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La Maison du chat-qui-pelote



Description ajoutée par camillel54 2010-06-25T17:39:48+02:00

Résumé

La Maison du Chat-qui-pelote, c'est d'abord une enseigne de boutique redoublée d'un tableau : " Une formidable pièce de bois, horizontalement appuyée sur quatre piliers qui paraissaient courbés par le poids de cette maison décrépite, avait été rechampie d'autant de couches de diverses peintures que la joue d'une vieille duchesse en a reçu de rouge. Au milieu de cette large poutre mignardement sculptée se trouvait un antique tableau représentant un chat qui pelotait. " Mais cette nouvelle, écrite en 1829 et plus tard placée par Balzac en ouverture de La Comédie humaine, est elle aussi un tableau vrai, tableau du Paris commerçant - le Marais et la rue Saint-Denis - que l'écrivain prend plaisir à peindre. Un tableau de moeurs, également, et son premier titre, Gloire et Malheur, laissait plus directement deviner que s'y jouait le destin d'une femme : " Les humbles et modestes fleurs, écloses dans les vallées, meurent peut-être quand elles sont transplantées trop près des cieux, aux régions où se forment les orages, où le soleil est brûlant. "

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Classement en biblio - 183 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par x-Key 2012-04-28T14:26:06+02:00

Dans les grandes crises, le coeur se brise ou se bronze.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par jodieM 2024-02-17T08:50:04+01:00
Argent

Premier tome de la comédie humaine. 51 tomes en tout dont les 27 premiers correspondent à la saga Scènes de la vie privée, les 10 suivants correspondent à la saga Scènes de la vie de Province et enfin les 14 derniers à la saga Scènes de la vie parisienne. Je n'ai donc pas fini de le lire !! Mais comme avec Zola et sa saga des Rougon-Macquart, je prends le temps ! S'il me faut 10 ans pour tous les lire, je mettrai 10 ans ! Le principal est d'y prendre du plaisir ... Les deux premiers sont très court, celui-ci fait à peine 95 pages. Je trouve ça super pour commencer une telle fresque historique et familiale ! Grâce à cette "nouvelle" je sais où je vais et je m'habitue à la plume de l'auteur qui n'est pas toujours simple ... Il m'est arrivé, au début, de relire plusieurs fois une même phrase pour bien la comprendre mais une fois familiarisée, le texte se comprend facilement ! Dans ce livre, nous découvrons la famille Guillaume : Mr et Mme propriétaire d'une draperie avec leurs 3 commis et leurs 2 filles Virginie l'aînée (28 ans) et Augustine la cadette (18ans). Pour faire simple, je résumerai en disant que l'une fera un mariage d'amour-passion avec un jeune peintre nommé Théodore De Sommervieux et l'autre fera un mariage de raison avec le plus âgé des commis de la maison, Joseph Lebas. Lequel de ces 2 mariages sera une réussite ? à vous de le découvrir en lisant ce livre. C'est hyper intéressant ! Sans pour autant vous lancer dans cette saga, je vous conseille cette petite histoire qui vous mettra l'eau à la bouche (ou pas) pour continuer ! Pour l'instant, vous l'aurez compris, je continue et j'entame de suite le deuxième opus tout aussi court ... Au troisième, on passe aux choses sérieuses avec Mémoires de deux jeunes mariées qui comptent 504 pages ! Mais rien que le titre me fait penser à l'histoire de ce premier tome que je viens de vous résumer en une phrase ! Je devrais donc beaucoup aimé ce roman à venir !

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Bronze

Je n'ai pas beaucoup aimé ce livre. Il est très petit, très court donc je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, surtout que certains son détestable. De plus les passages qui décrivent les lieux ou les personnages sont beaucoup trop longs, vous allez me dire normal c’est une Nouvelle. Mais du coup je n’aime pas trop ce genre littéraire

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Commentaire ajouté par IndusMax 2023-04-27T18:30:38+02:00
Argent

Un Balzac comme on les aime...

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Argent

Monsieur Guillaume, marchand drapier qui tient une boutique à l'enseigne du Chat-qui-pelote, a deux filles à marier. Elles font deux mariages « bien différents ». Virginie, l'aînée, assez laide et sans grace, épouse le premier commis, successeur de son père : mariage solide qui témoigne de sa « fidélité au quartier » ; ces deux époux « marchent avec leur siècle », c'est-à-dire que « ce couple convenablement assorti » accepte la vie « comme une entreprise commerciale ». Augustine, la plus jeune, plutôt charmante, fait un brillant mariage d'amour, en épousant le baron et peintre Théodore de Sommervieux. Les deux unions connaissent des fortunes bien différentes : alors que le premier couple s'installe paisiblement, le second se défait progressivement et commence à se déchirer. La passion de Théodore s'estompe rapidement et le double décalage, social et intellectuel, mène cette union vers l'échec car Augustine se montre incapable de trouver sa place dans la société de son époux et aucune sensibilité poétique ne vient compenser le manque d'éducation mondaine de la jeune femme.

