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Ils sont venus sur terre – Pestilence, Guerre, Famine et Mort.
Chevauchant leurs effroyables destriers, les quatre cavaliers ont parcouru le globe, avec chacun le pouvoir d'anéantir l'humanité. Ils sont venus sur terre... pour nous éliminer tous.
Quand Pestilence se dirige vers sa ville, Sara Burn n'a qu'une seule certitude : tous ceux qu'elle connaît, tous ceux qu'elle aime, vont mourir. À moins, bien sûr, que le cavalier aux traits angéliques ne soit arrêté avant. Et c'est exactement ce qu'elle espère accomplir lorsqu'elle tire sur la créature démoniaque et la jette à bas de sa monture. Dommage que personne ne l'ait informée que Pestilence ne peut être tué. Le cavalier – bien vivant et extrêmement furieux – la retient maintenant prisonnière et a hâte de la voir souffrir. Pourtant, après des semaines passées à ses côtés, les sentiments qu'il éprouve pour elle, et ceux qu'elle ressent pour lui, deviennent de plus en plus confus. Sara a peut-être enfin l'opportunité de sauver le monde... mais son cœur, lui, a de fortes chances d'y rester.
— Pourquoi pas ? (Pestilence a l’air offensé.) Tu as honte de moi ?
— Hein ? (Il m’a perdue là. Je me tourne vers lui.) Tu sais qu’il est rare que les gens se…
Se marient pour si peu.
Sauf que beaucoup le font… Et ils se connaissent parfois moins bien que Pestilence et moi, et pour des raisons souvent moins nobles que « On a couché ensemble, tu es à moi désormais ».
Mais moi, Sara Burns, ai besoin d’un peu plus de motivation avant de me marier avec un foutu Cavalier de l’Apocalypse.
— Pourquoi veux-tu m’épouser ?
Je n’aurais jamais cru avoir un jour cette conversation.
— Tu t’es livrée à moi, comme je me suis livré à toi. Tu es tout entière à moi, par l’esprit, l’âme et la chair.
Oula… J’ai manifestement affaire à un messager de l’Ancien Testament. Pestilence s’attend probablement à ce que mon père lui cède aussi deux vaches et quatre chèvres.
Dire du mal d'un livre n'est pas ce que je préfère faire. Selon moi, chaque écrit mériterait d'être honoré pour toutes les heures de travail passées dessus. Je tiens à le préciser avant de commencer à donner mon avis. Malheureusement, je dois rester objective, et quand rien ne va, rien ne va.
La nouvelle saga « Les Quatre Cavaliers » de Laura Thalassa me faisait terriblement envie. Bien que je ne connaissais pas du tout l'auteure, l'histoire me semblait assez originale dans sa thématique, et j'avais relativement confiance en la maison d'édition. Autant dire que je me suis précipitée dessus sans avoir toute ma tête, et que le résultat final n'a pas été des plus glorieux.
Qu'est-ce qui ne va pas ?
Ce premier tome sur « Pestilence » m'a profondément ennuyé. Le premier chapitre n'était pas si mauvais, et je pensais sincèrement que l'histoire allait me passionner. Mais au fur et à mesure de ma lecture, j'ai réalisé que l'histoire n'avait rien d'accrocheur. Cette thématique sur les quatre cavaliers de l'Apocalypse était vraiment bien trouvée, mais je suis assez frustrée de m'en être complètement désintéressée. Son développement est malheureusement trop fade, avec trop de passages sans intérêts et parfois même redondants. Si je devais faire un résumé, je dirais juste que les personnages vont de maison en maison, après un trajet à cheval. L'histoire aurait pu être plus passionnante si elle n'avait pas manqué autant de rythme. Il n'y avait pas assez de rebondissements à mon goût.
Le deuxième problème que j'ai pu relever, c'est que l'histoire tourne seulement autour de Pestilence et de Sara. Nous n'avons pas de personnages secondaires pour les accompagner, si ce n'est des rencontres temporaires. Et en toute franchise, je n'ai accroché à aucun des personnages dont les réactions m'ont paru tellement surréalistes. La romance s'installe trop rapidement, et je n'arrive pas à comprendre comment Sara a pu tomber amoureuse d'un homme comme lui qui s'est comporté comme un monstre pendant la majorité de l'histoire. Il n'a preuve d'aucune pitié, autant dans son traitement que dans celui des autres. Je ne comprends pas non plus comment elle peut le défendre et même critiqué les tentatives de meurtre à son encontre alors qu'elle-même a tenté de l'assassiner. C'est un peu hypocrite de sa part. Et même si Pestilence se rattrape sur les derniers chapitres, impossible d'oublier son manque de compassion, sa cruauté et sa détermination à terminer sa tache. C'était beaucoup trop.
