La Diagonale des reines

Surprenant. L'auteur se sert d'évènements réels pour mettre en parallèle la vie des deux protagonistes. Les héroïnes possèdent une intelligence hors norme qui donne le frisson. En refermant le livre, je n'ai pas pu m'empêcher de me demander si au fond, nous ne sommes pas manipulés...

Génial, cela faisait longtemps qu'un livre de Werber ne m'avait plus, (je les trouve en général répétitif). J'ai aimée ingéniosité de faire correspondre son histoire a des faits historique réel. Beaucoup de travail:)

Dévoré en 3 jours! Je n'arrivais plus à m'arrêter. Ce jeu de pouvoir entre les 2 personnages, c'est à la fois déroutant et additif. Jusqu'où sont-elles prêtes à aller?

L'époque (dès le départ), l'intrigue, les personnages... j'ai beaucoup aimé, jusqu'à la fin

Intriguant, va être le mot idée de cette lecture. Le scénario, les personnages.. l’œuvre est intriguant au début et finalement perd de sa saveur car prévisible. J’irai même citer le commentaire d’un internaute sur Babelio “ Puis arrive moment ou j’ai l’impression d’avoir déjà lu le roman. […] l’auteur reprend quasi l’intégralité de ses idées déjà exposées avant. “

N’ayant lu aucun livre de Werber avant, je mène l’enquête et je comprends que les moments “définition” du livre sont des anecdotes d’autres livres, si encore il n’y en avait pas autant, ça aurait été peut être un beau petit clin d’œil mais je peux comprendre que la hype n’est plus quand on lit plus d’une seule œuvre de Werber.

Le thème des échecs est intéressant, c’est pas mal en vrai, il y a un scénario derrière, une idée. L’esthétique des parties avec les couleurs des pions pour savoir qui commence, le jeu entre les personnages qui sont deux filles qui deviennent femmes.

Elles sont intrigantes, oui c’est le mot. Au début je me suis dit “ce sont des psychopathes/sociopathes”. RIP Mao, ça a planté le décor et Monica avec ses relations humaines, comme je les ai lu, Nicole et Monica je ne souhaite pas vous côtoyer, trop de risque. Malheureusement les deux protagonistes ont perdu de leur “attraits” vers la 200eme page, car si prévisible..

Pour le choix historique autour de l’œuvre est ce pour lui donner un goût d’authentique, de réel ? C’est particulier, et un peu longuet surtout quand les deux protagonistes commencent à lister les grands moments qui se sont déroulés. Après c’est très impactant, au vue de ce qui se passe toujours en 2025. Hélas certaines tragédies contemporaines sont sensibles et ici instrumentalisé pour assouvir la “vengeance” personnelle des protagoniste. Il aurait été peut être important de mettre des TW, certains faits historiques sont sensibles et très récents.

Pendant la lecture de la partie 4, c’est devenu difficile de suivre. Les deux protagonistes sont les exactes opposées, leurs vengeances sont à la limite de l’immaturité, et vraiment “gros”.. sur joué. Le petit moment où elles deviennent espionnes / terroristes c’est un peu too mutch ! Voilà c’est too mutch. Pourquoi elles finissent toujours au lit avec les personnes qu’elles rencontrent ?

C’est quand même intéressant, je trouve leur bataille à l’une et l’autre sur un échiquier “réel” non fictif, intriguant mais on ne touche que la surface.

Le schéma narratif répétitif est difficile à suivre sur un roman si long.

Je suis un peu triste que le futur ne soit qu’à la fin du roman, finalement est ce qu’on peut le qualifier de sf ? Comme me l’a confirmé ma compagne : bof. Dommage vraiment pour moi, j’étais intriguée par ces années futuristes.

La fin.. franchement j’avais hâte de les voir vieilles, de leur retrouvailles pacifistes, de deux vieilles dames se parlant de leur passé commun à s’entretuer, au début j’ai trouvé ça chou, puis je me suis dit on termine le livre en beauté avec une partie de jeu, mais la c’est le drame déjà le coup de Spoiler(cliquez pour révéler)poison et enfin .. n’est ce pas triché ? Dommage pour leur relation, mais je peux visualiser le pourquoi du comment du choix “collectif”

Bon après cette lecture, je peux dire : c’est pas du tout mon délire, personnellement. Après ce n’est qu’un simple avis et il y avait quand même une bonne dynamique et un petit truc sympa avec le jeu des échecs, et la relation de Monica et Nicole très “haineuse” clairement un ennemies to ennemies !