Augustine et son mari sont victimes d'un mariage inconséquent, et le malheur d'Augustine vient de sa lucidité tardive car « il est des mésalliances d'esprit aussi bien que des mésalliances de mœurs et de rang ». Ses efforts pour se hisser à la hauteur de son mari sont pathétiques mais vains et celui-ci ne fait aucun effort pour l'aider à le rejoindre car elle lui paraît fade et sans culture.

Ecrite en 1829, « La Maison du chat-qui-pelote » est l'une des premières oeuvres des « Scènes de la vie privée de la Comédie humaine ». Le premier titre, « Gloire et malheur » mettait l'accent sur Augustine, le titre définitif fait de la « maison » le personnage principal. L'enseigne de la boutique est-elle un décor ou le « sujet » même du récit éponyme ? En fait, le sujet n'est pas la fille d'un drapier qui est amoureuse, c'est la maison d'un drapier, dans laquelle se trouve, entre autres choses et entre autres êtres, une jeune fille amoureuse.

Le ton de l'histoire est celui du compte-rendu ou de la chronique. Dans ce récit, Balzac met au point un type de construction qu'il réutilisera dans de nombreux romans : long préambule, action resserrée, fin rapide et sans fioritures. Sont mis en parallèles des mondes inconciliables que Balzac va inlassablement explorer.

On entre dans la « Comédie humaine » en découvrant "La maison du Chat-qui-pelote". Ce récit, pourtant fondamental pour la « Comédie humaine », est assez peu connu des non « spécialistes » de Balzac, c'est pourtant lui qui va en fonder les bases. Enfin, il offre une bonne approche de son oeuvre tant par l'histoire racontée que par la psychologie des personnages et la langue employée.

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Lu aussi

De quoi passer un bon moment

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Or

J'ai décidé de me remettre à la lecture de Balzac et j'ai vu qu'il fallait commencer par celui-ci. Ce fut une belle découverte car mes souvenirs du collège avec cet auteur n'étaient pas bons...

Ici nous suivons une famille de marchand de draps, les Guillaume, dans leur vie quotidienne. Nous découvrons notamment les histoires de cœur de la cadette Augustine.

Le récit est évidemment très bien écrit, l'histoire est courte et s'intéresse à la vie de l'époque et notamment aux sentiments et aux mœurs d'un certain milieu. Cela me donne envie de poursuivre cette redécouverte

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Lu aussi

Un livre qui a l'avantage d'être court. L'histoire est plutôt sympathique. Il m'a un peu réconciliée avec Balzac dont le Colonel Chabert m'avait traumatisée...

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Lu aussi

J'ai apprécié le personnage d'Augustine et sa fin, bien que le style de l'auteur me soit pesant.

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Pas apprécié

Je n'ai pas réussi à rentrer dans le récit, les trop nombreuses et trop précises descriptions plombaient le rythme. Un rythme lent donc, accompagné d'une intrigue presque absente.

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Commentaire ajouté par Laurien 2019-03-17T19:35:19+01:00
Bronze

Pauvre petite Augustine... Elle n'a que la fraîche beauté de ses dix-huit ans. C'est peu face aux désirs idéalisés de son mari. Élevée dans une boutique obscure, elle n'a pas été formée à la beauté et ne peut comprendre les œuvres de Théodore que comprendrait une femme du monde bien élevé. Sous la surveillance d'une mère dévote, elle ne connaît pas les artifices permettant de retenir un homme, que les femmes du grand monde connaissent. L'amour ne suffit pas, et la pauvre Augustine s'éteint, une fois que son mari a assouvi ses désirs.

Pauvre Victorine aussi, la sœur moins belle, plus vieille, qui épouse un homme par devoir et reste derrière son comptoir sans plaisir.

Pauvres femmes, qui ne trouvent jamais le bonheur dans le mariage.

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Date de sortie

La Maison du chat-qui-pelote

  • France : 1998-11-01 - Poche (Français)

Activité récente

Tom1970 l'ajoute dans sa biblio or
2022-08-23T20:06:56+02:00

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Les chiffres

lecteurs 183
Commentaires 22
extraits 4
Evaluations 45
Note globale 6.53 / 10

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