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Si votre portable sonne, surtout ne répondez plus. L'enfer est au bout de la ligne.
Un jour apparemment comme les autres. Dieu trône au paradis, le marché des changes est stable, les avions à peu près à l'heure et Clayton Riddell, un auteur de bandes dessinées, sur un petit nuage. Il vient de décrocher un contrat et l'avenir lui sourit. Mais en quelques secondes, tout bascule dans l'horreur. La cause ? Un phénomène de destruction déclenché par le téléphone portable. Tous les portables ... Et qui va plonger le monde dans le chaos, le carnage et les ténèbres.
Ce que Darwin a été trop poli pour dire, mes amis, c'est que nous sommes parvenus à régner sur la terre non parce que nous étions les plus malins, ou les plus méchants, mais parce que nous avons toujours été les plus déments, les plus grands enfoirés meurtriers de toute la jungle.
En fait, ça m'a fait pensé à du Roméro stéphenkingisé. Bien que ça parle de sortes de zombies (au début), on glisse rapidement vers une intrigue typique de SK ; un truc énorme et plus profond et important qu'une simple résurrection. Cette construction petit à petit de l'entité unique par mise en commun d'éléments reprogrammés... Je trouve l'idée originale en tout cas. Bien sur, ce n'est pas, et de loin, le meilleur SK que j'ai lu, et la fin me laisse un peu sur ma... faim. Mais j'ai néanmoins apprécié ; on retrouve le style et la narration de l'auteur comme ailleurs. C'est un plaisir, sans être une révélation.
J'adore tout simplement. Stephen King écrit sans la moindre retenue. L'intrigue est excellente et l'histoire remet vraiment en cause la nature humaine. Certains passages sont génants, dérangeants. On se sent parfois très mal à l'aise et on adore ça. L'un des premiers livres que je lis de cet auteur, mais certainement pas le dernier.
Clayton Ridell, un auteur de bande dessinée sur le point de vendre son travail à un éditeur de Boston, se trouve pris en plein milieu d'une scène de démence totale quand, dans la rue autour de lui, des personnes utilisant un téléphone portable où se trouvant à proximité deviennent brusquement des êtres sanguinaires massacre en tout être vivant se trouvant sur leur passage.
Au milieu de tout ce chaos, Clayton rencontre deux autres survivants, Tom McCourt et Alice Maxwell, une adolescente dont la mère a été tué sous ses yeux.
Tout droit s'échappe de Boston et se mettre en route pour le Maine, boucler espère retrouver son fils Johnny, dont il a quitté la mère.
Au cours de leur périple , ils font diverses rencontres et réunissent peu à peu des informations sur le comportement des gens atteints par le phénomène, bientôt connu sous le nom "d'impulsion", et qu'il surnomment "phoniste "ou "siphonnés". Ceci tente à se regrouper en bandes, dont l'activité est uniquement diurne, il semble développer entre eux un lien télépathique, alors qu'il se rassemble la nuit pour écouter en boucle des enregistrements de musique sirupeuse dans de vastes espaces découverts .
Alors qu'ils sont dans le New Hampshire, ils arrivent dans une école militaire, la Gaiten académie, ils font la connaissance de ces deux seuls survivants, le directeur Charles Ardai et Jordan, un élève qui leur explique sa théorie selon laquelle l'impulsion est semblable à un virus informatique destiné à reprogrammer le comportement des êtres humains.
À l'aide d'un camion-citerne tous les 5 massacres pendant la nuit tout un troupeau de phonistes.
Mais les autres fournistes ne vont pas du tout apprécié et le représailles vont tomber.
Et parmi l'un d'eux on va dire que c'est un peu le chef des phonistes surnommé le dépenailler.
Ils vont être obligé de se rendre à Kashwak dans le Maine.
Et ils vont pousser le proviseur Ardai au suicide.