Je pense avoir fait le tour de ce que je pensais. C'est une déception, clairement. Je pense pas poursuivre cette saga dont le deuxième tome sera sur Guerre. Personnellement, je ne recommanderais pas ce livre mais je vous laisse vous faire votre propre décision sur le sujet. Ce qui ne me plait pas pas aussi vous plaire.
Honnêtement, je m'attendais à mieux en commençant ce roman.
D’autant plus que la couverture est superbe.
Mais malheureusement, à part le premier chapitre, je n'ai pas apprécié ce premier tome.
J'ai détesté le personnage de Pestilence. Il est beaucoup trop cruel et froid pour qu'on s'attache à lui. Si encore, on avait son point de vue, pour le comprendre un peu plus… Mais non.
Et vraiment, je ne comprends pas ce que Sara lui trouve. Il tue toutes les personnes qu'ils rencontrent, y compris les gens bien. C'est écœurant. Dotant plus quand Sara et lui n'hésitent pas à avoir des gestes tendres l'un envers l'autre alors que des gens sont en train d'agoniser dans la pièce d'à côté.
Quant à Sara, si je l'ai trouvé badass et attachante dans les premiers chapitres, j'ai vite déchanté. J'ai trouvé ses réactions incohérentes, voire aberrantes.
Pour ce qui est de l'histoire en elle-même, l'auteure ne s'est pas cassée la tête. À part chevaucher toute la journée et squatter des maisons, Pestilence et Sara ne font rien d'autre. C'est toujours la même chose. C'est long, c'est long ..
330 pages (version E-book), pour ça.
Non vraiment l'auteure ne m'a pas convaincu avec ce roman et je ne lirais pas la suite, ça, c'est sûr.
Bon, c'est pas le livre de l'année hein. Le pitch de départ est ultra séduisant, mais au final l'histoire est assez plate, les deux protagonistes ne font que chevaucher, squatter des baraques dont Pestilence défonce la porte à chaque fois, et éventuellement discuter un peu. Pas de persos secondaires qui restent assez longtemps pour qu'on s'y attache, pas vraiment d'action, tout repose finalement sur les changements progressifs et subtils dans la perception du monde de Pestilence. Mouais.
Une romance improbable avec comme toile de fond un univers post apocalyptique . Les hommes sont revenus au temps où les technologies ne fonctionnent plus , le monde a été plongé dans le chaos avec l'arrivée des cavaliers de l'apocalypse . Le premier Pestilence est aussi beau que terrifiant sans une once de pitié car son but est d'exterminer les hommes.
L'homme montre son pire visage à ce cavalier et ce n'est pas beau à voir .
La crédibilité de la romance laisse à désirer , mais à part ce fait les événements relatés pourraient être plausible . Je n'ai éprouvé aucune affinité avec Pestilence qui a été très dure avec Sara; que l'autrice est choisie un slow burn pour la romance me semble compréhensible . Au contact de Sara , le cavalier découvre aussi un autre visage de l'humanité qui peut être beau . Tout le long du récit, Pestilence s'humanise et remet en question ses croyances sur les hommes .Quant à Sara elle a apprend à connaitre et aimer ce cavalier , elle doit faire face aux horreurs commises par le cavalier et les hommes qui cherchent à survivre . J'aurai aimé que l'autrice explique les motivations pour lesquelles Dieu a envoyé les cavaliers en croisade car trop de zone d'ombres subsistent .
Malgré les qualités du récit , je n'éprouve pas le besoin de lire la suite de cette série .
J'ai apprécié l'ambiance post-apocalyptique de ce livre : les maisons abandonnées, l'infection qui ronge les humains, etc.
L'auteur a mis l'accent sur la nature humaine, dans qu'elle a de meilleure mais aussi de pire, et la généralisation qui peut parfois être faite de notre espèce. Elle explore les thèmes que sont le pardon, la rédemption, la culpabilité, la dualité aussi.
Seul petit bémol : j'ai apprécié la romance, je n'ai aucun problème avec le slow burn non plus, mais à un moment c'était vraiment l'élément central du livre. Heureusement ce passage fut court et les aventures se sont enchainées ensuite, donc tout va bien.
Ce livre est merveilleux de son concept à ses scènes déchirantes, le style survie, les personnage et mon dieu l'amour qui ce dégage de ce livre. Avec l'héroïne j'ai détesté et aimé Pestilence, je crois que c'est le génie de cette auteur. Chapeau une de mes meilleures lectures.
L’histoire est originale et basée sur des faits « bibliques » des 4 cavaliers de l’apocalypse.
