La dernière allumette

La dernière allumette de Marie Vareille.

C'est un très beau roman qui parle de la violence faite à l'égard des femmes, au sein des couples. L’auteur traite du sujet en faisant comprendre la mécanique et la mise en oeuvre de cette violence, grâce au personnage d'un psy, le Dr Garnier, qui tente de faire admettre à sa patiente qu'elle est une femme battue...

L'alternance de plusieurs narrations apporte un bon dynamisme au roman. Les personnages sont attachants et incarnent leur rôle de manière très juste. J’ai adoré et dévore ce roman

Un vrai bouleversement d'émotions, je l'ai lu en 2 jours....

Magnifique livre poignant c'est peu de le dire, il y a des livres qui vous tordent les tripes et vous donnent les larmes aux yeux, et bien c'est un de ceux-là.

Un véritable coup de cœur. Une lecture réellement bouleversante, pleine d’émotions. Chaque personnage a une histoire de vie poignante que l’on découvre grâce à des alternances entre passé et présent bien menées. Une jolie plume qui aborde des thèmes difficiles avec beaucoup de psychologie. Et le petit plus : une fin à laquelle on ne s’attend pas du tout. Bref, j’ai adoré ! (Et encore le mot est faible !)

J’ai dévoré ce livre en 2 jours. Je me suis laissée promener par l’auteur et contrairement à certains, je n’ai absolument pas vu venir les rebondissements. Évidemment le thème est terrible et il est nécessaire que la littérature le traite. Je pense surtout aux jeunes lectrices à qui je recommande vivement ce livre. Il parvient à introduire de la légèreté, et la lumière surgit parfois de la nuit, telle la lueur d’une allumette, ou une aurore boréale qui viendrait nous surprendre.

Merci Marie pour ces pages.

Une lecture marquante. J'ai complètement été embarquée par l'histoire malgré le sujet, très difficile, qui y est abordé. J'avais hâte de découvrir le destin des personnages, auxquels on s'attache. Malgré quelques indices disséminés qui nous font nous questionner et émettre des hypothèses, je n'ai pas vu venir le dénouement, très émouvant, ce qui me fait d'autant plus apprécier ce roman.

Depuis plus de vingt ans, Abigaëlle vit recluse dans un couvent en Bourgogne. Sa vie d’avant ? Elle l’a en grande partie oubliée. Elle est même incapable de se rappeler l’événement qui a fait basculer sa destinée et l’a poussée à se retirer du monde. De loin, elle observe la vie parisienne de Gabriel, son grand frère, dont la brillante carrière d’artiste et l’imaginaire rempli de poésie sont encensés par la critique. Mais le jour où il rencontre la lumineuse Zoé et tombe sous son charme, Abigaëlle ne peut s’empêcher de trembler, car elle seule connaît vraiment son frère…

Marie Vareille nous livre ici un récit d'une puissance rare, où les thèmes délicats des violences conjugales, des traumatismes de l'enfance et des schémas familiaux toxiques sont explorés avec une profondeur saisissante. Chaque mot résonne avec une vérité poignante, chaque scène captive par son intensité émotionnelle. C'est avec beaucoup de facilité que je me suis plongé dans ce livre, malgré la dureté de l'histoire. Jusqu'au bout, nous sommes tenu en haleine. Le personnage de Abigaëlle est intrigant, celui de Gabriel l'est encore plus.

Jusqu'au bout, je ne m'attendais pas à un tel dénouement. J'ai pris une claque magistrale qui m'a laissé sans voix, une conclusion inattendue qui résonne bien après avoir refermé le livre. C'est une histoire qui a clairement marqué mon esprit. Si j'ai adoré tous les livres de cette auteure, celui-là est, selon moi, le meilleur.

Il s'agit d'une histoire remarquablement construite qui capture l'essence même de l'humanité dans toute sa complexité. Une lecture indispensable pour ceux en quête d'émotions fortes et d'une histoire qui laisse une empreinte indélébile dans l'âme.