Le dépannaillé va marquer le groupe comment tout ça pour les autres et quand Alice est tué par d'autres survivants, il se livre sur eux à une horrible vengeance.
Clay son ex-femme qui a été zombifié on va dire.
Il apprend que son fils Johnny est également en route pour Kashwak.
Où les phonistes semble vouloir rassembler tous les éléments normaux.
Clay, Tom et Jordan rencontre un autre groupe de survivants obligé de se rendre à Kashwak et l'un d'eux, Ray Huizenga avant de se suicider remet à clé un téléphone portable et un numéro de téléphone, en lui en jouant d'en faire bon usage.
Alors j'ai beaucoup aimé voir gelé sur kiffer ce ce roman par contre la fin on en parle il retrouve son fils et ça finit comme ça sans compter que on sait pas s'il va revoir Jordan et Tom.
C'est une super lecture mais j'aurais aimé que la fin soit différente.
Je n’ai pas été très embarquée dans cette histoire… je suis pourtant fan des œuvres de cet auteur mais je n’y ai pas retrouvé cette accroche dans la narration ou dans la psychologie des personnages. Même au niveau du scénario, les motivations des phonistes me paraissent un peu bancales. Cette histoire, par sa qualité, me fait plutôt l’effet d’une nouvelle qui aurait dégénérée en roman court. Cela ne m’a pas empêché d’aller au bout de ma lecture mais sans empressement non plus.
Au risque de me montrer dure avec l auteur unanimement reconnu et célèbre dans le monde entier : je n' ai pas apprécié la lecture.
Le point positif reste le scénario, j ai peu lu de livre sur les zombies, et j ai apprécié le côté inédit du scénario.
Mais alors les personnages... Plus creux et vides qu'une paille. On ne s'attache a aucuns d'eux, et pourtant il y en a !
Ce n' est pas un livre d horreur ou de suspense, mais juste gore a mon idée. Et les réactions des personnages sur ce monde gore sont incompréhensibles,
grotesques, voir stupides...
Clayton Riddell, un auteur de bandes dessinées, vient de signer un contrat chez un éditeur de Boston. Il est impatient d’annoncer la nouvelle à son fils John et à Sharon, sa femme avec qui il traverse une mauvaise passe… Tous deux sont restés dans le Maine. Ce contrat va mettre du beurre dans les épinards et sera le commencement pour eux d’un avenir meilleur. Mais alors qu’il sort de la maison d’édition, des évènements horribles se succèdent, les passants deviennent fous et s’agressent les uns les autres sans raison. Des scènes d’horreur animent les rues de la ville. En observant comme nul autre son environnement, Clayton devine qu’un mystérieux virus semble se propager d’un individu à l’autre par le biais des téléphones portables, transformant chaque être humain porteur de l’appareil en zombie sanguinaire. En dépit de la situation catastrophique, Clayton décide de remonter dans le Maine pour retrouver sa famille, encadré de Tom McCourt et de la jeune Alice Maxwell, ses compagnons de route rencontrés au coeur du chaos. Si les phonistes (personnes ayant subi la transformation) reprennent progressivement une attitude à priori inoffensive, le combat entre le bien et le mal est inévitable.
