Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Trois chemins permettent de gagner Castle View depuis la ville de Castle Rock : la Route 117, Pleasant Road et les Marches des suicidés. Comme tous les jours de cet été 1974, la jeune Gwendy Peterson a choisi les marches maintenues par des barres de fer solides qui font en zigzag l’ascension du flanc de la falaise. Lorsqu’elle arrive au sommet, un inconnu affublé d’un petit chapeau noir l’interpelle puis lui offre un drôle de cadeau : une boîte munie de deux manettes et sur laquelle sont disposés huit boutons de différentes couleurs.
La vie de Gwendy va changer. Mais le veut-elle vraiment ? Et, surtout, sera-t-elle prête, le moment venu, à en payer le prix ? Tout cadeau n'a-t-il pas sa contrepartie ?
J’adore cette histoire. J. J. Abrams.
Une nouvelle captivante par le grand maître de l’horreur. Publishers Weekly.
Édition illustrée dont 4 illustrations inédites.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Michel Pagel.
- Si Lee Harvey Oswald n'avait pas travaillé pour le Texas Book Depository, Kennedy aurait terminé son mandat, renvoie Mr Farris. On peut jouer avec des si jusqu'à devenir fou ma fille.
J'ai bien aimé ce premier opus qui pose de décors de l'histoire. C'est une histoire très original qui nous éloigne un peu de l'horreur dont nous avait habitué Stephen King.
Un roman court du maître de l'horreur très prenant. L'histoire garde ses mystères et ses secrets, ce qui laisse place à l'imagination. C'est aussi un beau récit sur le fait de devenir adulte.
Un roman court écrit à quatre mains où une gamine va avoir son destin entre ses mains, et pas que le sien.
Un mystérieux inconnu lui offre une boîte magique munie de deux manettes et de boutons qui ont le pouvoir d’influer sur sa vie... En lui offrant un simple chocolat délicieux qui ne fait pas grossir, ou bien pire. Puis il y a ce bouton sur lequel elle ne peut appuyer qu’une fois, et aussi le noir…
Sous des airs de science-fiction, les deux auteurs offrent un récit qui prête à réfléchir sur le pouvoir de presser des boutons, de pouvoir moduler son avenir et celui des autres… Que le pouvoir de la boîte diffère selon celui qui l’utilise.
Sorti en 2017 lorsque Donald, pas le canard marrant Disney, l’autre, était au pouvoir aux USA, un esprit mal tourné comme le mien pourrait y voir un drôle de parallèle…
Une novella sympathique, mais qui ne restera pas dans les meilleures de l’œuvre du King (j’avoue après Shining, Misery et d’autres ça va être dur…), il est à noter que deux suite ont vu le jour sous la plume de Richard Chizmar seul.
C'est une histoire qui se lit très vite, une petite journée si vous n'avez rien d'autre à faire. L'histoire ce passe d'une manière chronologique et commence un peu avant que Gwendy reçois la boîte à bouton. Cette boîte à bouton est l'élément central de tout le livre. Parfois perçu comme bénéfique parfois vu comme maléfique. Écrit presque comme un conte fantastique certaine mettent ce livre en catégorie horreur ce par quoi je ne suis pas d'accord. Ce livre tranche beaucoup avec quoi on est habitué de Stephen King et pour cause, il est coécrit. Je ne connaissais pas le deuxième auteur avant d'avoir lu ce livre. Cela fait que je ne peux pas dire si c'est dans ça veine ou pas.
Un livre qui parle de l'acceptation de soi, je le conseil vivement. Je pense que ce livre est fait en priorité pour des adolescents plus que pour de jeunes adultes.
Rien de bien transcendant. Une histoire gentillette qui se lit rapidement mais qui ne laisse pas de souvenirs impérissables. On est loin des œuvres fortes du King. A prendre plutôt comme une nouvelle un peu longue qu'un véritable roman fantastique.
Stephen King nous emmène dans un étrange récit qui n’est pas sans faire penser (un peu) à Alice aux pays des merveilles. Sincèrement, on est transporté pendant un (court) moment. A conseiller tout simplement !
Stephen King moi, ça remonte à plus de 40 ans maintenant. Autant dire que le bonhomme m'en a fait voir de toutes les couleurs, et je ne l'en remercierai jamais assez.
Il faut que vous compreniez une chose : malgré toutes les horreurs qu'il peut imaginer, ce type est fondamentalement, profondément, gentil. J'en veux pour preuve ce "Gwendy et la boîte à boutons ", court mais intense roman, dans lequel lui et Richard Chizmar nous emmènent suivre les aventures d'une gentille fille qui se retrouve face à des choix cornéliens. Ça se lit très facilement et vite et ça laisse une impression de conte de fée un peu tordu. Et vous, s'il vous suffisait d'appuyer sur un bouton pour changer le monde, sachant qu'il y aurait forcément des conséquences, vous feriez quoi ?
Un homme mystérieux, une adolescente torturée, injustice, choix fatidiques, du sang. Une grande partie des éléments chers à Stephen King sont réunis pour faire une bonne histoire, même s'il s'agit d'un récit à 4 mains.
Ce court roman a des petits airs de Bazaar et j'aurais craint une impression de déjà-vu si ce n'était mon auteur fétiche qui l'avait écrit. On se laisse facilement transporter, pas de temps morts, et les pages tournent toute seules.
Gwendy est attachante, et placée face aux choix qu'elle doit faire, je me suis demandé ce que j'aurais fait à sa place. Le but du King était donc atteint, puisque, à mon avis, c'était celui que les auteurs voulaient atteindre.
Peu après, Stephen King publiera Élévation, suite de cette nouvelle.
Résumé
Trois chemins permettent de gagner Castle View depuis la ville de Castle Rock : la Route 117, Pleasant Road et les Marches des suicidés. Comme tous les jours de cet été 1974, la jeune Gwendy Peterson a choisi les marches maintenues par des barres de fer solides qui font en zigzag l’ascension du flanc de la falaise. Lorsqu’elle arrive au sommet, un inconnu affublé d’un petit chapeau noir l’interpelle puis lui offre un drôle de cadeau : une boîte munie de deux manettes et sur laquelle sont disposés huit boutons de différentes couleurs.
La vie de Gwendy va changer. Mais le veut-elle vraiment ? Et, surtout, sera-t-elle prête, le moment venu, à en payer le prix ? Tout cadeau n'a-t-il pas sa contrepartie ?
J’adore cette histoire. J. J. Abrams.
Une nouvelle captivante par le grand maître de l’horreur. Publishers Weekly.
Édition illustrée dont 4 illustrations inédites.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Michel Pagel.
(Source : Le livre de poche)
Afficher en entier