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À Parme, l'ombre de la chartreuse s'étend sur la cour et sur les intrigues aristocratiques.
Gina la belle duchesse, le comte Mosca, mais surtout le jeune Fabrice del Dongo, qui suscite l'amour de tous ceux qui le croisent.
Comment ne pas l'aimer, ce jeune rêveur plein de grâce, qui transfigure la réalité ?
Mais lui, que tout le monde aime, qui saura-t-il aimer ? C'est la question qui hante Fabrice, et Stendhal nous entraîne dans sa quête, qui le conduira de Milan à Parme, de Waterloo au lac de Côme, jusqu'à la prison de la tour Farnèse où son destin va basculer...
La présence du danger donne du génie à l’homme raisonnable, elle le met, pour ainsi dire, au-dessus de lui-même ; à l’homme d’imagination elle inspire des romans, hardis il est vrai, mais souvent absurdes.
La Chartreuse de Parme est pour moi un chef d’œuvre du romantisme. L’histoire quoi qu’un peu lente à se mettre en place va crescendo dans l’addiction qu’elle procure.
Sur font historique Stendhal nous fait voyager de Waterloo, à Milan, de Milan à Parme, de ses palais à sa prison. Tout au long du récit, on ressent la passion de l’auteur pour l’Italie qu’il arrive à nous faire aimer. Je me suis pris à rêver y voyager.
Histoire de vengeance, d’inceste, de tyrannie, Fabrice, dépassé par le monde qui l’entoure évolue comme un fantôme dans la société Italienne du XIXe siècle.
Au file des pages, je me suis de plus en plus attaché à ce personnage (une peu anti-héros). Fabrice est un être candide et très sensible émotionnellement. C’est un enfant gâté mais sincère. Il est aussi indécis puisque après avoir voulu entrer dans la carrière militaire, il décide de s’engager dans les ordres. Mais ce qui fait son malheur, se sont toutes ses nobles femmes de la cour de Parme qui sont éprises de sa personne. Elles sont toutes prêtes à l’aimer et à tout lui offrir pour en être aimer. C’est sans compter sur l’incapacité de Fabrice à aimer. Il pense que son cœur est sec, mort et incapable d’éprouvé un sentiment d’amour, un sentiment de désir pour une femme.
Jusqu’au jour où « cette folie sublime » comme il l’appelle s’empare de son cœur et de ses sens. Cette révolution intérieur intervient après avoir vu Célia à travers les barreau de sa prison. Les élans d’amour de Fabrice pour Célia sont alors profondément attendrissant. Je dois même avouer que son désespoir, à sa sortie de prison m’a pris le cœur et a fait briller mes yeux.
Fatalement, l’issu de cette course au bonheur est tragique, bouleversant. Mais je vous invite à le découvrir par vous même…
Un dernier mot sur le style de Stendhal. Légère, tintée de moquerie et d’ironie savamment distillée, la lecture de la chartreuse de Parme a été pour moi,jouissive. Souvent les personnages, les actions, les paysages sont à peine esquissées ce qui m’a laissé une grande liberté de songes. On peut également en être perdu mais c’est aussi le charme du roman : ses sauts dans le temps, cette narration pleine d’allusion, ses changements de points de vues et le fatras des thèmes.
Une œuvre littéraire classique que j'ai lue pour sa richesse de vocabulaire. J'ai apprécié le feu de Fabrice dans un monde où l'oisiveté et le statut dominent. Quoiqu'un peut niais parfois à mon goût, ce livre m'a appris l'importance de suivre ses passions dans un monde où tout stagne . Spoiler(cliquez pour révéler)Le moment que j'ai préféré dans le livre est quand Fabrice porte l'habit noir, il transforme sa peine en émotions dans ses sermons. J'ai trouvé que c'était la réelle preuve de maturité du personnage dans tout le livre. globalement, c'est une bonne lecture pour se développer intellectuellement.
