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Cher lecteur, si tu recherches un récit de collège tout en farces joyeuses, n'ouvre surtout pas ce livre ! À la place, tu découvriras une pension de la pire espèce avec règlement stupide, crabes mal lunés, moisissures coulantes, violon écorcheur d'oreilles, redoutables test de contrôle et triple dose de système métrique.
Telles sont les malédictions qu'affrontent les orphelins Baudelaire dans ce consternant épisode, mais rien ne t'oblige, cher lecteur, à les suivre en ce sinistre lieu. Sauf, bien sûr, situ désires que ton propre collège, par contraste, te semble être un paradis. Avec mes sentiments respectueux, Lemony Snicket.
Son turban, Mr Gengis le porte par conviction religieuse, et ses baskets, pour enseigner les sports. Tenez, regardez donc, un peu. (Il se tourna vers son ordinateur et pressa un bouton. L'écran papillota un instant, puis un portrait-robot du comte Olaf apparut.) Voyez ? Mr Gengis ne ressemble en rien à votre comte Olaf, la preuve.
Ouchilo ! Objecta Prunille, autrement dit : « ça ne prouve rien ! »
Ouchilo ! Singea Mr Nero. Et à quoi croyez-vous que je vais me fier ? A un système informatique de pointe ou aux dires de petits loubards qui ne fichent rien en classe ni au bureau ? Bon, et maintenant, suffit. Vous m'avez fait perdre assez de temps ! Demain, je surveillerai en personne ces tests de contrôle, qui se dérouleront dans l'annexe aux orphelins. Et vous avez intérêt à briller. Sans quoi, du balai, et bonne chance à Mr Gengis ! Allez, « sayonara », enfants Baudelaire !
« Sayonara », vous le savez peut-être, signifie « au-revoir » en japonais, et les quelque cent vingt-cinq millions de citoyens du Japon seraient sans doute ennuyés d'entendre un personnage aussi révoltant utiliser un mot de leur langue. Mais les enfants Baudelaire ne se demandèrent même pas ce que signifiait « sayonara ». Ils étaient trop pressés d'aller tout raconter à leurs amis, au pied de la bâtisse.
Je crois que c'est mon tome préféré, ils se font enfin de vrais amis et cette histoire est plutôt bonne, même si ça commence à être assez répétitif... On sent que l'auteur avait de bonnes idées MAIS qu'il ne pouvait pas s'empêcher de mettre toujours la même chose... En tout cas malgré les dissemblances il y a beaucoup de ressemblances entre les différents livres.
J'ai beaucoup apprécié ce tome-ci. Il apporte un peu d'espoir avec la rencontre des Beaudraps. Cependant, il reste assez difficile pour nos chers orphelins, à qui on ne laisse pas une minute de répit.
Super tournant dans les aventures des orphelins ! De nouveaux protagonistes attachants et me concernant, un magnifique flash back à mes années collèges avec ses pestes xD
Une série plutôt décevante pour moi ... la lecture manquait de fluidité car l’écriture était parfois « pompeuse », des éléments complètement absurdes (impossibles scientifiquement) et les personnages agaçants.
Tout simplement un roman qui n’était pas fait pour moi !
C'est avant tout pour la jeunesse donc l'attrait n'est pas le même quand on ne fait pas partie du public concerné. Mais j'aime beaucoup, pour ce côté décalé de l'histoire, pour le type de plume de l’auteur. Il nous parle à travers le livre en racontant l'histoire de ces orphelins comme s'il l'avait vu. Ce qui m'a le plus plu la première fois que j'ai pris un tome de cette saga les mises en garde.
Probablement mon tome le moins préféré. J'avais du m'y reprendre à deux fois pour le lire et même là il ne m'avait pas passionné plus que ça. Bien sur l'écriture reste absolument exquise, le style de l'auteur étant vraiment unique, mais les personnages ne m'avait pas touché plus que ça et le collège...disons que vu que j'y passais déjà mes journée, je n'avais pas franchement envie de le retrouver dans un roman.
Quand on voit Neron et Carmelita, sans même les entendre, on a envie de leur balancer quelque chose de pesant que leur criant "TA GU******* !!!" Me semble que ça soulagerait un bon coup. Et c'est drôle, j'aurais bien envie de faire la même chose avec Poe, tellement il est débile. Et quand on fait une comparaison enfant-adulte dans cette histoire, on se demande bien s'il ne serait pas mieux de confier l'avenir du monde aux jeunes. Peut-être que ça irait moins mal.
Résumé
Cher lecteur, si tu recherches un récit de collège tout en farces joyeuses, n'ouvre surtout pas ce livre ! À la place, tu découvriras une pension de la pire espèce avec règlement stupide, crabes mal lunés, moisissures coulantes, violon écorcheur d'oreilles, redoutables test de contrôle et triple dose de système métrique.
Telles sont les malédictions qu'affrontent les orphelins Baudelaire dans ce consternant épisode, mais rien ne t'oblige, cher lecteur, à les suivre en ce sinistre lieu. Sauf, bien sûr, situ désires que ton propre collège, par contraste, te semble être un paradis. Avec mes sentiments respectueux, Lemony Snicket.
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