Mers mortes

je remercie cette autrice. J'ai peut-être eu un peu de mal à démarrer les tous premiers chapitres. Mais ensuite je lâchais plus le livre et je voulez toujours savoir la suite. Puis personnellement, si un de mes livres français doit être adapté au ciné. Je verrais bien celui là et même les studios français peuvent avoir les moyens technique et financier pour le faire. Et il serais comme les films américain et aurait aucun mal à se vendre à l'étranger

Un roman juste parfait une empreinte de poésie et de hymne a la joie son côté sombre mais sensible nous livre ces plus beaux atouts juste parfait

Je ne m'attendais pas à grand chose (car je n'aime pas lire les résumés), mais je ne m'attendais pas à cela et suis surprise de cette lecture. La lecture est fluide, l'histoire se met doucement en place et surtout on comprend petit à petit comment le monde a pu devenir dans cet état là. Oural évolue petit à petit au fur et à mesure de l'histoire. On apprend à connaitre les autres personnages et notamment les membres de l'équipage auxquels on s'attache au cours de la lecture. J'ai moins aimé la seconde partie. L'arrivée dans la ville aux nombreuses aventures, la manière dont les héros s'en sortent et la fin de la quête. Je ne sais pas ... Je ne m'attendais peut être pas à cela en débutant mon livre. Pour autant, j'ai apprécié de manière générale ce livre. Ce monde post-apocalyptique montre très bien ce que le monde pourrait devenir si on ne fait pas attention à notre Terre maintenant.

Je suis un peu déçue par ce roman. J'ai trouvé l'écriture et les personnages un peu juvénile, on nous dit trop ce qu'il pense sans rien faire passer par leurs actes...

J'ai bien aimé l'univers décrit et le l'histoire, mais du coup je n'ai réussi à apprécier aucun des personnages. J'ai tout de même apprécié ma lecture, mais j'ai peur qu'il ne me laisse aucun souvenir particulier.

Un roman étrange et envoûtant, qui se lit comme un rêve ou un cauchemar éveillé. Le message envoyé par l'auteur est percutant et parfaitement clair et comme il se doit, les humains ont le mauvais rôle et sont entièrement responsables de ce qu'ils infligent à autrui. A nous lecteurs, si cette histoire nous a touché, d'essayer de faire bouger les choses, pas simple mais cela vaut la peine d'essayer ! Les personnages principaux, à défaut d'être attachants, sont suffisamment intrigants et mystérieux pour qu'on s'y intéresse. Une mention spéciale à Trellia la dauphine, qui est pour moi la véritable héroïne du livre et comme Oural, on est prêt à tout pour la sauver !

J'ai adoré cette histoire qui, en dehors de son côté fantastique, nous assène des vérités bien senties : la sur-pêche, la pollution, le massacre des animaux pour le plaisir ou pour le commerce, le réchauffementclimatique. .. qui nous emmènent lentement mais sûrement vers l'anéantissement du monde tel que nous le connaissons. Alors oui, effectivement, ce n'est pas très gai mais que ça nous vous empêche surtout pas de découvrir ce livre, après tout on est dans un roman post-apo donc forcément il y a une part d'ombre.

Les descriptions des marées fantômes et des animaux marins qui les peuplent sont très bien faites et font froid dans le dos, tout comme leur souffrance que nous ressentons à travers les cauchemars d'Oural.

J'ai apprécié Oural et ses sentiments ambivalent pour Bengale. Bengale est plus difficile à apprécier. C'est un personnage tout en nuance, hanté par ses démons, prêt à tout pour mener à bien la mission qu'il s'est fixé.

Une belle histoire émouvante et terrifiante que je vous invite à découvrir.

Ce roman post-apocalyptique m'a beaucoup plu, et il amène de façon assez abrupte à la réflexion.

