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Chaque nuit, Karen faisait d'épouvantables cauchemars. Chaque matin, la tumeur qui déformait son cou était un peu plus grosse. Une tumeur inopérable qui laissait les médecins perplexes et qui bougeait imperceptiblement, comme s'il y avait eu quelque chose de vivant sous la peau.
Quelque créature diabolique qui ne rêvait que d'effroyables massacres. Pour Misquamacus, le vieux sorcier indien, l'heure était enfin venue de se venger de l'Homme blanc qui avait exterminé son peuple. Une revanche qu'il attendait et préparait depuis plusieurs siècles...
Ce ne sera pas une bonne semaine, je le crains. Pas une bonne semaine du tout. Lundi, vous aurez un accident. Oh ! rien de grave. Vous laisserez tomber quelque chose de lourd sur votre pied… mais ce sera douloureux. Cela vous empêchera de dormir dans la nuit de lundi. Le mardi, vous jouerez au bridge avec vos amis, comme d’habitude. Quelqu’un trichera au jeu, mais vous ne découvrirez pas qui. Aussi, jouez de petites sommes et ne prenez aucun risque. Mercredi, vous recevrez un appel téléphonique déplaisant, peut-être un appel obscène. Jeudi, vous mangerez un plat qui ne vous convient pas, et vous souhaiterez ne jamais l’avoir mangé. Mme Winconis me fixa de ses yeux gris et ternes. — Est-ce vraiment aussi mauvais que cela ? demanda-t-elle.
Ce n'est pas mon premier roman de Masterton, c'est un auteur prolifique dans ce genre et cette histoire est une référence. Je viens de le découvrir par ce premier volet. Il a été écrit en 1975 et il y a tout ce qu'il faut pour faire un très bon livre : une histoire qui tient debout, du suspense, une touche d'horreur et de la magie.
Un récit d'horreur convenu et malheureusement porté par des personnages jamais crédibles. Les situations sont souvent au niveau d'un mauvais téléfilm. Dommage, l'introduction était plutôt sympa jusqu'à ce que les personnages se greffent tous de façon ridicule au récit. Mon 3ème Masterton et ma 3ème déception, je crois que cet auteur n'est pas fait pour moi. Tant pis !
J'ai lu "le faiseur d'épouvante" en 1977, dans son édition française d'origine. Ce fut un choc! Une série B d'horreur inventive, pleine de rebondissements et dotée de personnages charismatiques. Comment ne pas aimer l'humour caustique d'Harry Erskine ni s'incliner devant la puissante sagesse de John Singing Rock quand ils tentent de s'opposer à un sorcier indien ivre de vengeance,vieux de 5 siècles et capable d'invoquer les pires démons du panthéon amérindien? Si vous ne connaissez pas, allez y sans hésiter!!! je cours le relire.
Mon tout premier Masterton ! Et le tout premier roman qui mettait en avant des scènes gores !! Un souvenir inoubliable qui fait que je suis devenue accro-masterton !!! Et lorsque un auteur nous passionne il faut admettre que l'on peut être enclin à lui pardonner certaines facilités ou parfois des oeuvres moyennes ! Il est dommage que ces dernières années on ne nous propose que des rééditions des romans de Masterton et rien de neuf à se mettre sous la dent !!! Je ronge mon frein !!!!
Ce premier volet n’etait pas ce à quoi je m’attendais mais bon et plein de promesses pour la suite. L’univers que l’auteur aborde dans ce livre m’a donné envie de continuer la saga.
C'est une très bonne histoire d'horreur qui possède ses scènes d'anthologies gore à ne pas mettre entre toutes les mains... Elle aurait pu être un peu plus ambitieuses néanmoins et souffre notamment d'une certaine unité de lieu et d'une certaine facilité dans le dénouement. Ce n'est pas si étonnant car c'est le roman est court et sans temps mort.
C'est également un hommage à Lovecraft et au mythe de Cthulhu (K'malah ici), et à sa nouvelle le Rodeur sur le seuil, comme indiqué par l'auteur dans sa postface.
L'édition que j'ai pu lire est assez originale car elle possède 2 fins. Masterton explique d'ailleurs lui même que c'est son éditeur qui lui a demandé de réécrire complètement les 2 derniers chapitres, sinon il ne publiait pas l'ouvrage !
Et curieusement ce n'est pas cette fin ré écrite que j'ai préféré, elle est un peu trop délirante, et surtout nullifie complètement une bonne idée de fond comme quoi Dévoiler le texte masqué. La fin originale est plus cohérente avec le reste de l'histoire.
En marge de l'histoire, j'y ai trouvé aussi un certain plaidoyer en faveur des natives americans (avec une mise en avant de leur culture et mythologie) mais reste lucide: SI l'un des personnages principaux 'mentionne qu'ils sont entrain de payer ce que les colons du XVIIième ont pu infliger aux indiens, un autre lui rappelle que s'il avait du tenir un fusil à cette époque face aux "sauvages" il s'en serait probablement servi.
Manitou est le premier roman de Masterton et à ce sujet, ça se voit, il y a quelques maladresses qu'on ne trouve pas dans ses autres romans, mais ces petits défauts donnent du charme. Le même charme que l'on trouve dans chaque bon premier roman.
Avec Manitou, à l'époque, Masterton a dû passer pour un possible grand auteur d'horreur en devenir. Ce qui l'est aujourd'hui. Dans ce premier volet, il y a tout ce que j'aime et le Grand Ancien n'est pas sans rappeler le Grand Cthulhu, d'ailleurs même s'il ne l'écrit pas, Masterton ne cache pas ici l'hommage détonnant à Lovecraft.
Du bon, même si certains passages manquent de profondeurs, mais faut-il rappeler que Masterton avait écrit ce roman en une semaine ?
Résumé
Chaque nuit, Karen faisait d'épouvantables cauchemars. Chaque matin, la tumeur qui déformait son cou était un peu plus grosse. Une tumeur inopérable qui laissait les médecins perplexes et qui bougeait imperceptiblement, comme s'il y avait eu quelque chose de vivant sous la peau.
Quelque créature diabolique qui ne rêvait que d'effroyables massacres. Pour Misquamacus, le vieux sorcier indien, l'heure était enfin venue de se venger de l'Homme blanc qui avait exterminé son peuple. Une revanche qu'il attendait et préparait depuis plusieurs siècles...
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