessée par celui ci sans compter sur son agoraphobie …

Tout a été minutieusement calculé par l auteur pour nous mener à chaque fois sur des pistes pour Zeno l enfant disparu - sur eva qui serait schizophrène ou médium - et sur le docteur.

Je suis toujours dans l attente de Hanna Hall tome 1 - de l affubulateur tome 2 et sans spoiler de eva tome 3 …

Est ce que le tome 4 va nous révéler un plus grand secret ?

Un Chef-d'œuvre de Donato Carrisi

Donato Carrisi, maître du thriller psychologique, revient avec une œuvre captivante, "La Maison aux Lumières", confirmant une fois de plus sa place parmi les meilleurs auteurs du genre. À travers une histoire aussi fascinante que troublante, l'auteur plonge le lecteur dans un univers où le mystère et la psychologie des personnages prennent vie.

L'histoire se déroule dans une vieille bâtisse isolée en Toscane, où une fillette nommée Eva semble être possédée par des forces mystérieuses lors de phases de transe, obéissant aux ordres d'un ami imaginaire inquiétant. Lorsque la jeune fille au pair relate ces étranges événements à Pietro Gerber, hypnotiseur renommé pour enfants et protagoniste de "L'Endormeur d'Enfants", une nouvelle intrigue complexe et envoûtante se dessine.

Donato Carrisi excelle dans la création de personnages profondément humains, et ici, il nous offre une plongée fascinante dans l'âme troublée de Gerber. Le protagoniste, déjà présent dans des précédents ouvrages de l'auteur, réapparaît avec toutes ses failles et ses problèmes, offrant aux lecteurs une connexion plus profonde avec cet hypnotiseur tourmenté.

Le récit se dévoile comme un véritable "page-turner", impossible à lâcher une fois commencé. L'auteur maîtrise l'art de susciter la curiosité et d'entretenir le suspense, créant une tension palpable à chaque page. L'intrigue, habilement tissée, révèle petit à petit les secrets enfouis de Gerber, explorant sa mémoire et confrontant le lecteur à des révélations déchirantes.

L'auteur ne se contente pas d'offrir un simple thriller, mais plonge également dans les méandres de la psychologie humaine. Les personnages sont dépeints avec une profondeur qui les rend authentiques, et les émotions qui les traversent résonnent avec le lecteur bien après la fin du livre.

"La Maison aux Lumières" est un ajout indispensable à la collection de tout amateur de Donato Carrisi, mais également un excellent point de départ pour ceux qui découvrent son talent unique. Avec une écriture exceptionnelle et un sens du mystère aiguisé, Carrisi nous offre un voyage palpitant au cœur de l'obscurité de l'âme humaine. Ce livre est bien plus qu'un simple thriller ; c'est une expérience littéraire inoubliable.

D'entrée, Donato Carrisi nous invite à découvrir les règles d'un jeu qui a causé des dégâts dans la vie de Pietro Gerber dans sa jeunesse durant l'été 1997 : celui des statuettes de cire. Sa vie c'est comme arrêtée à cette période en raison de la disparition du petit Zeno qui était sous sa responsabilité et celle de ses amis d'enfance.

Jusque-là, on peut se dire que le récit débute tranquillement et sans encombre mais très vite, Pietro va se sentir piéger par la demande insistante de Maja, jeune fille au pair, d'aider une petite fille répondant au doux prénom d'Eva. Pourquoi tant d'insistance ? D'abord réticent, Pietro va finalement accepter de l'aider à cause d'un mot effrayant le concernant qu'elle a écrit dans une lettre mais il va vite déchanter. L'ami imaginaire d'Eva va ramener Pietro à ce sinistre passé de l'été 1997. C'est alors un flash-back particulièrement violent et déstabilisateur qui attend le personnage principal. Que sait Eva ? Comment le sait-elle ? Mystère et boule de gomme !

À partir de cet instant, Pietro va prendre de nombreux risques pour aider Eva, mais aussi égoïstement pour qu'il puisse creuser les circonstances de la disparition de Zeno, alors âgé de 5 ans en juillet 1997. Les éléments dévoilés par Eva durant les séances sont beaucoup trop proches du passé traumatisant de Pietro. Comme on peut parfois le dire, remuer le passé n'est jamais bon, car on ne sait pas ce qui nous attend à la fin.

Tout comme Pietro, j'ai eu, tout au long de la lecture de cette pépite, être menée en bateau par Donato Carrisi lui-même mais aussi par les personnages proches de Pietro, à savoir Maja et Eva. La petite fille est un défi majeur qui le pousse à affronter ses peurs et à confronter ses démons du passé. Et si Pietro était le pion d'un échiquier ?

À plusieurs reprises, j'ai eu le cerveau retourné dans tous les sens à m'imaginer je ne sais combien de scénarios et hypothèses sur la suite de l'intrigue tirée par les cheveux mais que nenni, tout ce que je pensais tombait à l'eau à chaque élément nouveau permettant d'arriver au bouquet final.

Une question a subsisté sur mes lèvres le temps de la lecture : Est-ce que Pietro Gerber va réussir à percer le mystère autour d'Eva et du jeu des statuettes de cire de l'été 1997 ?

Une chose est plus que certaine, Donato Carrisi, pour ce dernier volet de la trilogie autour de Pietro Gerber a su jouer avec mes nerfs JUSQU'AU BOUT.