L'histoire se déroule dans un futur où les mers et les océans sont morts, ainsi que toute la faune et la flore qui les peuplaient. À cause de la pollution, du réchauffement climatique, de la surpêche, quelques rescapés vivent dans un monde aride et désert. En plus de ça, ils doivent subir les marées fantômes, où les animaux morts viennent arracher les âmes des derniers humains survivants en guise de vengeance. Oural, un exorciste, est chargé de protéger le groupe dont il a la charge en créant un bouclier protecteur contre ces marées. Tout se passe pour le mieux jusqu'à ce qu'un vaisseau fantôme apparaisse, avec à son bord Bengale, un capitaine venu kidnapper Oural…

J'ai beaucoup aimé cette histoire, qui parle d'écologie, des conséquences dramatiques qui découleront à long terme de nos modes de vies d'aujourd'hui (en étant romancées bien sûr, mais ça amène à réfléchir). Les passages avec les marées fantômes étaient tellement bien décrites que c'en était parfois assez terrifiant. L'ensemble de l'histoire tient bien la route, j'ai eu un peu de mal quand même à m'attacher aux personnages, ce qui est un peu dommage… j'ai trouvé le personnage de Bengale assez plat, l'auteure a voulu faire le lui le mec un peu compliqué, incompris, alors que ce n'était pas la peine…

À part ça, c'est un roman que je relirai avec plaisir.

Ce livre est dans ma PAL depuis un bout de temps et c'était le bon moment pour moi de le lire enfin. Et j'ai pris une claque monumentale, tout est excellent dans ce roman. Que ce soit l'intrigue, les personnages, la plume de l'autrice et les nombreux rebondissements. Le seul point où j'aurai quelque chose à dire pour chipoter, c'est la fin, mais c'est purement personnel.

L'intrigue est très originale, certes, nous sommes dans un monde dystopique où les océans ont disparu, ce qui apparaît souvent, néanmoins l'idée de vengeance des animaux marins est excellente. Non seulement nous avons de l'action grâce aux marées et elles apportent aussi beaucoup de questions. Les rebondissements s'enchaînent tout comme les révélations qui sont surprenantes, moi qui devine tout habituellement, je suis restée sur les fesses.

Pour la plume de l'autrice, j'étais déjà convaincue avant de lire le roman puisque j'ai déjà lu deux autres de ses one-shot. La fluidité de la plume, le talent d'Aurélie Wellenstein à nous immerger dans l'histoire, à nous faire passer par toutes les émotions permet de plonger à cœur ouvert dans cette histoire. Les thématiques qu'elle aborde reflètent malheureusement le monde actuel et peut-être très dur à lire, mais c'est tellement nécessaire aussi.

Les personnages portent le récit et entraînent des questions sur la notion de bien et de mal, sur les actions que l'on ferait ou non si l'être humain se retrouvait dans pareilles situations. On assiste à des changements chez certains personnages, aucun d'eux n'est manichéen comme c'est souvent le cas chez Aurélie Wellenstein. Oural, Bengale et le reste de l'équipage des pirates est vraiment profond que j'aurai aimé tellement de pages en plus dans cette histoire.

En somme, encore une histoire rondement menée procurant des émotions profondes avec un fort attachement aux personnages.

La terre a vécu un cataclysme écologique. Les mers n’existent plus, et reviennent sous forme de marées fantômes. Avec des animaux fantômes qui volent les âmes humaines.

Oural est un exorciste, il a le pouvoir de sentir et voir les marées arriver. Ce qui lui permet de protéger les derniers humains qui vivent avec lui. Jusqu'au jour ou il est enlevé par Bengale, un pirate qui s'est donné pour mission de faire revenir les océans.

Jusque là je trouvais l'histoire prenante, le thème était intéressant. Et puis j'ai décroché. Je ne suis pas arrivé à apprécier Bengale. J'ai eu du mal à le finir. Une fin qui, je me suis demandée, comment on en arrive là. Ce livre est super bien noté, alors c'est peut-être moi ;)

Je cherchais des romans à la portée écologique et on m'a conseillé Mers mortes. J'ai beaucoup aimé l'univers de ce roman, le plaidoyer pour la protection des mers et des animaux et les descriptions des paysages désolés après la catastrophe écologique. J'ai trouvé l'idée très bien trouvée et le déroulement des actions dynamique.

L'écriture est belle, mais j'ai été plus sceptique devant les dialogues, que j'ai trouvé un peu lourds. C'est aussi parce que j'ai plus l'habitude des passages descriptifs/contemplatifs et que je me lasse vite si je trouve que le dialogue n'apporte rien de nécessaire à l'intrigue. J'ai trouvé que l'exposition dans le premier chapitre était trop lourde, avec beaucoup d'informations données dès le départ alors qu'elles auraient pu être distillées plus subtilement au fil du récit. Ces détails mis à part, Mers mortes reste un roman original et à la thématique forte, que je recommanderai avec plaisir.