Et Stephen King recréa l’enfer sur terre… Ce livre date de 2006, à l’époque l’auteur n’avait pas encore cédé à l’utilité du téléphone portable (je doute que ce soit encore le cas aujourd’hui), et en réaction à l’invasion massive de cet objet connecté, il imagina le scénario suivant : un signal venu d’on ne sait où se diffuse par les téléphones portables et transforme la population en monstres sanguinaires. Ce phénomène baptisé « Impulsion » par les protagonistes n’a pas d’origine précise et on pourrait symboliquement l’interprêter comme étant l’expression d’une inquiétude face à l’utilisation devenue massive de cet objet connecté, plus que comme une marque de rejet de cette technologie nouvelle. Stephen King donne à réfléchir sur le recul qu’il est bon d’avoir face à l’usage massif et parfois déraisonné d’objets que l’on pourrait un jour ne plus maitriser. Comme tout phénomène de masse il est bon d’avoir une certaine réflexion à son sujet, on est plus que jamais concerné aujourd’hui par la montée en puissance de l’intelligence artificielle qui soulève de nombreuses questions et inquiétudes. Ce qui m’a le plus marqué sont les passages où les « phonistes » décident de parquer les êtres normaux pour ensuite les éliminer… Cela rappelle les camps de la mort et l’impitoyable régime nazi… S’il est loin d’atteindre la profondeur du Fléau, ce roman est un concentré d’horreur dans la plus pure tradition de Stephen King: des scènes de carnage répétées tout au long du périple des protagonistes sans pour autant tomber dans le gore, mais elles ont suffisamment d’impact pour marquer durablement. Je ne suis pas fan du tout des films ou séries à base de zombies et autres dérivés fantastiques, mais l’écriture de Stephen King l’emporte une nouvelle fois sur mes a priori, et c’est encore une fois à regret que je quitte ces personnages attachants, abandonnés là dans une fin assez abrupt mais pleine d’espoir car je m’attendais à une explication finale sur l’origine de l’Impulsion… Je ne peux que me contenter de mon imagination… Je n’ai jamais vu l’adaptation cinématographique et je ne cherche d’ailleurs pas à la voir car d’avis général le film est un fiasco.
Un bon livre. Ce n’est pas le meilleur de l’auteur, mais on retrouve malgré tout son art.
Je pense que j’ai eu du mal à aborder ce livre de la même manière que les autres dû au fait qu’on se retrouve dans The Walking Dead. Dans le style horreur de l’auteur, je trouve qu’il nous a habitué à plus de fantasy. Le thème des zombies reste bateau et un peu cliché.
Ce qui sauve l’intérêt du livre, reste la plume de l’auteur. Sa façon de narrer l’histoire et de la rendre tangible. On s’identifie très vite aux différents personnages et leurs personnalités sont toutes très bien développées.
La fin du livre nous permet de visualiser une fin qui nous serait propre, définie par notre ressenti durant notre lecture. La fin sera-t-elle optimiste ou non.
J'ai très très peu lu de Stephen King pour le moment, mais j'avais beaucoup aimé "Marche ou Crève" (qui est le tout premier roman que j'ai lu de Stephen King) et "Carrie" qui était très chouette aussi. Dès que j'en finis un, j'en rachète quasiment un aussitôt pour toujours avoir un King dans ma PAL quand j'ai envie d'en lire un sur le moment.
Cellulaire était donc dans ma PAL depuis avril 2022 et ayant du mal avec la SFFF en ce moment, je me suis dit que j'allais complètement changer de genre et donc me lancer dans ce roman.
Le résumé donnait super envie avec cette histoire de téléphone et d'enfer qui arrive si tu réponds à l'appel. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de longueur pour des descriptions souvent assez inutile. Et à l'inverse l'histoire avance trop vite par moment. Et il m'est arrivé d'être un peu perdu aussi dans l'histoire et de ne pas savoir qui parle à qui.
Mais l'ambiance du roman était vraiment chouette, je me suis assez vite attaché à notre petit groupe de personnage, qui essaye de s'en sortir comme ils peuvent. Au final, c'était une lecture sympa, mais sans plus.
J'ai regardé les différents avis après avoir fini ma lecture et il s'avère que Cellulaire n'a pas tellement plu...
Ce n'est pas du tout mon préféré sur les 3 que j'ai pu lire mais en tout cas, je vais continuer à découvrir Stephen King car j'aime beaucoup ses univers et sa plume.
Un bon Stephen King, même si ce n'est pas mon préféré. L'histoire, même si elle semble au départ plutôt basique et lue et relue (encore des zombies !), s'approfondit et amène une réflexion sur les nouvelles technologies et les dérives possibles, ainsi que sur l'espèce humaine, ses relations sociales, sa fragilité...