>>https://www.fifty-shades-darker.fr/2024/09/la-diagonale-des-reines-de-bernard.html

Un roman que j'ai récupéré chez ma Maman, qui m'a dit avoir eu une excellente découverte de ce roman. Alors, même si ce n'est pas mon genre habituel, je me suis lancée dans sa lecture…

L'histoire est celle de deux femmes aux visions opposées du monde : l'une croit dans la force du groupe tandis que l'autre croit en l'individu. Ces deux femmes vont s'affronter dans un jeu d'échecs complexe où chaque mouvement a des répercussions mondiales.

Dès les premières pages, j'ai découvert une intrigue haletante. Et en effet, mes rebondissements sont nombreux et les enjeux politiques et sociologiques abordés sont élevés, ce qui maintient le lecteur en haleine. De plus, nous avons une réelle réflexion sur le monde contemporain, notamment avec les différents sujets d'actualité abordés tels que la mondialisation, le terrorisme et les inégalités. J'avoue que cela change comme roman et nous permet de réfléchir plus en profondeur sur ce qui se passe dans le monde d'aujourd'hui.

Par contre, nous sommes logiquement face à une fin relativement ouverte permettant différentes interprétations. Ce n'est pas ce que je préfère, pourtant, vu le contexte, je la trouve parfaitement amenée.

Du côté des personnages, nous découvrons Nicole O'Connor, une femme ayant grandi dans un environnement privilégié. Elle est sensible, empathique et développe très tôt un fort sens de la justice. Elle croit en la force du collectif et en l'importance de l'entraide. Au fil du roman, elle devient une figure de proue pour les mouvements sociaux et politiques qui luttent pour un monde plus juste et équitable. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, même si ces idées sont assez proches de mienne par moment. Il m'a manqué quelque chose pour que je m'identifie réellement à elle.

D'un autre, nous fessons la connaissance de Monica Mac Intyre, qui a été élevée dans un milieu froid et compétitif. Elle est ambitieuse, calculatrice et n'hésite pas à manipuler les autres pour atteindre ses objectifs. Elle croit en l'individualisme et en la loi du plus fort. Elle devient une femme d'affaires puissante et influente, prête à tout pour préserver ses intérêts. En plus d'avoir des idées assez éloignées des miennes, je n'ai pas réussi à m'attacher à elle, comme pour Nicole finalement. C'est vraiment cet attachement qui m'a manqué dans cette lecture.

S'agissant du style de l'auteure, je découvre une nouvelle plume que j'ai appréciée. Facile à lire, avec des alternances de rythme dans notre lecture, j'ai profité pleinement de ma lecture. Par curiosité, je lirais d'autres romans de Bernard Werber.

Un roman captivant, même si j'ai eu du mal avec les deux personnages principaux, qui explore les méandres du pouvoir et de la manipulation.

J’ai fortement apprécié ce livre. L’histoire des deux personnes qui sont obsédée l’une par l’autre et fascinante. Je suis quand même assez déçu de la fin et du fait [spoiler ]que à la fin nous de sachions pas vraiment qui a gagné et qui va être tuée. [/spoiler]

On suit le parcours de Nicole l’Australienne, d’origine Irlandaise, qui croit profondément à la force du collectif et de Monica l’Américaine, d’origine Ecossaise qui, elle, ne jure que par l’individualisme.

Une « simple » partie d’échecs ♟ va les amener à « jouer » grandeur nature avec pour seule limite… la Terre entière ! 🌍

Entre stratégie, sacrifice de simples pions, attaque directe et frontale, tous les coups sont permis ! 😮

J’ai beaucoup aimé la rivalité entre ces deux femmes. ⚡

Au fil des pages je m’imaginais comment chacune d’elle prendrait le dessus sur la seconde. On y retrouve aussi de nombreux événements historiques qui ne sont pas sans rappeler « L’encyclopédie du savoir relatif et absolu » d’Edmond Wells.

✒️ « Tous les êtres humains ont un double qu’on pourrait nommer leur « Némésis ». Ce n’est pas leur âme sœur, mais leur âme damnée. »

Mon conjoint à lu ce livre, il a bien aimé ! c'est un 15 ou 16 / 20 pour lui ! Il aime beaucoup les livres de l'auteur en général, celui-ci est aussi bien que les autres qu'il a pu lire de Bernard Werber !

C'est toujours sont auteur préféré ! ^^

J'ai adoré ce livre de Berenard Werber !

L'histoire est prenante, les chapitres s'enchaînent. Le livre remémore les conflits mondiaux et la nature humaine (forcément pas fameuse).

Comme à chaque fois que je lis un livre de cet auteur je suis ravie de ce mélange philosophie - sciences - imaginaire qui pour moi est très agréable à la lecture.

J'ai adoré, comme tout les romans de Werber. Les deux héroïnes sont vraiment bien développée et les deux points de vue complémentaires.

Et surtout, un final qui m'a donné des frissons...