Paradise Kiss, tome 1

Quel bonheur toujours aussi vif de se plonger ou se replonger dans une œuvre d’Ai Yazawa.

J’avais découvert « Paradise Kiss » il y a déjà longtemps, mais je n’avais pas pris le temps d’écrire un avis à l’époque ; par ailleurs à ce moment là je n’avais pas encore lu « Gokinjo ». Maintenant que c’est fait, c’est du coup avec un regard nouveau que j’ai redécouvert ce premier tome, que j’ai savouré avec un immense plaisir que je ne ressens qu’avec les mangas de cette autrice.

Cette série se déroule plusieurs années après « Gokinjo », et l’on y retrouve Miwako suivre les traces de sa sœur Mikako, héroïne de la saga précédente. Miwako est le portrait craché de sa grande sœur, mais en bien plus adorable. Là où Mikako se montrait certes touchante mais assez agaçante dans son premier tome, Miwako n’est ici qu’innocence et mignonnerie, faisant preuve de beaucoup d’attention envers ses proches autant qu’envers leur nouvelle connaissance, Yukari.

C’est d’ailleurs cette dernière qui est notre personnage principal et dont on va suivre l’évolution, et non Miwako comme on aurait pu le penser de prime abord. Élève studieuse et réservée, Yukari/Caroline se retrouve embarquée malgré elle dans une aventure qu’elle n’aurait jamais pu imaginer. Les effets de la fréquentation de ce groupe d’amis si atypiques se font ressentir en elle en seulement quelques jours (voire quelques heures). Ces nouveaux liens qui commencent tout juste à se tisser l’amènent à réfléchir à sa situation, à ses envies réelles, et surtout à commencer à s’ouvrir aux autres.

Georges est un protagoniste énigmatique et malicieux, qui ne se dévoile pour le moment pas beaucoup mais qui nous donne grandement envie d’en découvrir plus à son sujet.

Chacun des personnages introduits dans ce premier tome est haut en couleur, attachant – même pour ceux que l’on voit un peu moins pour le moment, coucou Isabella –, et, comme toujours chez Ai Yazawa, se montre plus complexe que les apparences ne pourraient le laisser entendre. Miwako, par exemple, derrière tant d’entrain et de candeur, cache des fêlures personnelles qu’elle a toujours gardé pour elle jusqu’à sa rencontre avec Yukari. Et, au vu de leur passé commun, j’imagine qu’il en va de même pour Arashi.

L’histoire en elle-même est rafraichissante et totalement addictive, elle nous fait plonger au cœur de l’atelier Para-Kiss et nous fait nous y sentir si bien que l’on n’a absolument pas envie de le quitter. Et ce malgré le fait que cette aventure commence quand même littéralement par une agression et du harcèlement en pleine rue par des inconnus. X)

La beauté et la finesse du trait de l’autrice rendent tout de suite chaque élément de ce récit, personnages comme décors, complètement attrayants et sympathiques, la magie d’Ai Yazawa.

Il faut que j’aille vite (re)lire la suite !

Je profite de ce nouvel ajout au catalogue de ma bibliothèque pour me remémorer cet animé de mon adolescence.

Graphiquement, je trouve qu'il s'agit d'un tour de force que de parvenir à suggérer des formes sur des silhouettes aussi filiformes ainsi que d'assigner des looks aussi distincts à chaque personnage.

Concernant le scénario - et accessoirement la romance - c'est à mon sens un poil précipité. Les sentiments de Yukari ont l'inconstance propre à l'inexpérience tandis que ceux de Georges... ben, je ne me les explique pas encore. Le coup de foudre peut-être.

En tous les cas, les bases sont posées : les prémices du mannequinat, le genre d'Isabella, le triangle amoureux entre Hiro, Miwaki et Arashi, le défilé de fin d'année, etc... le tout en brisant constamment le 4è mur.

De mémoire, ayant surtout connu l'adaptation animée, j'ai été assez surprise par ces touches d'humour. Ou alors mon souvenir n'est plus très exact.

En bref, l'exposition étant faite, j'espère que les enjeux du tome suivant seront plus excitants.

J'ai vraiment apprécié ce premier tome. Nous y faisons la rencontre de personnages tous plus excentriques les uns que les autres ! L'histoire est racontée avec beaucoup d'humour et l'intérêt porté au monde de la mode rend ce manga particulièrement original.

Ce n'est pas vraiment ce que je lis à la base et je ne suis pas non plus très branchée niveau mode, mais je trouve l'histoire assez agréable et fluide à lire. A voir ce que donne la suite !

Un manga qui débute bien. On retrouve Miwako, la petite soeur de Mikako (l'héroïne de Gokinjo) et j'aime toujours autant les dessins de Ai Yazawa. Par contre, je n'ai pas bien compris le revirement des sentiments de Yukari alias Caroline. En un instant, elle passe d'être amoureuse de Hiroyuki à l'être de Georges. J'attends de voir comment l'auteur va développer ça.

Les personnages sont très intéressants, atypiques et attachants cependant jusqu'à la fin, j'ai eu du mal avec la romance. On a une atmosphère assez dramatique, quand il s'agit d'amour. Même si j'aime George et Caroline, ensemble ils ne me plaisent pas. Spoiler(cliquez pour révéler)Il est évident que leur couple n'est pas sain ou au tout cas, il fait beaucoup trop de mal à Caroline. Et comment ils sont tombés amoureux ? Je peux comprendre qu'il n'y ait pas besoin de gros blabla ou qu'il suffise d'un regard mais je sais pas ... j'ai pas compris sur le coup tout leur sentiment profond.

A vrai dire, même avec Nana du même auteur, j'ai été hyper frustré par la romance, avec son côté tragique. Je ne comprend pas les héroïnes.

Bref, sinon le graphisme ne m'a pas dérangé, au contraire j'aime bien.

c'est un manga avec une histoire assez sympathique, mais les dessins pour moi ne sont pas ouf. j'ai beaucoup de mal avec ce style de dessin. je n'arrive pas a m'habituer et à m'attacher aux personnages.

Vu en anime il y a des années, je suis tombée sur l'intégral du manga dans une boutique de seconde main... Je n'ai pas hésité une seconde pour replonger dans l'univers mode de ce manga qui me rire à chaque coin de page.

On retrouve bien la patte d'Ai Yasawa dans cette série chargé d'humour. Les personnages sont toujours aussi bien défini.

J'ai encore beaucoup aimé cette série d'Ai Yazawa. Les dessins sont vraiment magnifiques, les personnages complexes et les relations encore plus