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Laura, enceinte, se fait tirer dessus. Les meilleurs médecins se battent pour la tirer d'affaire et son mari va devoir prendre la décision la plus difficile de sa vie : sauver sa bien-aimée ou leur enfant ? Quel choix Massimo fera-t-il ?
La vie sans Laura aura-t-telle encore un sens pour lui ?
Sera-t-il capable d'élever seul leur fils ?
Des millions de pensées se bousculent dans la tête de Massimo, sans qu'aucune ne l'apaise. Il est loin d'imaginer ce que le sort réserve à sa famille.
À qui appartiennent les 365 jours du troisième volet de la série ?
Je déboule dans la maison, il est assis par terre, adossé aux tiroirs de la cuisine. Il se lève, étonné de me voir, manquant de renverser la bouteille de vodka qu'il tient à la main.
- Qu'est-ce que tu fais ici? Ton rendez-vous?
- Je ne peux pas le faire ... Spoiler(cliquez pour révéler)Cet enfant ... Je commence mais il part dans le sens opposée.
- Putain de sa race ! Hurle-t-il et il jette la bouteille contre le mur. Je ne pourrais pas le supporter Spoiler(cliquez pour révéler)Laura.
Il sort de la maison en courant.
Du moins, il essaie. Il est tellement bourré qu'il arrive a peine à avancer. Ma voix se coince dans ma gorge.
Spoiler(cliquez pour révéler)- C'est ton enfant ! Je hurle à mon tour. Spoiler(cliquez pour révéler)C'est ton enfant,Spoiler(cliquez pour révéler)Nasho !
L'ouvrage commence par la fin: à son trentième anniversaire, Laura vit des jours heureux avec Nacho et accepte sa demande en mariage. Exit Massimo.
Il y a une prise de risque de la part de l'auteur de brûler celui qu'elle a adoré pendant les deux premiers tomes. En lisant les commentaires personnels de ladite auteur, on a franchement le sentiment que son livre a servi de thérapie à ses propres déceptions amoureuses. Soit. Elle ne sera pas la première ni la dernière.
La morale de l'histoire, comme l'auteur le dit elle-même, est que "le bonheur n'est pas l'apparence de bonheur'. Acheter du Prada et du Chanel à longueur de journée, vivre dans un palais entourée de malabars bodybuildés, passer des nuits enfiévrées avec un amant qui disparaît le jour commettre d'innombrables crimes et vous impose une grossesse, n'est peut-être pas l'alpha et l'omega. Oui, dit comme ça, qui pourrait avouer le contraire. Sauf que la solution de rechange, le fameux Nacho coche quand même pas mal de cases dans la check-list du mec idéal pour fille superficielle façon Laura Biel. Il est beau, c'est une bête de sexe, il est riche. D'accord, il se la joue modeste avec ses tongs et ses vieilles voitures mais il lui offre quand même une vie de rêve au bord de la mer. J'aurais sans doute été plus indulgente si Laura avait craqué pour son infirmier de réa qui touche le smic ou sur son voisin comptable au RSA. Qu'a donc de "plus" le fameux Nacho ? Pas grand chose à mon avis. Sur le plan moral, c'est un tueur à gages et une espèce de truand local. On n'a pas vraiment progressé. Sur le plan relationnel, il est gnan-gnan. Quasiment pas un mot au-dessus de l'autre. Contrairement à Massimo, il ne se laisse pas enivrer facilement, ne se drogue pas, est davantage dans le contrôle. Là oui, c'est sûr, on a beaucoup progressé. Clairement, Massimo a franchi la ligne dans ce tome, trop loin pour qu'un retour en arrière soit possible avec Laura. Mais quand on regarde l'enchaînement, on a le sentiment que Massimo perd pied et ne sait pas du tout gérer l'éloignement de Laura. Qui dit que Nacho ne commettrait pas les mêmes excès dans une situation comparable ? Certes, dans une scène, l'auteur répond à ma question. Laura 'teste' Nacho. Je ne suis toutefois convaincue, ni par le test employé ni par la lecture de son résultat. Massimo aussi dans le tome I se la jouait "je serai un chic type au moins sur le consentement sexuel". Par ailleurs, même éconduit, ledit Nacho est capable de stalker Laura et de faire irruption dans sa chambre. Nacho a enfin le gros avantage de ne pas avoir de problèmes spécifiques de 'travail' comme c'était le cas de Massimo. On peut toujours dire que les problèmes de Massimo sont le résultat du caractère de Massimo mais est-ce-à-dire que Nacho n'aura jamais de problème ?
