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« Je suis l'homme. N'est-ce pas merveilleux ? Un homme qui s'avance et qui dit : je suis l'homme.
Il faudrait pouvoir se planter en face, yeux dans les yeux, et dire : je suis la femme.
Rien d'autre - simplement ceci, tel que je vous le dis maintenant, tel que vous l'entendez : je suis la femme. »
Alors, peut-être ce roman, avec toutes les histoires qu'il contient, sa justesse, sa vérité, tant de joies et de déception, tant de violence et toute cette tendresse, cet amour qui le portent, peut-être ce roman n'a-t-il d'autre sens que de pouvoir permettre à une femme - à toute femme ? - de dire enfin, à jamais : je suis la femme.
Le corps est la seule preuve d'amour - ou plutôt non, non, pas la seule : les hommes libres peuvent partir, et quelquefois ils restent - voilà la plus belle preuve d'amour : prendre la liberté de rester alors qu'on pourrait s'en aller.
Le livre est très sensible, un brin rêveur, nostalgique et épris d'absolu. La personnalité de l'auteur est très séduisante. Un peu dommage simplement que le texte soit écrit dans une sorte de style banalisé aujourd'hui: l'écriture journalistique. Un bon nombre de références culturelles qui émaillent le texte, mais décidément rien de résolument créatif dans ce texte. Ce qui fait que malgré la richesse du propos, la finesse de l'analyse, j'ai trouvé "dans ces bras-là" un peu plat. A vous de juger.
Le livre commence par des chapitres captivants qui font de l'attente de la suite un insupportable supplice mais la suite ma fait fermer le livre avant la fin tellement l'ennui est venu rejoindre la finesse du début.
Je suis assez perplexe et hésitante sue le jugement . Bon en somme je n'ai pas adhéré.
Ce n'est pas le genre de littérature que je lis habituellement, j'ai donc apprécié que l'auteure m'explique sa démarche au début du livre : "Ce serait un livre sur les hommes" et plus précisément "tous les hommes d'une femme", les hommes de l'auteure.
J'ai tout de suite accroché à son style. Sa plume est proche de l'oralité avec des phrases rallongées par des virgules, tout en restant compréhensibles. Elle est aussi poétique avec de belles figures de style bien maniées.
Enfin, j'ai apprécié sa vision des hommes. Elle n'est pas méprisante, comme j'avais peur qu'elle le soit au début de ma lecture. J'ai aimé suivre sa réelle recherche de ce qui fait d'un homme, un homme, ainsi que sa vision des relations homme/femme : faire l'amour, c'est connaître l'autre entièrement.
Deuxième ouvrage de Camille Laurent que je lis après "Fille" et j'aime toujours autant son style d'écriture brut de decoffrage. Cependant j'ai beaucoup moins aimé le sujet de celui ci et j'avais l'impression de lire une redite du livre précédemment cité.
A découvrir pour ceux qui n'aurait pas lu d'œuvres de l'autrice.
C'est le 1er roman de Camille Laurens que je lis : j'ai beaucoup aimé l'écriture de cette auteure, cela se lit très bien. L'idée même du livre est intéressante, elle parle des différentes figures masculines qui parcourent sa vie. Chaque "chapitre" se focalise sur une de ces figures. J'ai beaucoup aimé la manière dont elle parle de sa vie, à travers le prisme masculin.
Je ne sais pas trop quoi penser de cette lecture. J'ai profondément aimé la plume de l'autrice, c'était doux, c'était beau, avec plein de jeux sur les mots et les sonorités ; un délice ! En revanche, sur le fond, il y a pas mal de choses qui m'ont gênées, l'impression que la narratrice ne se résumait qu'aux hommes et rien d'autre. Ça reste tout de même une lecture agréable.
Une construction de livre atypique et qui peut dérouter les adeptes d'une chronologie bien déroulée; un style d'écriture très intéressant et un contenu qui peut emmener à réfléchir sur soi. A relire.
Résumé
« Je suis l'homme. N'est-ce pas merveilleux ? Un homme qui s'avance et qui dit : je suis l'homme.
Il faudrait pouvoir se planter en face, yeux dans les yeux, et dire : je suis la femme.
Rien d'autre - simplement ceci, tel que je vous le dis maintenant, tel que vous l'entendez : je suis la femme. »
Alors, peut-être ce roman, avec toutes les histoires qu'il contient, sa justesse, sa vérité, tant de joies et de déception, tant de violence et toute cette tendresse, cet amour qui le portent, peut-être ce roman n'a-t-il d'autre sens que de pouvoir permettre à une femme - à toute femme ? - de dire enfin, à jamais : je suis la femme.
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