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C’est en veillant le corps de son mari que Triana l’a entendue pour la première fois. Cette musique d’une incroyable beauté, jouée par un étrange violoniste qui, jour après jour, revient la hanter. Si ses proches croient qu’elle sombre dans la folie, Triana, elle, a accepté la réalité de ce fantôme au Stradivarius avec qui elle dialogue. Mais qui est donc cet aristocrate russe du siècle dernier, élève de Beethoven et ami de Paganini ? Un démon qui nourrit sa musique de la souffrance et de l’angoisse des autres ? Ou une âme errante, elle-même ensorcelée par un violon maléfique ?
Eh bien, celui-ci était complètement oublié dans les tréfonds de ma bibliothèque, et je crois qu'il reprendra le même chemin.
Nous sommes en Nouvelle Orléans, et Triana vient de perdre son mari, et la douleur a tendance à la plonger dans la folie, ce que je peux comprendre. Puis, un spectre violoniste de grand talent se manifeste et enchante notre veuve éplorée, qui se retrouve déchirée entre le désir de garder ce compagnon qui la comprend si bien à ses côtés et celui de s'en débarrasser.
Bien entendu, tout n'est pas si simple, et des explications sur le triste passé et certains remords de Triana viennent émailler le récit. On en apprend également sur le fantôme, mort pour son violon... dont Triana veut s'emparer puisqu'il lui apporte le talent qui lui fait cruellement défaut.
Bon, dit comme ça, je ne sais pas trop si je donne envie de le lire à d'autres lecteurs, mais personnellement, si le style d'Anne Rice ne se dément pas et que sa plume est toujours d'une qualité exceptionnelle, je me suis vraiment ennuyée dans cette sorte de très long monologue. Je n'ai pas non plus réussi à m'attacher aux personnages, ce qui aurait peut-être changé la donne... Je ne le saurai jamais et je vivrai très bien dans cette ignorance.
2ème tentative de lecture de ce livre pour moi après plus de 10 ans d'écart. Si cette fois, j'ai pu le terminer, j'ai été confronté aux mêmes difficultés qu'à l'époque.
L'écriture très descriptive de ce livre et à la fois sa force et sa faiblesse.
Autant les longues descriptions des lieux et architectures avaient plutôt tendance à me faire sortir du livre, autant les descriptions vives des musiques et des émotions qu'elles provoquent me permettait de littéralement lire la musique.
C'est également un livre sur le deuil, la culpabilité et les relations familiales compliquées. Thèmes explorés avec brio par Anne Rice à travers la relation Triana/Stefan.
Je reste, toutefois, assez mitigée par ce livre et je ne saurais vraiment dire si je l'ai aimé ou pas.
Une chose est sûre, je ne serais plus hantée par Stefan et cette lecture longtemps inachevée.
Ce serait sans doute un de mes livres préférés si seulement l'écriture n'était pas ce qu'elle est... C'est lourd à lire. Pourtant le personnage de Stefan est absolument superbe ! Mais il apparait tard ou trop rarement et on se perds avec cette écriture qui est un frein pour lire la suite..
Anne Rice fait partie de mes auteurs préférés. Pourtant malgré une écriture très bien travaillée, j'ai eu un peu de mal avec les personnages de ce livre. Certains passages m'ai aussi donné, comme qui dirait, du fil à retordre. J'ai quand même bien aimé ce livre mais, je ne trouve pas que ce soit le meilleur qu'elle ait écrit...
Très bien écrit! J'ai vraiment était emporté dans les passage historique mais le personnage féminin m'a vraiment posée problème... La fin est un peu bâclé... Loin d'être le meilleur de ses livres!
J'ai eu du mal à le mener à terme. Je n'ai pas du tout accroché ni à l'histoire ni aux personnages et encore moins à l'univers général. Je n'ai pas retrouvé le style habituel d'Anne Rice, dommage !
Généralement, je finis un livre même si je n'aime pas mais là, j'ai vraiment eu difficile déjà d'arriver à une trentaine de pages. Désolée mais je n'ai vraiment pas aimé.
C'est un bon roman toujours écrit d'une main de maître, même si ici l'histoire est un peu soporifique... Je reste un grand fan de cet auteure... Je le conseille tout de même...
Lu il y a quelques années, je considère ce petit roman comme un plaisir à part.. on est loin des vampires et des sorcières d'Anne Rice (thèmes qu'elle a brillament exploités!!). Rice nous livre une histoire originale, avec cette petite touche romantique et le son enchanteur d'un violon très spécial.. à lire!
Résumé
C’est en veillant le corps de son mari que Triana l’a entendue pour la première fois. Cette musique d’une incroyable beauté, jouée par un étrange violoniste qui, jour après jour, revient la hanter. Si ses proches croient qu’elle sombre dans la folie, Triana, elle, a accepté la réalité de ce fantôme au Stradivarius avec qui elle dialogue. Mais qui est donc cet aristocrate russe du siècle dernier, élève de Beethoven et ami de Paganini ? Un démon qui nourrit sa musique de la souffrance et de l’angoisse des autres ? Ou une âme errante, elle-même ensorcelée par un violon maléfique ?
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