Dans l'affaire, Laura a pris celui qui trimbalait le moins de valises et qui répondait favorablement à son égocentrisme. Laura est une femme qui s'ennuie quand elle est seule. On a eu trois tomes pour s'en rendre compte. Elle a besoin d'un homme ou de sa copine improbable Olga. Sinon, elle déraille. Coup de chance, Nacho a du temps à revendre mais ça tient quand même du miracle littéraire.
En conclusion, la morale bourgeoise tartinée de confiture mafieuse de l'auteur n'est pas vraiment convaincante.
Les tomes vont de catastrophe en catastrophe ! Heureusement qu'il n'y en a pas un 4e!
Je pense ne jamais avoir eu autant d'antipathie pour une héroïne que dans cette histoire! Mais je ne vais revenir sur le comportement dégradant de Laura!
On assiste, ici, a un revirement à 365 degrés !!!! Où tout à coup Massimo est devenue une grosse merde psychotique que l'héroïne déteste. C'est un monstre qui a tous les mauvais côtés: tout ce qui plaisait à Laura à propos de Massimo au début est diabolisé par l'auteure (aucune subtilité) et est repugné par l'héroïne !!!
Donc la meuf, en détente, elle refait sa vie avec un autre...Tranquille!
Note pour toute la saga: pour quelqu'un qui est censée avoir été kidnappée, je trouve qu'elle a beaucoup de liberté 😂 (elle est toujours en train de s'échapper !)
Trois ans après avoir lu le tome 2, il était vraiment temps que je termine cette trilogie. Ce dernier tome, je l’ai dans ma PAL depuis trois ans également et cette longue pause s’explique par l’immense déception que j’ai eu à la lecture du tome précédent. Pour mémoire, j’avais bien aimé le tome 1, même si l’histoire allait principalement à l’essentiel et qu’il manquait un peu de profondeur, j’avais pris un plaisir certain à sa lecture. Le tome 2, en revanche, ça a été une catastrophe. Les réactions disproportionnées irréfléchies, le comportement immature du personnage principal, les situations rocambolesques qui manquaient de crédibilité… Bref, il n’y avait rien qui allait. J’aurais pu abandonner la saga et m’arrêter là sauf que, j’ai vu les films (que j’ai globalement bien aimé) et je savais que la fin était différente. C’est donc ce qui m’a poussé à ouvrir ce tome 3.
Malgré le laps de temps qui s’est écoulé entre les deux lectures, j’ai gardé un souvenir assez précis de comment se terminait le précédant tome, et c’est donc sans surprise que j’ai retrouvé Laura et Massimo peu de temps après les événements marquant du tome 2. L’histoire en elle-même ne pouvait que prendre la direction que l’autrice a souhaité lui faire prendre. De grotesque en grotesque, on va dire qu’elle a pris le chemin classique de ceux qui veulent naviguer de drama en drama sans se soucier de la crédibilité de son histoire. Néanmoins, je ne peux pas nier que lire ce dernier tome a été bien moins pénible que de lire le second. Je pense sincèrement que l’autrice ne pouvait pas faire pire, et que forcément, ça ne pouvait que s’améliorer au moins un peu.
Gamine capricieuse et irréfléchie, Laura ouvre enfin un peu les yeux. Consciente que sa relation avec Massimo n’est pas basée sur quelque chose de sain, elle ne peut malgré tout nier que, par la force des choses, elle a fini par développer des sentiments qui se voulaient sincères. Seulement, suite aux événements du tome précédent, il semblerait qu’elle ait goûté à un aspect plus sain de l’amour auprès de Nacho ; ce qui me semble être assez controversé puisque Nacho reproduit exactement la même chose que Massimo, à savoir qu’il l’enlève. Donc, à mon sens, Laura souhaite quitter la peste pour le choléra. Où est la logique ?
