Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Quand la sonnerie a encore retenti, que la porte du box s'est ouverte, c'est le silence de la salle qui est monté vers moi, le silence, et cette singulière sensation que j'ai eue lorsque j'ai constaté que le jeune journaliste avait détourné les yeux. Je n'ai pas regardé du côté de Marie. Je n'en ai pas eu le temps parce que le président m'a dit dans une forme bizarre que j'aurais la tête tranchée sur une place publique au nom du peuple français...
Je ne me suis jamais lassé et pourtant je l'ai lu plusieurs fois. Un chef d'oeuvre intemporel. Une histoire en deux parties qui pourtant ne font qu'une. Un style inimitable et l'utilisation du passé composé pour ancrer le récit (au lieu de l'imparfait) relève du génie.
Le livre à avoir lu avant de mourrir, et à emmener sur une ile déserte.
Un livre qui vous marque, dont vous vous souviendrez toute votre vie.
C'est un classique à lire qu'on aime ou pas, je ne dirai pas que j'ai aimer mais c'est compliqué de juger en fait au vu de l'écriture qui incroyable forcément
Lecture presque obligatoire même si elle m'avait été imposée à l'époque étant étudiant. J'avais à ma grande surprise adoré. Cela reste une bonne valeur aujourd'hui. Genre de lecture intemporelle.
Un livre qui m'as laissée avec une impression de malaise et d'avoir plongé là où je n'en avais pas envie et où ça n'en valait pas la peine.
Je me demande, n'étant pas très solide en la matière, si finalement le protagoniste n'est pas ce qu'on appellerait aujourd'hui un sociopathe? En tout état de cause j'en sors dérangée mais en n'ayant pas pour autant l'impression d'avoir vraiment appris quelque chose, enrichi ma réflexion ou ouvert mon horizon.
Le seul écho en moi a été au moment du procès et de l'annonce de la peine de mort .. une pensée pour Robert Badinter quand il était avocat.
Une grosse déception au final... je pense que ce roman n'était pas pour moi
Je me suis rendu compte au fur et à mesure de la lecture que je connaissais déjà l'histoire. En fait, c'est déjà lu et complètement oublié.
Donc, la première fois ne m'a pas marqué.
Je crois que la deuxième non plus. Il sera rapidement oublié.
Le style d'écriture n'est me semble pas particulièrement intéressant. L'écriture est quand même très basique.
Il y a plusieurs points qui sont dérangeant que se soit sur le personnage principal ou ce qui l'entoure. Mais je suppose que c'est voulu.
Et je ne crois pas que je vais perdre du temps sur une pseudo réflexion de ce que l'auteur souhaite transmettre comme message. Ceux qui veulent y voir quelques choses, bien du plaisir. En attendant, ça ne vaut pas le détour pour moi.
Est-ce quelqu'un connaît la logique d'Albert Camus lorsqu'il emploie les couleurs dans ce roman pour décrire le ciel ? Parfois, il dit que le ciel est rougeâtre, cela peut faire allusion à un coucher, tout comme un lever de soleil. Mais lorsqu'il dit que "le ciel est vert", il me perd.
Exemple :
- " Le ciel était vert, je me sentais content." - Chapitre 3
- "Je m'étendais, je regardais le ciel, je m'efforçais de m'y
intéresser. Il devenait vert, c'était le soir. Je faisais encore un effort
pour détourner le cours de mes pensées." - Chapitre 5
Résumé
Quand la sonnerie a encore retenti, que la porte du box s'est ouverte, c'est le silence de la salle qui est monté vers moi, le silence, et cette singulière sensation que j'ai eue lorsque j'ai constaté que le jeune journaliste avait détourné les yeux. Je n'ai pas regardé du côté de Marie. Je n'en ai pas eu le temps parce que le président m'a dit dans une forme bizarre que j'aurais la tête tranchée sur une place publique au nom du peuple français...
Afficher en entier