Après *Les Enfants Endormis* d’Anthony Passeron, j’ai poursuivi ma découverte de la sélection du Prix Audiolib 2024 par *La Dernière Allumette* de Marie Vareille, une autrice dont je n’entendais que du bien depuis des années mais que je n’avais pas encore eu l’occasion de lire par moi-même. J’ai donc entamé cette écoute avec de grands espoirs et, je l’avoue, un niveau “d’exigence” assez élevé au vu de tout le bruit qu’il y a eu autour de cette sortie.

Et permets-moi de te dire que tous les excellents avis du monde ne m’auraient pas préparée à recevoir une telle claque littéraire. *La Dernière Allumette* fut un très gros coup de cœur et est à ce jour ma meilleure lecture de 2024.

—On craque pour La Dernière Allumette—

Je suis entrée à corps perdu dans *La Dernière Allumette* au bout d’environ 1min30 d’écoute, totalement immergée et impliquée dans l’histoire d’Abigaëlle. Et pendant les 7h45 qu’a duré cette lecture, l’autrice m’a prise par la main et m’a emmenée dans un endroit que je pensais connaître, mais qui regorgeait en réalité de surprises à chaque nouveau virage. Ce livre nous emmène là où on ne l’attend pas, il nous bouscule et nous en met plein les dents. Il nous retourne comme une crêpe et nous passe au hachoir pour que l’on finisse en un pauvre tas de bouillie sanglotante sur le carrelage (et j’exagère à peine). Et on ressort de cette lecture sans trop savoir ce qu’il vient de nous arriver mais avec la certitude que l’on vient de vivre quelque chose de primordial et de marquant dans notre vie de lecteurice.

Cette chronique voudrait que je t’expose un peu mieux les tenants et les aboutissants de *La Dernière Allumette*, mais mon expérience de lecture s’y refuse. Je suis entrée dans ce roman en ayant uniquement lu le résumé, et je pense que c’est en effet le meilleur moyen de l’appréhender. Il doit se découvrir à l’aveugle, en en sachant le mois possible, et c’est donc pour ça que je ne m’attarderais pas sur l’intrigue en elle-même. Je me contenterais de dire qu’il traite du sujet des violences conjugales et qu’il n’est donc pas à mettre entre toutes les mains - parce qu’il faut savoir se préserver si jamais on en ressent le besoin 🖤.

Marie Vareille fait montre d’un talent d’écriture assez impressionnant. Elle construit son intrigue comme un roman à suspense, un véritable page-turner qui devient très vite impossible à lâcher et qui ne cesse d’envahir nos pensées entre chaque session de lecture. Elle nous embarque avec son style tout en sensibilité et en émotion, quelque chose de doux-amer qui ne dit pas les choses frontalement mais qui nous retourne quand même l’estomac. Vraiment, c’est bouleversant.

Et tout cela est amplifié par la magnifique qualité d’interprétation des deux lecteurices de la version audio, Caroline Tillette et Renaud Bertin, qui en font un petit bijou. Je retiendrai en particulier la prestation de Caroline Tillette que j’ai trouvée saisissante, surtout lorsqu’elle nous partage les extraits des journaux intimes de la jeunesse d’Abigaëlle. Ces deux narrateurs ont sans conteste participé à mon amour pour ce livre.

—En bref—

En bref, *La Dernière Allumette* de Marie Vareille est un roman coup de poing. Si son intrigue peut sembler toute tracée, elle nous emmène en réalité là où on ne l’attend pas et nous réserve de nombreuses surprises (c’est d’ailleurs pour ça qu’il faut se lancer sans en savoir trop). C’est un véritable page-turner, plein de suspense mais aussi de sensibilité dans l’écriture. Une histoire bouleversante qui m’a retourné l’estomac, m’a piqué les yeux et m’a tenue éveillée jusqu’à une heure bien trop avancée de la nuit, bercée par les voix de Caroline Tillette et Renaud Bertin qui incarnent magnifiquement la version audio du roman. À lire et à offrir de toute urgence pour un moment mémorable qui marquera longtemps !

https://desrevesdanslamarge.com/la-derniere-allumette-marie-vareille/

Je ne lis pas beaucoup de romans contemporains adultes, mais celui-ci est bien ficelé (et bien narré par les deux acteurs du livre audio). J’ai deviné la grosse révélation finale à la moitié du récit, mais d’autres retournements de situation m’ont prise de court et m’ont ballottée de l’amour à la haine pour certains personnages. L’autrice aborde la famille et la fraternité, mais attention, surtout les violences conjugales et le stress post-traumatique. Je suis moi-même passée à côté de certaines choses, ce qui est très réussi car on ne se rend pas forcément compte de ces violences qui nous entourent dans la vraie vie...