Ici on suit Pestilence et Sara, une humaine qu’il a fait prisonnière après qu’elle ait tenté de le tuer.
Il la retient pour se venger et la faire souffrir mais… tout change… IL change.
Et c’est beau !
Tout se fait à un rythme parfait, petit pas par petit pas, à un rythme logique. Avec des rebondissements, des révélations et qui correspondent aux caractères des 2 protagonistes.
J’ai adoré.
La romance est bien développée, slow burn.
Je l’ai d’abord écouté en livre audio et je l’ai terminé sur papier après 60%.
L’épilogue amène le tome 2 ! J’ai hâte de le lire.
C'était si bien parti. Les premiers chapitres étaient addictifs. Je voulais la suite!
Et puis la suite est arrivée et je suis allée de déception en déception.
Pestilence traine Sara partout . A chaque fois, même rengaine, même traintrain quotidien. Sara a besoin d'une nounou pour manger, aller aux toilettes et... c'est tout? Ah ça elle y va aux toilettes, Je me pose la question de l'utilité de consacrer plusieurs pages par chapitre aux besoin naturels de notre mortelle mais soit.
Pestilence veut "la faire souffrir". Je n'ai pas trouvé que Sara souffrait tant que ça.
Pestilence est "trop beau", "trop sexy", "trop mortel". Mouais... Ce personnage manque de profondeur et d'originalité.
C'était long et ennuyeux. Dommage, l'idée de départ était bonne.
J'ai commencer ce livre sans aprioris, je voulais lire une bonne histoire et passé un bon moment… mon Dieu comme je me suis trompée.
Je viens de le finir et je reste dubitative, qu'elle était le but de l'auteure? Pourquoi?
Je respect les heures de travail passés, l'opinion ainsi que l'effort mais j'ai eu toute les peines du monde a le finir, j'était aussi sur ce maudit cheval, a aller de maisons en maisons, interminable…qu'es ce que je me suis ennuyer!
C'était long, plat, aucun moment cohérent ( pour moi), pour moi ce livre n'est pas abouti, l'idée est bonne, le déroulement, non.
Il manque beaucoup trop de choses qui l'aurait propulsé plus haut, déçu, je ne lirait pas la suite.
Quel agréable découverte ! J'avoue que je ne m'attendais pas à grand chose quand j'ai commencé ma lecture. Le résumé avait l'air sympa mais le schéma "ele est l'élue, elle va sauver l'humanité et le changer" et blablabla me faisait un peu peur. Et bien franchement même si y'a ce schéma ce n'est pas du tout à cela que je m'attendais. Les personnages sont vraiment intéressants dans le sens où ils savent tous les deux dans quoi ils s'embarquent mais la morale est toujours la derrière surtout concernant l'héroïne. Je dois dire qu'à plusieurs reprises je me suis dit qu'il n'y aurait pas de happy end mais si. Franchement, agréable surprise. J'espère juste que le tome suivant ne sera pas un copié collé de celui-ci se serait vraiment dommage. Ce livre nous fait voir toute la complexité de l'Homme, toute sa beauté mais également toutes la cruauté dont il fait preuve. Je tiens quand même à préciser que certaines scènes peuvent choquer les plus sensibles, c'est un récit de fin du monde quand même. En référence, je conseil ce roman. Ce n'est pas une pépite mais franchement c'est très agréable à lire, les pages défilent et on veut en savoir plus à chaque fin de chapitres. Je suis vraiment curieuse de voir comment sera le tome suivant.
Résumé
Ils sont venus sur terre – Pestilence, Guerre, Famine et Mort.
Chevauchant leurs effroyables destriers, les quatre cavaliers ont parcouru le globe, avec chacun le pouvoir d'anéantir l'humanité. Ils sont venus sur terre... pour nous éliminer tous.
Quand Pestilence se dirige vers sa ville, Sara Burn n'a qu'une seule certitude : tous ceux qu'elle connaît, tous ceux qu'elle aime, vont mourir. À moins, bien sûr, que le cavalier aux traits angéliques ne soit arrêté avant. Et c'est exactement ce qu'elle espère accomplir lorsqu'elle tire sur la créature démoniaque et la jette à bas de sa monture. Dommage que personne ne l'ait informée que Pestilence ne peut être tué. Le cavalier – bien vivant et extrêmement furieux – la retient maintenant prisonnière et a hâte de la voir souffrir. Pourtant, après des semaines passées à ses côtés, les sentiments qu'il éprouve pour elle, et ceux qu'elle ressent pour lui, deviennent de plus en plus confus. Sara a peut-être enfin l'opportunité de sauver le monde... mais son cœur, lui, a de fortes chances d'y rester.
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