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  • Chapitre 4 :

    Freya

    «… Il en touche une, et le contact de son doigt chaud sur mon oreille brûlante me fait frissonner, à tel point que je commence à chanceler sur mes talons noirs à lanières.

    Je repousse sa main d’un coup sec.

    — Ne fais pas ça !

    Il laisse partir sa tête en arrière en éclatant de rire.

    — C’est mignon comme tes oreilles chauffent quand tu es nerveuse.

    — Ce n’est pas toi qui fais chauffer mes oreilles, je peux te le promettre.

    — Crois-moi, je le sais, répond Mac avec un air entendu et la mâchoire tendue. Je pourrais te dire que tu es splendide ce soir et que je me demande ce que ça ferait, de te baiser follement que cela n’aurait absolument aucun effet sur tes oreilles.

    Je lève les yeux au ciel et m’efforce d’ignorer sa remarque. L’idée que Mac veuille me baiser, c’est comme si un dogue danois avait le béguin pour un Shih Tzu en surpoids. Cela n’arrivera jamais. …»

    Extrait de Les Frères Harris, Tome 7 : Inattendu
  • — Prête pour l’audition ?

    Je déglutis péniblement.

    — Une dernière question.

    Il haussa un sourcil.

    — Quel est votre nom ? Je ne crois pas m’en souvenir.

    Il me fit de nouveau son sourire diabolique.

    — Parce que je ne vous l’ai pas donné.

    Je lui jetai un regard interdit. Allait-il vraiment me faire passer une audition sans me dire son fichu nom ?

    — Et c’est ?

    — Asmodeus.

    Je retins un rire. Qu’est-ce que c’était que ce prénom ?

    Est-ce que c’était une blague ? Ou m’avait-il donné un faux nom pour Dieu savait quelle raison ? Je croisai son sombre regard. Il semblait sérieux.

    Il n’y avait pas la moindre trace de sourire sur sa figure.

    — Ravie de vous rencontrer, Asmodeus, grommelai-je.

    Extrait de Les Démons du crépuscule : Le Pacte, Tome 1 : Marché diabolique
  • - De toute façon, il n'est pas question de me délivrer. Je suis ici pour schtroumpfer un discours sur les multiples facettes de la vie en communauté schtroumpf !

    - Mais non, triple schtroumpf ! Tu es prisonnier et tu vas participer à un combat sans merci !!

    - Ah ! Ah ! Ah ! Moi ? Prisonnier ? N'importe quoi !!

    - Tu peux me dire alors pourquoi tu as ces chaînes aux poignets ?

    - Ah, ben oui, c'est vrai, ça ! Je n'y avais pas pensé...

    Extrait de Les Schtroumpfs et le village des filles, Tome 6 : L’Île vagabonde
  • "Monsieur, je m'éclate comme jamais je ne m'en serait crue capable. Je prends un pied divin, si vous voulez bien excuser le mauvais goût de la formule en votre présence. Mais il faut que je l'avoue : je n'ai pas la moindre idée de ce qui pourrait me convaincre. Voyez-vous, quand on a pris le parti de penser qu'on hallucine, on n'en démord pas. "

    Je vis qu'il réfléchissait. Il eut un sourire.

    Extrait de Dieu et moi
  • Abdullah semblait si heureux que ç’aurait été une honte de le réveiller. Nous le portâmes dans son lit, et Ali resta veiller sur lui. Je demandai à un autre homme d’accompagner Ramsès pour remettre sa chambre en ordre.

    Notre fils s’attardait. Il serrait contre sa frêle poitrine la boîte contenant le pectoral.

    « Vous voulez me parler, maman ?

    — J’aurai beaucoup de choses à te dire plus tard. Pour l’instant, fais ce que je t’ai dit.

    — Juste une question, intervint Emerson en grattant son menton gagné par une barbe naissante. Qu’est-ce qui t’a pris de grimper ainsi à la fenêtre, Ramsès ? Je croyais t’avoir dit d’aller chercher du secours.

    — Le criminel allait voler mon pectoral. Il m’appartient, c’est MOI qui l’ai trouvé.

    — Mais, mon garçon, c’était affreusement dangereux ! Tu ne peux exiger d’un voleur qu’il te rende ton bien. Ils ne sont pas sensibles à ce genre d’arguments.

    — Ce n’était pas dangereux. Je savais que maman et vous ne les laisseriez pas me faire de mal. »

    Emerson toussa bruyamment et s’essuya les yeux avec sa manche. Ramsès et moi échangeâmes un long regard.

    « Va te coucher, Ramsès, dis-je.

    — Oui, maman. Bonsoir, maman, bonsoir, papa.

    — Bonsoir, mon cher fils. »

    Sous ses allures de colosse, Emerson est un homme très sensible. Je regardai discrètement ailleurs pendant qu’il essuyait ses larmes et se recomposait un visage impassible.

    « Peabody, dit-il ensuite, c’était la déclaration la plus magnifique qu’un enfant ait jamais faite à ses parents. Ne pouviez-vous répondre plus chaleureusement ?

    — Ne vous inquiétez pas, Emerson. Ramsès et moi nous comprenons parfaitement.

    — Ah, bon. Eh maintenant, ma chère, que faisons-nous ?

    — John. C’est de lui qu’il faut se préoccuper.

    Extrait de Amélia Peabody, Tome 3 : Le Mystère du sarcophage

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