Je me suis laissé facilement embarqué dans ce récit.
L’histoire est rudement bien menée.
La fin est une fin de Stephen King avec un soupçon d’espoir.
Malgré tout, je n’aurais pas peur de répondre au téléphone, le monde est devenu si bizarre que plus rien ne me surprend… Et puis les zombies ne sont pas si demeurés que ça… Enfin, d’après Stephen king !
Je vous laisse découvrir ce roman, si ce n’est déjà fait !
Cellulaire met en scène une humanité ravagée par un signal téléphonique, qui transforme quiconque décroche son portable en zombie fou furieux assoiffé de sang. Clayton Riddell, auteur de bandes dessinées, se trouve à Boston lorsque l'apocalypse se déchaîne. Loin de son fils, qui vient de recevoir un nouveau téléphone, Clayton devra traverser la grande métropole en compagnie d'autres survivants, tout en évitant les "siphonés", afin de sauver son enfant avant que celui-ci ne décroche...
De par son synopsis, et pendant toute ma lecture, ce roman m'a évoqué "Le Fléau", autre roman de Stephen King et chef-d'oeuvre littéraire. Plus compact que le cale-porte qu'est le Fléau, Cellulaire ne m'a pas autant marqué que celui-ci.
Ne vous y trompez pas, j'ai bien aimé ce livre et le mets volontiers en bronze, mais globalement, je me suis moins attaché aux personnages de Cellulaire qu'à ceux du Fléau, même si je me suis retrouvé à bien aimer les deux premiers compagnons d'infortune de Clayton : Tom et Alice, "comic relief" émotif mais plein de ressources pour l'un, et adolescente qui encaisse le cataclysme tant bien que mal pour l'autre.
Les siphonés représentent une bonne menace, différente de la super-grippe du Fléau. Au fur et à mesure que j'avançais dans ma lecture, je les trouvais, d'une certaine manière, comiques de façon horrifique dans leur comportement et leur mode opératoire Spoiler(cliquez pour révéler)(comme lorsqu'ils envoient des signaux pour inviter les gens normaux à faire la queue pour décrocher des téléphones), mais je n'ai jamais ressenti la même sensation de désespoir que me procurait le Fléau. Les siphonés ne m'ont pas paru aussi sinistres que les antagonistes du Fléau, bien que ce fût l'intention de l'auteur de les rendre violents et "différents" plutôt que vicieux.
Un mot sur la fin : Spoiler(cliquez pour révéler)même si je l'ai trouvée un poil rapide, elle était tout de même moins capillotractée que celle du Fléau... Si vous avez lu les deux, vous saurez de quoi je parle.
Globalement, Cellulaire est un bon roman, une aventure bien apocalyptique, mais qui a le malheur de co-exister avec des mastodontes du même auteur.
J'ai bien aimé ce livre de Stephen KING mais si cela n'est pas mon préféré.
Nous plongeons directement dans le coeur de l'action. Clay est vraiment attachant, sa bienveillance, son objectif de trouver sa famille mais en même temps il veut mettre en sécurité ses compagnons de fortune.
Par contre , je trouve que l'on manque d'explication sur la raison de la transformation en zombie et la fin laisse la totalité du suspense vu qu'elle est ouverte !
Résumé
Si votre portable sonne, surtout ne répondez plus. L'enfer est au bout de la ligne.
Un jour apparemment comme les autres. Dieu trône au paradis, le marché des changes est stable, les avions à peu près à l'heure et Clayton Riddell, un auteur de bandes dessinées, sur un petit nuage. Il vient de décrocher un contrat et l'avenir lui sourit. Mais en quelques secondes, tout bascule dans l'horreur. La cause ? Un phénomène de destruction déclenché par le téléphone portable. Tous les portables ... Et qui va plonger le monde dans le chaos, le carnage et les ténèbres.
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