Néanmoins, je reste sur ma faim quant au devenir d'Eva et sur le fantôme d'Hanna qui continue de suivre Pietro. Malgré cet aspect, c'est un excellent roman qui est meilleur que le second tome. Je me suis nettement moins ennuyée. C'est une lecture que je recommande si vous aimez les challenges et les retournements cérébraux !

J'ai fini "La maison aux lumières" il y a peu de temps et j'ai beaucoup apprécié ma lecture. Lu d'une traite encore une fois comme avec beaucoup d'autres livres de l'auteur. J'ai trouvé l'histoire très intéressante, j'ai aimé qu'on en sache un peu plus sur Pietro et sur son père.

Nous retrouvons notre Pietro Gerber, pas vraiment au mieux de sa forme après la débâcle de l'affaire de l'Affabulateur.

Une nouvelle patiente, pour une nouvelle enquête mêlant le passé de notre psychologue et le présent avec une enfant semblant parler aux morts.

Rien n'est ce qu'il paraît dans cette suite et c'est avec maestria que Donato Carrisi nous embarque en Toscane.

Comme d'habitude avec cet auteur l'Italie, avec son architecture, ses ruelles et sa gastronomie, est bien présente et nous immerge totalement dans son intrigue.

J'avoue avoir particulièrement adoré ce tome. Les certitudes de Pietro vacillent, il essaie tellement fort de démêler le vrai du faux. C'est vraiment un personnage auquel on s'attache facilement.

L'intrigue est très bien menée, sans temps mort, et je me suis délectée de voir la résolution de cette affaire pas simple du tout.

Une petite frustration tout de même car tout n'est pas résolu dans ce tome en plus du fil rouge d'Hanna Hall dont le spectre nous promet une suite tout aussi géniale !

Quel bonheur de retrouver cette saga avec Pietro Gerber, thérapeute et hypnotiseur d’enfants.

Contrairement à ce que j’ai lu dans d’autres posts, je déconseille de lire ce tome sans avoir lu les précédents. Il y a des éléments qui sont nécessaires pour comprendre Pietro et ses travers.

L’entrée en matière commence fort et je me suis même demandée si j’avais pas loupé un truc dans le tome précédent.

Notre protagoniste principal qui est au bout du bout, va s’occuper de la jeune Eva , une jeune fille habitée par l’esprit d’un ami imaginaire et dont les conditions de vie sont quelques particulières.

Comme les autres tomes de cette saga, l’histoire est addictive, j’ai eu du mal à lâcher le livre même si le schéma narratif ressemble étrangement au premier.

On retrouve aussi le fantôme de Monsieur B d’autant plus présent qu’on découvre une partie du passé de Pietro.

La manipulation est omniprésente. Nos trois cerveaux ont élaboré diverses hypothèses mais le plot twist a tout de même était surprenant.

Du grand talent de Carrisi malgré qu’il m’ait manqué un peu plus de lien et de continuité avec les personnages du tome 2 ainsi que des détails sur la suite de l’histoire d’Eva.

Mais j’ai grand espoir que j’aurai les réponses à toutes mes questions dans le quatrième opus.

Quelque chose me dit que la série consacrée à l’hypnothérapeute Pietro Gerber est loin d’être terminée. Je suis ravie d’avoir pu jusqu’à présent la suivre dans l’ordre, et La maison aux lumières, suite de La maison des voix et de La Maison sans souvenirs est sans conteste mon préféré. J’ai suivi avec passion ce thriller psychologique glaçant sans en perdre une miette!

Dans ce nouvel opus, Pietro Gerber est convié par une jeune fille pair à examiner le cas d’une fillette recluse dans une vieille bâtisse isolée de Toscane, qui souffre de l’influence négative d’un ami imaginaire… Réticent en raison du fiasco de sa précédente affaire, l’hypnotiseur accepte finalement de suivre la petite Eva dans ses élucubrations. Mais Pietro va découvrir que l’enfant lui livre des indices sur la disparition du petit Zeno Zanucci, un petit garçon qui s’est volatilisé lors d’une partie de cache-cache alors que Pietro était âgé de onze ans. L’affaire avait à l’époque traumatisé la bande d’amis avec laquelle il partageait ses vacances. Comment la petite fille peut-être être au courant de détails que Pietro n’a jamais révélé à personne? Parvient-elle à communiquer avec les morts ? Autant de questions fantasmagoriques qui vont obliger Pietro à une quête obsédante mêlant passé et présent, dans une ambiance sinistre et inquiétante.

Impossible de ne pas être saisi par l’atmosphère ténèbreuse du récit : je précise que j’ai écouté ce livre, de nouveau interprêté par Sylvain Agaësse qui réussit brillamment à nous envoûter. Un manoir isolé de Toscane, dans lequel vit recluse une petite fille agoraphobe, délaissée par ses propres parents qui visiblement la craignent comme le Diable. Une gouvernante aigrie dont l’ombre erre dans les couloirs et une jeune fille au pair d’origine suédoise qui est la seule à s’inquiéter du sort de l’enfant. Lorsque Pietro débarque pour sa première consultation, il ressent l’atmosphère étrange du lieu et l’aura inquiétante qui émane de l’enfant. D’étranges phénomènes ne tardent pas à apparaître et l’on oscille vite entre paranormal et drame psychologique, Pietro n’ayant de cesse de se replonger dans son enfance traumatisée. On hésite donc entre un aspect fantastique et la manipulation mentale, lequel des deux l’emporte, je ne vous le dirai pas, mais je vous conseille fortement ce thriller implacable!