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Recueil de 7 nouvelles d'Edgar Allan Poe sombrement illustré par Benjamin Lacombe. On y retrouve "Le chat noir", "Bérénice", "L'île de la fée", "La chute de la maison Usher", "Le coeur révélateur", "Morella" et "Le portrait ovale".
Cette édition illustrée entièrement par Benjamin Lacombe est magnifique, que ce soit au niveau des dessins, de la mise en page ... tous les détails sont travaillés pour rendre la lecture agréable.
Edgar Allan Poe nous fait découvrir histoire après histoire toutes les facettes de la terreur : de celle qui touche le héros, jusqu'au lecteur. La peur passe par des objets, ou des évènements teintés de surnaturel mais très subtils. Il n'arrive jamais rien de physique au personnage principal, mais ce dernier est toujours durablement marqué psychologiquement. Cette terreur éprouvée confine à la folie, inexorablement.
Dommage que l'écriture de Poe soit difficile à lire. L'époque y joue très certainement, mais il n'empêche que les phrases sont longues et hachées, constamment coupées par des virgules et des phrases entre tirets. Les références à les livres ou à des oeuvres sont fréquentes, et pour moi pauvre petite lectrice mal instruite, même l'aide des notes de l'éditeur ne suffit pas à me faire comprendre le sens de certaines phrases.
Il n'empêche qu'une fois que Poe réussit à nous emmener dans son univers, il est difficile d'en ressortir. L'histoire de Ligeia est celle qui m'a certainement le plus marquée, tant l'histoire d'amour qu'elle décrit est d'une rare intensité. Le talent de Poe réside dans ces description, descriptions de sentiments ou de choses.
J'ai mis longtemps à lire ce livre, mais je ne regrette pas.
des petites histoires qui nous emporte dans le monde d'edgar poe avec de merveilleux dessins de benjamin lacombe ce livre est incroyable un chef d'oeuvre
Inutile de dire que j'adore les écrits d'Edgar Allan Poe.Très bel ouvrage.L'impression est parfaite,la reliure très élégante et les lettrines de début de nouvelles très belles.Bien sur ,encore une fois ,les illustrations de Benjamin Lacombe sont superbes mais le choix des contes m' a ,un peu laissé, sur ma faim.Trop d'histoires similaires alors que la variété dans l'œuvre de Poe aurait pu donner un ouvrage de référence.Un bien bel objet tout de même, sans doute plus destiné aux admirateurs de Benjamin Lacombe.
Je n'avais jamais eu l'occasion de lire la plume de Poe, et j'étais vraiment emballée par la lecture de cet ouvrage. Je ne sais pas trop ce que je m'imaginais, mais certainement pas ce que j'y ai trouvé. Les textes sont laborieux, on n'en comprend pas la moitié, l'auteur digresse à tout va, etc. Bref, une très grosse déception pour moi.
La nouvelle que j'ai préférée est Le Chat Noir, mais « préférée » est un grand mot; disons que son écriture était compréhensible, et qu'elle me semblait plus faire partie du thème macabre que les autres nouvelles.
Toutefois, je ne peux nier la beauté des illustrations par Benjamin Lacombe, qui en font un objet-livre magnifique! Par contre, ça n'aura pas été suffisant pour moi, pour me faire apprécier ce volume.
Considéré comme le maître du fantastique et l'inventeur du roman policier, j'étais depuis longtemps curieuse de découvrir cet auteur qui m'effrayait un peu. L'occasion s'est présentée avec ce splendide recueil de contes, traduits par Charles Baudelaire et illustrés par Benjamin Lacombe. Un trio de choc qui m'a procuré un grand plaisir de lecture.
Je ne connais pas la plume de Poe mais là on sent bien la patte de Baudelaire. J'avais un peu d'appréhension au départ avec le style XIXe mais je m'y suis vite faite. Les phrases sont longues ainsi que les descriptions et la lecture n'est pas toujours aisée. J'ai pris mon temps pour savourer et apprécier.
Les histoires sont envoûtantes, mystérieuses et délicieusement macabres. Des récits sombres à souhait, poétiques, oniriques avec toujours une touche de fantastique. Les thématiques de la folie, la maladie ou l'obsession reviennent souvent. Les nouvelles sont lugubres et inquiétantes. Ma préférée est Le chat noir et celle que je l'ai moins aimée, L'île de la fée.