Au fur et à mesure qu’on avance dans le roman, l’histoire prend littéralement un virage à 360°. Massimo devient soudainement un monstre psychotique que l’héroïne déteste de tout son être et de toute son âme. Alors, certes, il a enlevé Laura et lui a donné 365 jours pour tomber amoureuse de lui, etc… Mais de là à détruire tout son personnage, qui avait quand même des qualités, pour en faire le Diable en personne, je trouve ça vraiment too much… Surtout qu’avec le tome 2, on découvre une facette de la personnalité de Massimo qu’il ne montre à personne. Il aime Laura, il la vénère et lui pardonne absolument toutes les conneries qu’elle fait… Il nous montre qu’il n’est pas mauvais. Il a aussi dû faire un choix extrêmement douloureux, et à aucun moment Laura ne prend en compte son état. Elle ne pense qu’à elle, elle est nombriliste, au lieu de faire front commun pour surmonter les terribles événements qu’ils ont vécus.
Je n’ai pas compris pourquoi l’autrice a souhaité que Laura quitte un chef de la mafia italienne pour celui de la mafia espagnol… Je ne vois pas trop en quoi c’est mieux, surtout qu’à côté de Massimo, je trouve Nacho particulièrement fade, et il est responsable de sa terrible perte (mais ça, visiblement, on s’en moque, ce n’est pas un critère de sélection). Bref, je suis vraiment perplexe quant aux choix de Blanka Lipinska à ce sujet. A mon sens, il aurait été davantage pertinent qu’elle fasse ouvrir les yeux à Laura sur sa relation peu saine et joue sur de nouvelles difficultés afin de faire repartir le couple sur de bonnes bases plutôt que de partir en vrille comme elle l’a fait.
A nouveau, 365 jours est un véritable défilé de mode. Dès que Laura s’habille, nous avons le droit à tout un tas de noms de créateurs de luxe. Elle est vénale au possible, ce qui ajoute une touche de contradiction avec sa soudaine haine pour Massimo et la vie qu’il peut lui offrir car, elle adore se vautrer dans le luxe. Honnêtement, lire des noms de créateurs toutes les deux pages est lassant. On a compris qu’elle ne s’habille pas là où s’habille le commun des mortels, je ne pense pas qu’il était nécessaire de nous le rappeler à chaque fois qu’elle enfile une culotte. Laura n’évolue pas. Elle reste une bimbo qui n’a que pour objectif de se faire entretenir, peu importe par qui.
Personnellement, je trouve que Blanka Lipinska s’est complètement perdue dans son histoire. Ça part dans tous les sens, sans qu’il n’y ait de logique. A vouloir trop en faire, c’est devenu n’importe quoi. Le tome 1 était prometteur, et elle aurait dû lui apporter une vraie fin plutôt que d’essayer de nous transmettre une morale qui finalement est plus que bancale. La note de fin de l’autrice m’a fait mourir de rire parce qu’elle annonce clairement que son personnage est stupide et ne fait pas les bons choix. Elle avait conscience d’écrire un navet, mais elle a eu le toupet de le faire. Je ne sais pas si c’est prendre les lecteurs pour des imbéciles ou bien si c’est faire preuve de génie. Alors je veux bien croire que ce roman a été écrit selon son propre vécu et qu’elle a sûrement trouvé une forme de libération à coucher ses mots sur papier, mais dire que l’argent ne fait pas le bonheur, etc… je ne vois pas en quoi il n’apporte pas le bonheur à Laura puisque c’est ce qu’elle cherche clairement. Si encore à la fin, elle tombait amoureuse du type lambda d’en face qui se lève à 6h00 du matin tous les jours, et rentre tard le soir pour tenter de joindre les deux bouts… mais ce n’est pas le cas.
