Paradise Kiss, tome 5

Il est déjà temps de quitter notre groupe d’amis aux personnalités si singulières. L’aventure fut intense et pétillante, bien qu’un peu courte à mon goût – en réalité elle dure le temps qu’il faut, c’est juste que je n’ai jamais assez de Yazawa.

Ce cinquième tome est aussi prenant que les autres, mais un chouïa moins plaisant à lire, la joie de continuer notre plongée dans le quotidien de Caroline et Para-kiss étant ponctuée ici et là de plusieurs pincements au cœur, et il nous laisse avec une pointe de frustration.

La relation amoureuse entre Caroline et Georges n’évolue pas vraiment, elle stagne au même stade fait de réflexions désobligeantes, de cachoteries, et de non prise en considération des sentiments de l’autres. Mais au moins, parallèlement à cela, on constate quand même une prise de conscience progressive de tous ces aspects qui posent problème et, tout comme eux, on sent venir la conclusion qui va finir par s’imposer à eux d’ici la fin du récit. Finalement, cette (non) évolution nous laisse un sentiment de « tout ça pour ça » ; autant Caroline a progressé, et ce sur divers plans de sa vie, autant Georges reste tout compte fait un enfant gâté qui n’a fait et ne fait toujours aucun effort pour faciliter sa relation amoureuse.

A côté de cela, moi qui voulais voir le développement du couple Miwako/Arashi, j’ai été extrêmement peinée des détails qu’Hiroyuki nous a appris ; même si l’on savait que leur relation semblait beaucoup tourner autour du s*xe, j’étais loin d’imaginer Spoiler(cliquez pour révéler)que leur couple s’était « scellé » de cette manière. J’ai du coup été encore plus touchée par l’innocence et la profondeur des sentiments de Miwako, qui mérite tellement plus d’attention.

La scène finale est assez expéditive, surtout dans sa deuxième partie, et contribue grandement à cette frustration que nous laisse ce dernier tome. Elle nous offre au moins un dernier petit pic d’émotion, avant de faire un gros saut de dix ans pour un dernier tableau très très rapide.

Je trouve ça dommage d’avoir fait une telle ellipse pour ce chapitre final, et de n’avoir qu’une miette du quotidien heureux de Caroline. Sans forcément nous détailler toute leur histoire, j’aurais aimé avoir un minimum de développement de ce couple – d’autant qu’au vu de la réflexion de son frère, cela ne s'est pas fait tout de suite après le lycée… Et puis après l’avoir suivie pendant cinq tomes à chercher sa voie, se chercher elle-même, se remettre sans cesse en question, j’aurais apprécié avoir un plus large aperçu de son bonheur, de sa vie équilibrée qu’elle a su trouver. Tout comme il me manque un dernier au revoir aux personnages auxquels elle nous annonce rendre visite.

Une fin donc un peu en demi-teinte pour ma part, moins pétillante que le reste au regard de l’univers dans lequel nous évoluions depuis quatre tomes.

Cela n’en reste pas moins une belle œuvre de Mme Yazawa que je prendrai toujours plaisir à relire.

J'ai adoré ce dernier tome. Je l'ai trouvé particulièrement touchant et la progression de Yukari tout au long de cette série m'a particulièrement touchée. La fin était un peu surprenante, mais finalement elle m'a vraiment plu !

Satisfaite de cette fin même si j'aurai aimé en voir davantage sur Yukari et Hiroyuki. Je suis bien contente que notre héroïne est arrêtée son histoire avec Georges qui est plus que agaçant (il faut le dire). En soi c'est un personnage très énigmatique et qui m'a bien fait tourner en bourrique aussi. Donc je le déteste sans vraiment le détester car contrairement à d'autres shojo, il montre une personnalité très controversée. Par contre, la torture que fait subir la mangaka à ses personnages Arashi et Miwako. J'étais outrée sur ce que j'ai lu de leur relation, surtout qu'elle peut tellement faire parler et mettre en garde les adolescent-e-s de nos jours.

Franchement ce n'est pas du tout mon style de manga de base mais j'ai apprécié les dessins (les habits étaient incroyables) puis l'histoire qui est assez réaliste en soi et qui montre à quel point les choix que nous pouvons faire ne sont pas forcément les bons. De même que nos fréquentations ne sont pas toujours les bonnes et qu'il faut se méfier des apparences.

Une fin de série assez surprenante, dans un shojo, Spoiler(cliquez pour révéler)dans le sens où Georges et Yukari se séparent sans plus jamais se revoir et où elle finit avec Hiroyuki, le garçon dont elle était amoureuse et qu'elle a oublié en deux secondes après avoir rencontré Georges, mais plutôt une bonne conclusion.

Une saga très intéressante qui se lit rapidement. Une fin audacieuse mais j'ai quand même été déçue Spoiler(cliquez pour révéler)ils étaient vraiment trop mignons ensemble

dernier tome dans la ligné des autre. si on s'attendais au début de la série a avoir une histoire assez légère, celle-ci au contraire aborde des sujet assez lourd et des questionnements sur le passage a l'âge adulte.

J'aime cette finSpoiler(cliquez pour révéler), car elle n'est pas de celle qu'on pense aller de soi... Mais ils suivent leur chemin et continuent à être heureux après sue chacun ai inspirer l'autre à être la meilleur part de lui-même.

J'ai lu ce manga il y a au moins 6 ans et je m'étais sentie trahie à cause de la fin.

Aujourd'hui, à l'aube de mes 19ans, je suis toujours aussi frustrée de cette fin. On nous a vendu de l'amour et de la complicité entre les personnages pendant tous les tomes pour au final... Ça.

Spoiler(cliquez pour révéler)J'aurais préféré une fin cohérente où l'on puisse les voir se retrouver mais l'auteur a préféré marier Yukari au premier venu. J'ai beau y réfléchir je ne comprends vraiment pas, d'autant plus qu'il nous prouve qu'elle tient encore à Georges en continuant de porter ses tenues.

Cependant, je ne peux qu'aimer ce manga malgré la fin décevante; une merveilleuse histoire avec de bons conseils sur comment vivre sa vie.

MAGNIFIQUE.La fin m'a fait pleurer mais je penses que sans le manga aurait était banal,même si j'aurais appréciée une rencontre vers la fin.

Fin surprenante je me suis posé pas mal de questions mais j'ai adoré cette série de manga.