L'Inspecteur Harry Hole, Tome 1 : L'Homme chauve-souris

Je n'ai pas terminé ce livre .... Ce qui en dit long sur "l'addictivité" et le "suspense".

Un régal de lecture !

Mêler un inspecteur norvégien à une enquête en Australie tout en gardant l'esprit des polars nordiques? L'idée est séduisante et la confrontation des deux cultures est plutôt réussie. Malgré cela, j'ai trouvé le style lourd, pesant, je me sentais presque aussi alcoolique que l'inspecteur Harry durant les bons deux premiers tiers de ma lecture et même si le récit prend de la vigueur et un bon rythme pour le dernier tiers, j'ai eu du mal à sortir de la torpeur dans laquelle j'étais plongée lors des 300 premières pages.

Harry Hole, un flic alcoolique en rémission depuis qu'il a tué son équipier dans un accident de voiture, est envoyé en Australie pour assure la liaison avec la police locale qui enquête sur le meurtre d'une jeune norvégienne. La jeune femme a été retrouvée violée et étranglée, et jetée en bas d'une falaise.

Une enquête qui va se révéler plus complexe qu'il n'y paraît de prime abord, et qui dans le récit est reléguée au second plan. En effet l'auteur s'attache plus à planter le décor avec une présentation de l'Australie, des facettes de Sydney avec la drogue et la prostitution, ainsi que d'autres traits typiques de cette société : quartiers gays, et la cohabitation entre les blancs et les aborigènes.

L'alternance entre les descriptions, l'action et l'enquête peine à maintenir l'attention du lecteur sur l'intrigue tellement l'on a droit à de nombreuses longueurs qui marque des pauses trop longues pour que l'on se souvienne des indices et des éléments pour la partie policière du récit.

Au départ du récit le personnage d'Harry Hole est intéressant à suivre présentant une image de trentenaires jovial mais rapidement il sombre dans l'alcool ce qui finit par rebuter le lecteur.

Un avis plutôt mitigé qui malgré une enquête complexe n'a pas réussi à convaincre le lecteur noyé dans le flot d'informations, et qui ne donne pas envie de lire les autres romans de la série.

un excellent premier tome pour découvrir l’inspecteur Harry Hole. J’ai adoré que la précision de la narration et de la réflexion dépende de l’état du personnage, on ressent bien l’évolution psychologique de cette manière. La fin est haletante après un démarrage un peu lent, c’est un rythme évolutif qui aide à se mettre dans le bain. Une très bonne lecture

L'inspecteur Harry Hole s'en va pour l'Australie.

C'est la deuxième fois je je tentais de lire ce livre et résultat... Pourquoi avoir attendu! La première fois au bout de quelques pages je me suis dit que ça avait long et barbant, grossière erreur.

J'ai découvert un thriller palpitant, l'écriture est fluide et pleines de références historique sur l'Australie. Il ne s'agit pas ici d'une simple enquête qui va à 200 à l'heure, mais d'une plonger dans un pays et son histoire, sa culture. J'ai beaucoup apprécier ce côté là de la lecture, à mon grand étonnement.

Les personnages sont intéressant, particulièrement le protagoniste principal, ce cher Harry Hole ou "Holy", c'est un homme qui traine ses valises derrière lui, qui combat autant ses démons que les criminels.

L'auteur nous dépeint son esprit malmené, ses hauts et ses bas, des choses qui, d'habitude aurait tendance à m'ennuyer (je le un thriller/ polar pour l'enquête et non pas pour l'histoire d'un homme) pourtant ça marche, on s'attache beaucoup à cet homme tourmenté que la vie n'a pas épargné.

L'enquête en elle même n'est pas des plus extraordinaire, rien qui fait sauter au plafond, je dirais même qu'elle se trouve en quelque sorte au second plan.

Cependant l'intrigue est intéressante, quelques rebondissements qui permettent de se poser des questions sur l'assassin.

Un petit détail (peut être sans importance) mais j'ai beaucoup aimé les titres de chaque chapitre.

Premier Roman que je lis de cet Auteur et je suis un peu dubitative.

J ai trouvé que le début commençais plutot bien une bonne intrigue et inspecteur sympatique bref tout pour me plaire.

Mais au fur et a mesure de ma lecture j ai trouver que cela n avançais pas que c'étais un peu mou et le fait que Harry retombe dans ses travers m as exaspéré au plus au point

Un polar très prenant et une enquête complexe pour Harry Hole, notre inspecteur fraîchement débarqué d Oslo en Australie pour résoudre le meurtre d une jeune Norvégienne.

Jo Nesbø excelle dans son écriture efficace et rythmée. De plus, il enrichit l intrigue de culture australienne très intéressante et qui aide à s imprégner de l univers des personnages.

L auteur met ainsi en exergue le clivage entre les aborigènes et les australiens, une force dans un polar qui porte un message fort.

Avec un héros aux forces et aux faiblesses assumées, Jo Nesbø promet de belles lectures à venir aux côtés de Harry Hole!

Les polars, c'est assez récent pour moi.

C'est mon père qui me conseille dans le grand océan des livres existants.

J'ai beaucoup aimé celui-ci. Pas, et c'est peut-être un comble, pour l'enquête en elle-même, finalement. Enfin, disons que ce n'est pas ce qui m'a le plus plu, bien qu'elle soit bien ficelée.

En fait, j'ai adoré les personnages, qui sont entiers, ont une personnalité très intéressante, sont attachants, et, finalement, me donnent envie de lire les autres Jo Nesbo.

J'ai aussi aimé les a-côtés, les légendes aborigènes, les petits récits presque historiques sur l'Australie, les descriptions qui font voyager.

Et, finalement, la plume de l'auteur est très agréable à lire.

L'Homme chauve-souris est mon premier Nesbo, et je n'en suis pas déçue. Excellent roman policier, j'ai passé un très bon moment aux côtés de Harry Hole, policier norvégien dont nous découvrons les failles et les blessures tout au long de cette enquête sur le meurtre d'une jeune Norvégienne aux antipodes, dans la ville de Sydney. Nous suivons ses réflexions, ses découvertes, éprouvons ses chagrins au rythme d'une intrigue pleine de rebondissements, alors même que nous pensions le roman terminé ou presque. J'ai hâte de retrouver l'inspecteur Harry Hole dans d'autres enquêtes. Et de l'ajouter à mon panthéon: Erlendur Sveinsson, Kurt Wallander et Jean-Baptiste Adamsberg.