A 15 pages de la fin, on se demande encore si l'histoire va commencer. Je l'ai quand même lu car une fois que j'ai commencé un livre, je finis de le lire.
Le récit, peut-être dans une métaphore voulue de la vie humaine, est très lent au début puis de plus en plus rapide à l'approche de la fin. Cela crée quelques longueurs dès le départ et quelque frustration quand, à l'arrivée, on aurait souhaité avoir plus de détails.
La scène particulièrement dilatée dans le temps de la bataille de Waterloo est très belle et a contribué à faire la renommée du livre ; je ne l'amputerais pour rien au monde. Je n'en dirai pas tant de certains passages inutilement longs du début et du milieu du livre.
La deuxième moitié, à partir de l'épisode la tour Farnèse (sans en dire plus), est simplement magistrale, entre intrigues politiques et amours lancinantes ; ça va tout simplement trop vite. L'évolution du personnage de Fabrice est grandiose et émouvante à souhait. Je retrouve dans cette seconde partie du livre un mélange de plusieurs œuvres que j'adore, le Comte de Monte-Cristo et les Liaisons dangereuses pour ne citer qu'elles, avec la légèreté du style stendhalien.
Je finirai avec une petite réserve sur la tentative presque "sociologique" de Stendhal, consistant à tout ranger dans des cases géographiques voire ethniques avec une grossièreté risible. "En Italie, les femmes sont comme ci ; en France, la vengeance se fait comme cela"... Sur ce point, la chartreuse de Parme rappelle son essai "De l'amour" qui poussait cette logique à l'extrême, et dont on comprend aisément l'insuccès. Au bout de la vingtième occurrence de ce genre de théories, le lecteur d'aujourd'hui, saisissant la futilité de ces généralisations, se trouve un peu ennuyé.
Lu lycéenne. L'épaisseur de l'ouvrage ne m'avait pas rebutée, tant le style de Stendhal est limpide et savoureux.
C'est le récit d'un personnage aventureux et fantasque, mais aussi un jeune homme naïf et sentimental, dont l'attirance pour les femmes sera périlleuse... Egalement une grande fresque historique et sociale de l'Italie des XVIIIème et XIXème siècle, et un incontournable de la littérature classique.
Sublime livre, très fluide et facile à comprendre et à lire. Je recommande de choisir une bonne édition en revanche car en fonction de celle-ci la lecture peut être plus ou moins ardue à cause des notes de bas de page qui peuvent être inutiles voire contraignantes.
Ce sera un abandon pour ce roman de Stendhal qui était mon premier livre de cet auteur. J'ai eu beaucoup de peine à entrer dans l'histoire. Beaucoup de descriptions très longues qui nous font perdre le fil de l'histoire principale.
Dans le cadre d'un cours de littérature à l'université, on a étudié le personnage de la Chartreuse de Parme et les quelques extraits lus ne m'avaient déjà pas emballé. J'avais quand même envie de découvrir ce roman mais peine perdue, je n'adhère pas du tout à l'histoire.
Ah le romantisme du XIXème...... Fabrice, ce héros. On l'imagine beau à souhait, un air de candeur, d'aristocratie. Comment ne pas sombrer ? Les paysages d'Italie, la beauté des pierres, le lac de
côme. Et ce destin !
Résumé
À Parme, l'ombre de la chartreuse s'étend sur la cour et sur les intrigues aristocratiques.
Gina la belle duchesse, le comte Mosca, mais surtout le jeune Fabrice del Dongo, qui suscite l'amour de tous ceux qui le croisent.
Comment ne pas l'aimer, ce jeune rêveur plein de grâce, qui transfigure la réalité ?
Mais lui, que tout le monde aime, qui saura-t-il aimer ? C'est la question qui hante Fabrice, et Stendhal nous entraîne dans sa quête, qui le conduira de Milan à Parme, de Waterloo au lac de Côme, jusqu'à la prison de la tour Farnèse où son destin va basculer...
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