Le Dernier Souffle, Tome 2 : Le Sang

L'écriture est fluide, mais l'intrigue n'avance pas beaucoup dans ce second tome. Beaucoup de confirmations d'éléments fortement impliqués dans le tome 1. Toujours un peu gratuit au niveau de la violence.

J ai été une nouvelles fois embarquer dans l univers de will . Il mevtarde de lire la suite

Ce second tome m’a beaucoup plus convaincue que le premier. Il s’agit toujours d’une petite brique, mais une petite brique très bien rythmée qui se lit donc toute seule. Loin de me perdre, la diversité des points de vue permet de ne jamais s’ennuyer puisque chaque protagoniste (ou antagoniste) connaît des aventures différentes, toutes riches en rebondissements et essentielles à l’intrigue globale. Petit bémol néanmoins pour le traitement réservé aux femmes, pourtant assez nombreuses : je n’ai pas vraiment apprécié qu’elles soient vues avant tout sous le prisme de leur physique, alors qu’elles ont bien d’autres qualités qu’il aurait été bon de mettre encore plus en avant, plutôt que souligner leur beauté sans arrêt.

J’enchaîne avec le dernier tome sans plus tarder. Espérons que les drames y soient moins légion…

Un tome toujours excellent. A tel point que je suis presque à court d'idée sur quoi dire. Les personnages sont vraiment bien écrit (que ça soit ceux qui sont attachants, ou les antagonistes que l'auteur arrive à nous faire détester). Je suis de plus en plus happé par l'univers. Et j'ai très hâte de lire le tome suivant.

Wow, que d’émotions dans ce deuxième tome ! Un coup de coeur, je l’ai dévoré.

Le tome 1 était vraiment bien, bien qu’il mette un peu de temps à se mettre en place, mais la fin était insupportable, il fallait que je sache la suite. Alors j’ai enchainé. Et le tome 2 m’a tenue en haleine du début à la fin.

Le concept du Dernier Souffle est très original et fortement lié aux personnages : en effet, j’aime particulièrement en apprendre plus sur les personnages que Wyl « rencontre » sous l’influence du sortilège de Myrren, à savoir Romen et Faryl. A chaque fois, ce dernier laisse une trace sur la personnalité de Wyl, ce qui soulève nombre de questions, notamment sur ce qui semble désormais presque inévitable : que se passerait-il si Wyl « rencontrait » Celimus ? Que va-t-il arriver à Ylena ?

J’avais beaucoup aimé les gentils du premier tome, et j’ai aussi beaucoup aimé ceux du deuxième tome : Elspyth, Pil, dame Bench, Elysius, Valentyna, Gueryn, Aremys et bien sûr la famille Donal dans son ensemble, avec une petite préférence pour Crys et Aleda, bien qu’Alyd reste mon Donal numéro 1. Quant aux méchants… et bien Celimus, qui aurait cru que ce soit possible, est de plus en plus détestable. Voilà bien un méchant à l’esprit malade que tout lecteur espère voir tomber dans la souffrance. Je pense que c’est le « meilleur » méchant que j’ai vu, dans le sens où il est vraiment affreux et haissable.

Arrive ensuite l’intrigue, qui suit son cours… moi qui pensais que le pire était passé dans le tome 1, j’étais loin du compte : le tome 2 est au moins aussi atroce. J’ai pleuré au moins autant en lisant Le Sang que pour le Don. C’est un fait : Le Dernier Souffle est une série triste, dure, et assez réaliste je trouve. Rien n’est épargné aux personnages, mais c’est bien fidèle aux mentalités de l’époque choisie et de contrées médiévales comme Morgravia, Briavel ou les Razors.

J’ai hâte de découvrir la conclusion avec le tome 3. Malgré tout ce qu’ils subissent, j’espère que les personnages connaitront enfin la paix. Bien sûr, je m’interroge tout particulièrement sur les avenirs de Wyl et Fynch : il y a de nombreuses possibilités, comme le dit Fynch à la fin du livre, et il n’est pas dit que le Dernier Souffle doive forcément prendre fin avec Celimus.

Dans la lignée du premier tome. Toujours aussi captivant.

On se met à espérer que les galères vont se finir pour le personnage principal mais... on pourrait se dire qu'il a la poisse quand même!

Ce second tome est aussi bon que le premier à mes yeux. Toujours aussi addictif. On appréhende la suite mais impossible de stopper la lecture. J'ai adoré.

J'ai adoré ce second tome du dernier souffle. Les personnages sont attachant même si nous ne les suivons pas très longtemps. Hâte de lire la suite avec le troisième tome

Ce second tome est dans la lignée du précédent. L'histoire est assez intéressante notamment pour l'originalité du pouvoir du héros et aussi pour le fait qu'il y a plusieurs sous-intrigues qui s'entremêlent, le tout de manière assez cohérente et logique. De plus, j'ai été surprise à plusieurs reprises ce qui montre bien que tout n'est pas prévisible (même si je suis quasiment certaine de savoir comment tout va se finir, j'ai envie de savoir comment on va arriver à cette fin). L'univers est assez plat même si on en découvre de nouvelles facettes dans ce tome. Le point qui pèche vraiment pour moi ce sont les personnages, alors oui ils sont nombreux et avec des caractéristiques bien distinctes les uns des autres, mais ils sont beaucoup trop manichéens. C'est très simple, dès que l'on rencontre un personnage, on peut lui coller une étiquette "gentil" ou "méchant" qu'il ne quittera plus de tout le récit (le seul personnage que je trouvais un peu nuancé est en fait manipulé pour être méchant). C'est dommage parce que le grand nombre de personnages aurait dû permettre de renforcer le récit. Ce manichéisme à outrance fait que les interactions entre personnages sont souvent assez peu crédibles. Ceci fait également que je ne ressens ni l'appel de l'aventure ni la tension dramatique du récit, je le trouve seulement très drôle et parfois absurde (ce qui n'est pas trop le but visé quand on lit le résumé). La plume de l'autrice est agréable et assez riche mais le ton du récit est parfois dérangeant, le manichéisme (et donc un certaine simplicité comme on en trouve souvent dans les romans pour adolescents) tranche avec la violence de certains passages (comme la torture d'enfants) auxquels on ne s'attend pas.

En bref, l'histoire part d'une idée de magie très originale mais les personnages creux m'empêchent vraiment de considérer cette série autrement que comme une bonne blague (avec parfois des passages très sanglants).

Bon sang, c'est énorme ! Et dans tous les sens de ce terme je vous prie. Autant que du bouquin lui-même, 670 pages ce n'est pas rien, mais de l'histoire aussi. Une intrigue menée de main de maître, avec une seconde mais non pas des moindres qui se profile. On passe par bien des émotions, la tristesse, l'amour, la peur, le stress, la haine, le dégoût, la passion et j'en passe. On en éprouve tellement qu'on ne peut sortir de cette lecture indemne. Ce qui nous fait le plus horreur dans ce tome, ce n'est pas Celimus, pourtant il n'en mérite pas moins, mais Rashlyn. Face à ce qu'il a fait de Lothryn, c'est même plus que de l'horreur, c'est inhumain, une telle cruauté… J'en ai encore des frissons de dégoût. Et nontidjoum, Fynch! Il en traverse aussi des épreuves et pourtant c'est loin d'être terminé.

Ce livre nous dévaste, mais en même temps nous ravit. C'est un tel maelstrom d'émotions, que l'on comprend que Fiona McIntosh est une magicienne des mots. Un miracle, un don du ciel, cette trilogie divinement écrite !