Je ressens malgré tout une certaine satisfaction à avoir terminé cette trilogie. Je n’en garderai pas un souvenir merveilleux, mais j’avais vraiment envie de la finir pour me dire que j’avais bouclé la boucle. Et puis, ce n’est pas mon genre d’abandonner une série ou un livre, donc je suis fière d’avoir été jusqu’au bout pour conclure cet épisode livresque en bonne et due forme.
Dans ce tome 3 de la série "365jours", Laura, qui est enceinte, se fait enlever par le beau Nacho, fils d'un Don d"une autre famille mafieuse. Pendant plus d'une semaine, elle reste sous sa responsabilité. Il lui fait à manger, prend soin d'elle, discute avec elle et lui apprend même à surfer. Mais au bout de cette semaine, il doit obéir à son père et la ramener à la maison familiale. Là, il y a une fusillade et Laura est blessée par balle en protégeant son mari. Massimo doit prendre une décision : ou sauver Laura ou sauver leir bébé. Il ne s'imagine pas vivre sans sa femme. Mais, par la suite, il s'éloigne d'elle petit à petit. Son caractère changera jusqu'à devenir agressive et dangereux. Laura décidera de demander le divorce...pour rejoindre Nacho
Malgré que j'ai apprécié avoir lu cette trilogie, je reste tout de même assez perplexe.
Nacho, Olga et Domenico sont les personnages les plus "adultes" dans ce tome.
J'ai beaucoup de mal à accepté le changement de comportement de Massimo vis-à-vis de Laura. On passe d'un homme charmant, protecteur, certes dominant mais toujours là pour elle à un homme terrible, froid, sans coeur, manipulateur.
Quand à Laura, elle reste fidèle à elle même c'est-à-dire une véritable gamine puérile, qui n'est jamais contente.
Elle dit qu'elle a subit l'absence de son mari pendant 6 mois mais qu'a-t-elle fait pour changer la situation ? A quel moment a-t-elle affronté les difficultés ???
A aucun moment ! Madame s'est satisfaite de quelques parties de jambes en l'air et hop tout va bien.
Un vrai couple affronte les problèmes à deux et non pas, chacun de son côté.
Concernant la morale donnée par l'auteure :
Je comprends son point de vue dans le sens où l'argent n'achète pas tout et que le matériel est éphémère mais je reste tout de même dérangez sur le manque de maturité de Laura face aux problèmes avec Massimo.
Je trouve qu'elle aurait dû orienter sa morale sur l'importance de communiquer dans un couple, la capacité d'affronter les problèmes au lieu de prendre la fuite et de tout abandonner car on a trouvé un sois-disant meilleur nid d'accueil.
Surtout quand on voit que le nouveau nid est également un nid de mafieux...
Après avoir détesté le tome 1 et le tome 2… celui ci n’échappe pas à la règle. J’ai pas aimé l’histoire, les personnages sont toujours aussi nul, aussi vide de personnalité et stupidite.
Ce dernier tome ma complètement frustrer ! J'ai compris le message que voulais faire passer l'autrice avec cette fin, mais j'avoues avoir espérer Spoiler(cliquez pour révéler)que Laura et Massimo finiraient ensemble. Le retournement de situation, le visage caché de Massimo, la compassion de Nacho et Laura toujours indécise dans ses choix. Je n'est pas apprécier le livre, pas parce qu'il est mauvais, mais juste car ce n'étais pas la fin que j'avais imaginer n'y que j'espèrerais.
Résumé
Laura, enceinte, se fait tirer dessus. Les meilleurs médecins se battent pour la tirer d'affaire et son mari va devoir prendre la décision la plus difficile de sa vie : sauver sa bien-aimée ou leur enfant ? Quel choix Massimo fera-t-il ?
La vie sans Laura aura-t-telle encore un sens pour lui ?
Sera-t-il capable d'élever seul leur fils ?
Des millions de pensées se bousculent dans la tête de Massimo, sans qu'aucune ne l'apaise. Il est loin d'imaginer ce que le sort réserve à sa famille.
À qui appartiennent les 365 jours du troisième volet de la série ?
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