Extraordinaire lecture !

GROS gros COUP de COEUR !

La narration est construite avec finesse et intelligence : j’ai été vraiment surprise de la tournure des évènements. Je ne m’attendais pas à cette évolution et à ces situations. Je me doutais de certaines révélations mais j’ai été loin de saisir toute l’excellence de l’histoire et tout l’effet de la persuasion.

La dernière allumette est un roman fort, imprévisible, magnifique. Il sort du coeur. Il noue les tripes. Il évoque les violences faites aux femmes et les conséquences sur l’enfance. Il est question de traumatismes, d’adultes en souffrance, de deux petits gamins sans défense et d’autres encore…

Un thème sublimement traité. Je dis bravo à Marie VAREILLE. J’ai été touchée au plus profond de moi.

J’ai dévoré ce récit, subjuguée par une plume adaptée (quelles voix magnifiquement portées par des personnages saisissants !) et mâture, tellement juste et profonde. J’ai été saisie par l’intensité de la narration et par la violence des sentiments . Vraiment un magnifique roman !

Marie VAREILLE se dévoile machiavélique : elle m’a laissée m’enliser dans mes hypothèses et mes pensées, me prouvant par ma lecture tout ce qu’elle écrit ici. Elle est habile et sait mener son monde. Ce roman est captivant.

Le titre, déjà, porte son lot d’attentes que l’esprit fabrique : des images bien précises se dessinent mais je suis si loin du contenu auquel je me préparais. J’imagine que pour vous c’est pareil : vous voyez les allumettes ? Aussitôt vous anticipez le feu, un incendie, la destruction, peut-être ?.

J’ai compris le message : je sais à quel point le cerveau est malléable et soumis à ce qu’on a vécu, à ce que l’adulte construit pour nous…

Drame humain, démonstration psychologique. L’ensemble est prenant er remarquable. Je ne sais si Désenchantées est aussi démentiel mais je suis sur le point de l’acheter pour, encore, me nourrir de la perfection de la plume de Marie VAREILLE. Vous qui avez lu ce précédent roman, vous ne manquerez pas de me dire vos ressentis…

Encore bravo, Madame ! Votre roman est percutant. Il se découvre sans modération. Il est essentiel.

🥹 Coup de cœur

En trois mots : famille – couple - violences

« Le problème des mensonges, c’est qu’ils finissent toujours par avoir des conséquences. »

➡️ Premier coup de cœur de l’année, qu’on pourrait même qualifier de claque !

Pourtant, je n’ai pas tout de suite compris l’engouement général pour ce roman. En le débutant, je m’attendais à un gentil petit thriller domestique mais sans prétention. Non, non, non, mon avis ne rejoindrait certainement pas celui de tous les autres lecteurs si positifs au sujet de ce livre… 🙄

➡️ C’était sans compter sur le talent de Marie Vareille pour surprendre et même bouleverser complètement ! Passé un certain stade du récit, impossible de s’arrêter, surtout quand on commence à comprendre où l’autrice veut nous mener…

➡️ Des thèmes difficiles sont abordés avec justesse mais sans être tire-larmes, grâce notamment à des personnages humains et (presque !) tous attachants. Ils amènent de belles et difficiles réflexions. Sans oublier une jolie écriture, très bien mise en avant dans le livre audio, cette version est réellement réussie.

➡️ Un petit conseil, mieux vaut se laisser porter par l’histoire et ses émotions sans essayer de faire trop de suppositions. De même, ne pas trop en lire sur ce livre avant de le découvrir. Les révélations n’en seront que plus renversantes…