Les contes sont sublimés par les illustrations de Benjamin Lacombe qui en font un livre-objet absolument magnifique. Les dessins sont superbes. Souvent en noir et blanc, ils rendent l'atmosphère encore plus sinistre et apportent un plus à l'ouvrage. Un travail éditorial de toute beauté et de qualité. Je l'ai emprunté à la bibliothèque mais je le veux sur mes étagères.
On y trouve également une trentaine de pages écrites par Baudelaire, "Edgar Poe, sa vie, ses oeuvres" nous permettant de mieux connaître l'homme et l'auteur.
Je suis très heureuse de ma rencontre livresque avec Edgar Allan Poe et je vais poursuivre ma découverte.
Terminé le jour d'Halloween, sous mon plaid, pas à la lueur des chandelles mais presque, j'ai adoré ce livre ensorcelant que je vous recommande vivement.
J'avais déjà eu l'occasion de lire des nouvelles d'Edgar Allan Poe traduites par Charles Baudelaire, et j'étais immédiatement tombée sous le charme. À cette époque j'étais aussi passionnée qu'intriguée par le fameux spleen baudelairien et voir ainsi leurs plumes se mélanger avait été un réel bonheur.
J'ai toujours vu Tim Burton et Benjamin Lacombe comme des Baudelaires et Poe des temps modernes, des artistes aux univers aussi atypiques qu'envoûtants qu'on ne retrouve nulle par ailleurs. Alors quand j'ai vu la mention d'Edgar Allan Poe, de Charles Baudelaire (traduction) et de Benjamin Lacombe (illustrations) dans un même ouvrage, j'ai immédiatement su qu'il allait sortir de l'ordinaire.
Les dessins de Lacombe apportent un vrai plus aux nouvelles, ils sont en totale adéquation avec l'univers d'Edgar Allan Poe, et elles donnent à cet ouvrage une atmosphère mélancolique et effrayante qui donne de délectables frissons.
Benjamin Lacombe illustre magnifiquement bien les nouvelles d’Edgar Allan Poe. Son style sombre et délicat est totalement adapté à celui de l’auteur et m’a beaucoup plu.
Côté texte, ces contes sont dérangeants, noirs, mais particulièrement bien écrits avec de belles descriptions. Certains m’ont semblé un peu plus complexes et d’autres beaucoup plus fluides.
Le chat noir, sombre et angoissant, a vraiment eu ma préférence mais le coeur révélateur a aussi su me plaire dans le même genre. Bérénice, première nouvelle de ce recueil m’a fait froid dans le dos pour le début de cette lecture. Les mêmes thèmes reviennent finalement plus ou moins mais illustrés de façon différente.
Une belle découverte d’Edgar Allan Poe que j’ai aimée faire avec les dessins de Benjamin Lacombe.
Dans ce recueil de nouvelles en grand format, magnifiquement illustrées par Benjamin Lacombe, on se retrouve plongé dans l’univers glauque de Poe.
Passons un peu de temps sur les illustrations du talentueux Benjamin Lacombe, car c’est bien pour lui que j’ai acheté le coffret double tomes. Il arrive à capter l’essence des textes avec brio, ses personnages sont à la fois enfantins et adultes, glauques mais beaux et la noirceur de son trait de crayon rime parfaitement avec les nouvelles. Que ce soit les portraits, les illustrations mêlées aux textes ou les belles doubles pages, tout, absolument tout est excellent. Et je pèse mes mots.
Côté textes par de surprise, j’adore, je suis vraiment fan de l’écriture d’Edgar Allan Poe, c’est sombre, pessimiste mais il y a de la vie qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. J’ai particulièrement aimé Le chat noir, que j’avais déjà lu mais sa redécouverte, encore une fois, avec les illustrations lui donne un sens plus profond. Toutes sont bonnes cela dit, de Bérénice à Le portrait ovale en passant par Le cœur révélateur, les huit nouvelles ont toutes une âme qui leur est propre.
En bonus nous avons, toujours illustré, la vie de Poe sur de nombreuses pages, un biographie intéressante pour comprendre l’homme derrière les œuvres.
Résumé
Recueil de 7 nouvelles d'Edgar Allan Poe sombrement illustré par Benjamin Lacombe. On y retrouve "Le chat noir", "Bérénice", "L'île de la fée", "La chute de la maison Usher", "Le coeur révélateur", "Morella" et "Le portrait ovale".
Une oeuvre que ravit les fans de l'écrivain!
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